Concurrence Chocolat

pour les individus et a engendré par la suite une demande importante. Le rapport entre l’offre et la demande a joué un rôle majeur dans la détermination des prix. Par la suite, de nombreuses boutiques voient leurs portes s’ouvrir et une certaine concurrence apparait. Le secteur de la confiserie est désormais omniprésent dans notre patrimoine. On en retrouve en effet presque dans tous les commerces de petite et de grande taille et c’est également un symbole de plaisir, de partage et de fête comme pour

ETUDE DE MARCHE : étude documentaire 1-Connaissance du marché et de la concurrence actuels et futurs Demande actuelle de produits similaires Depuis quinze ans, les ménages français ont légèrement accru la part des produits sucrés dans leur budget (Tableau 1) alors même qu’ils ont réduit la part de l’ensemble des produits alimentaires. Cette progression se concentre sur les produits alimentaires à base de chocolat et les confiseries ( 65,8% de leur budget en produits sucrés en 2004). La consommation

femmes,
urbaine
 16‐34
ans

 adepte
des
produits
dits
«
naturels
»
(céréales)
et
légers
 CSP
‐,
+

 Cible
secondaire
:

 enfants
(prescripteurs
d’achat
pour
les
produits
à
grignoter)
concernant
l’extension
de
gamme
:
craquine&es
 fourrées
au
chocolat,
fraise,
abricot…
 les
professionnels
(distributeurs,
nutri2onnistes..)
 Cible
relai
:

 journalistes
 leaders
d’opinion

 Recommanda2on
de
consomma2on

 •  Les
 consommateurs
 peuvent
 manger
 des
Craco&es
 à
 divers
 moments
 de
la
journée

représentent plus de 90 millions de pots de Nutella (source interne). La marque est présente dans un foyer français sur deux et ce sont près des deux tiers des foyers français avec enfants qui consomment le produit au moins une fois par an. La concurrence n'a jamais réussi à détrôner Nutella qui détient un taux de notoriété spontanée de 95 % (source TNS Secodip à Octobre 2004). La marque est devenue la marque alimentaire préférée des français en 2004 (source-étude Mégabrand) et pour preuve, 85% de

Force porter: Milka 1/ Le pouvoir de négociation des clients: Le marché du chocolat est très concurrentiel, et la demande en France est importante (4,8kg/habitant, 11ème position dans le monde). Pour un produit phare et standardisé comme la tablette de chocolat, le pouvoir de négociation des clients est fort, car ils sont concentrés, avec des fournisseurs nombreux ,dispersés et facilement disponible. Concernant les produits plus « hauts de gamme » comme les tablettes de dégustation, le pouvoir

des céréales ne s’invente pas. Elle se décompose, quel qu’en soit le type, en quatre étapes : NETTOYAGE des grains de céréales (blé, avoine, maïs, riz) CUISSON AJOUT d’ingrédients (vitamine, minéraux, sucre, miel, malt, fruits, chocolat …) PREPARATION A cette étape, on obtient soit des pétales (maïs, blé, riz et avoine), des flocons (avoine), des formes originales (céréales 3D, boules maïs …) 1ère partie ANALYSE DU MARCHE 1. LA DEMANDE

DAIMS OU COMMENT FAIRE CONCURRENCE A IKEA Pour 6 à 8 gourmands Pour la pâte sablée aux amandes : 120g de beurre coupé en dés 60g de poudre d'amandes 60g de cassonade 120g de farine Pour la crème brûlée aux éclats de Daims: 100g de bonbons Daims 1/2 cuil. à café de vanille en poudre (à défaut 1 gousse de vanille fendue en deux et grattée) 130g de lait 250g de crème liquide 130g de lait concentré sucré 6 jaunes d' oeufs 110g de sucre Pour la ganache chocolat: 100g de crème liquide

- Que fait l’entreprise pour les séduire ? ( pub/communication) - Comment évolue la demande ? - Quel impact sur le consommateur ? (santé/sécurité) MARCHE ET PRIX - L’entreprise est-elle en situation de concurrence ? de monopole ? - Est-elle leader sur le marché ? - Comment fixe t-elle ses prix ? - Quelle stratégie met elle en place pour conquérir des parts du marché ? RECHERCHE ET INNOVATION - En faveur

industries se doivent de respecter. * La protection du travail, les taxes douanières, la TVA, le transport sont autant de facteurs qui diffèrent dans les pays et qui agissent sur les coûts de revient. Par exemple, l’UE souhaite faire passer la TVA du chocolat de 5,5% à 19,6% (Barbier B., 1997). * Mentions obligatoires ou facultatives pour l’étiquetage d’un produit (Décret n° 93-1130, 27 Septembre 1993). * Les campagnes de sensibilisation. Par exemple, la France et les pays anglo-saxons ont obligé les

de matière grasse et de lait, avec une pointe de cacao qui va permettre à Pietro d’obtenir un pain dur au chocolat qu’il coupé au couteau, et ainsi de créer le « Giandujot » qui rencontre très vite le succès. Puis par un été de forte canicule, le Giandujot se mis à fondre au soleil et à prendre une consistance pâteuse. Les pâtissiers ne parvenant pas à conserver les petits pains de chocolat, Mr Ferrero décida de vendre celui-ci tel quel dans de petit récipient de verre. L’engouement est immédiat