Concurrence Entre Marionnaud Séphora

semestre est envisageable". Il faudra pourtant attendre 2010 pour que la consommation se redresse véritablement. Le marché des parfums, estimé à 2 milliards d'euros, est actuellement dominé par la parfumerie sélective, dans des enseignes comme Marionnaud, Sephora, et Nocibé. Ce mode de distribution représente 90% des ventes. Avec une augmentation des prix de vente au détail dans le commerce de 0,9% en 2007 et de 2,3%, les parfums et cosmétiques devraient, selon l'étude, connaître une remise en cause

des grands groupes (LVMH, Procter et Gamble et Chanel représentent 29,7% des PDM mondiales en 2009) (Datamonitor juillet 2010) - en 2008, les parfumeries sélectives représentent plus de 50% des PDM (= principal circuit de distribution) ; Séphora, Marionnaud et Nocibé représentent 2/3 du chiffres d’affaires de ce réseau en 2009. (Xerfi Octobre 2010) - En 2008, les français dépensent en moyenne 218euros/an en parfums et produits de toilette ; les femmes contribuent à près de 90% des ventes (Xerfi

dynamique des parfums pour femme. Le parfum qui était autrefois utilisé pour des raisons religieuses et médicales est aujourd’hui le symbole du luxe et de la féminité. Le marché des parfums pour femme est un marché très concurrentiel. En effet, entre les marques de créateurs et les parfumeurs qui bénéficient de leur notoriété, on pourrait penser que le marché est relativement fermé pour un nouvel arrivant. Mais en réalité, les femmes sont très sensibles aux nouveautés et se laissent tenter par

secteur cosmétique. En 1985, Biotherm se lance sur le segment. Ce pionnier, appartenant au groupe L’Oréal, invente le slogan « Les hommes ont une peau, c’est nouveau ! ». Ce n’est que des années plus tard que d’autres marques viendront les concurrencer. À partir les années 1990, les hommes changent d’attitude : ils s’intéressent à la mode, ils lisent des magazines suivant les tendances du moment… Les cosmétiques pour hommes se développent. La marque Nickel, première à créer un institut

Rocher Inès JOUBERT DES OUCHESClémence JOUZEAUEvan LUCASAlexis LALANDESOMMAIRE Avant-Propos 2 Introduction 3 I) Analyse Externe 4 A) Le marché de la beauté et ses segments 4 B) Les besoins et les motivations des consommateurs 6 C) La concurrence sur le marché de la cosmétique 8 D) L’environnement de ce marché 9 II) L’analyse interne 10 A) Les ressources juridiques et financières d’Yves Rocher 10 B) Les performances de la marque 11 C) La stratégie d’Yves Rocher 13 D) Le marketing mix d’Yves

 –  JL  Martinez       1     Sommaire     1.    Présentation  du  marché   ................................................................................................................  3   2.   La  concurrence  ................................................................................................................................  6   3.   Portrait  du  consommateur  ..............................................................

française de sécurité sanitaire des produits de santé), qui assure de la non-toxicité des formules ▪ Le BVP (Bureau de vérification de la Publicité) ▪ La DFCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). Depuis 1998, une réglementation européenne contraint les firmes à détailler les composants chimiques sur les boîtes, à partir d’une liste de matières premières autorisées. Suite

études commerciales | Positionner l'entreprise dans son environnement d'activité Observatoire de la concurrence: le plus gros concurrent n'est pas les 3 suisses car ce n'est pas le meme système mais les grands magasin du genre ZARA , H&M... étude de marché: Mode, rayure, unis... études clients: qu'est-ce qu'ils font dans la vie, la personnalité, le

38% des fards à paupières. Selon une étude réalisée par l’institut d’études NPD, au fur et à mesure qu’une femme vieillit, elle change ses habitudes d’achats en produits de maquillage. Selon cette étude le changement intervient de façon visible entre 35 et 44 ans, c’est à ce moment que les femmes commencent à mettre plus de couleur sur le visage et les lèvres mais moins sur les yeux . Ainsi, la demande n’est pas la même selon l’âge (par exemple 42% des plus de 35 ans se servent de cinq produits

juridique sur la fabrication des cosmétiques : l’AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), qui assure de la non-toxicité des formules, le BVP (Bureau de Vérification de la Publicité) et la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). Depuis 1998, une réglementation européenne contraint les firmes à détailler les composants chimiques sur les boîtes, à partir d’une liste de matières premières autorisées. La CEE (Communauté