Concurrence Lafarge

II. UNE PRESSION CONCURRENTIELLE INTENSE La distribution des produits d'assurance est en pleine mutation, prise entre le feu de la bancassurance et le développement de la vente directe. Cette concurrence fragilise les réseaux de distribution traditionnels, agents généraux et courtiers, qui n'ont pour l'instant tiré leur épingle du jeu que grâce à la croissance forte du marché (et à leur savoir-faire). Au terme de cette évolution, la France se démarque de ses principaux voisins par sa non-spécialisation

l'entreprise (comment ?) : En face de chaque besoin exprimé par le client on liste une réponse de l'entreprise Bloc 3 : Les contributions : On y note les relations entre les attentes et les offres Bloc 4 : Le positionnement par rapport à la concurrence : On situe les concurrents et l'offre de l'entreprise en fonction de performances obtenues pour chaque attentes. Pour cela on utilise un système de notation allant de 1 à 5 Bloc 5 : Mesures des réponses de l'entreprise (combien ?) : Dans

- si l’entreprise est un monopole cad qu’elle est le seul producteur présent sur son marché : étant à l’abri de toute concurrence, elle a une grande liberté pour fixer ses prix (price maker). - Si l’entreprise est en situation concurrentielle : elle ne peut fixer un prix différent de celui qui est pratiqué par ses concurrents (c’est l’une des hypothèses du marché de concurrence pure et parfaite), le prix s’impose à l’entreprise (price taker). L’entreprise concurrentielle ne peut alors choisir que

minières productrices de fers, à savoir Vale, Rio Tinto et BHP Billiton, se partagent l'offre de matières premières ; sans avoir l'exclusivité, celles-ci ont une influence importante sur les quantités échangées et sur les prix pratiqués car la concurrence est limitée. L'ajustement se fait donc par les prix. De plus, ces trois producteurs de fer contrôlent plus de 70% de la production mondiale et peuvent donc imposer leurs conditions tarifaires, notamment aux Chinois qui absorbent à eux seuls

somme nulle : la spécialisation des pays et l’échange sont à l’origine d’un gain net, ayant pour contrepartie des effets redistributifs au sein des pays se spécialisant. Ne permettant pas d’introduire de façon satisfaisante l’imperfection de la concurrence ou les rendements croissants, et confrontée à des problèmes de validation empirique, la théorie classique a néanmoins laissé la place à la nouvelle théorie du commerce international. 1 1 LES FAITS La rapide progression des échanges internationaux

dossiers remis par les opérateurs économiques et des informations données par les fournisseurs et prévoit à cette fin la possibilité pour les pouvoirs adjudicateurs de ne pas les communiquer à un candidat écarté, afin d’éviter que cela ne nuise à la concurrence loyale entre fournisseurs. De l’autre, la directive 89/665 (directive « recours ») portant coordination des dispositions législatives, réglementaires et administratives relatives à l’application des procédures de recours en matière de passation

| |LEGAL |Nouvelles lois entre fabricants et distributeurs (loi Chatel) | | |Loi anti-monopole et transparence entre concurrence (LME) | | |Normes sécurité santé | Diagnostic en termes de menaces et d’opportunités pour l’ensemble

distributeurs s’y prennent-ils pour retenir la clientèle au sein de ses murs ? En effet, la mobilité est bien ce qui caractérise l’activité du client sur un marché où l’ouverture et la fluidité sont les conditions nécessaires au formatage « d’une concurrence pure et parfaite qui exige que les acteurs économiques puissent entrer et sortir librement du marché » (Cochoy, 2002, p. 6). Mais alors comment et par anthropologues des sciences et des techniques (Latour, 1994) et des théoriciens de l’action

UPMF – IUT 2 Grenoble FICHE n ° 1 Société O2 Département Techniques de Présentation du lieu de stage et de son Lathuille Camille Commercialisation environnement 2° Année 2009 - 2010 Stratégie La stratégie des entreprises consiste à entrer en concurrence frontale avec les autres prestataires sur des activités rentables, nécessitant un apprentissage faible et pour lesquelles la demande solvable existe et est identifiable. La stratégie du groupe O2 repose principalement sur la proximité ; un réseau

Ouverture des marchés de l'électricité et du gaz au 1er juillet 2007 Une ouverture à hauts risques pour les consommateurs. Une concurrence improbable à moyen terme. I - DE NOUVELLES REGLES DU JEU II - POUR LE CONSOMMATEUR, AUCUNE BAISSE DURABLE DES PRIX N'EST ENVISAGEABLE III - LE CAS DES PROFESSIONNELS : LA PREUVE PAR L'EXEMPLE IV - UN CADRE JURIDIQUE PEU FAVORABLE AUX CONSOMMATEURS V - UN MARCHE QUE L'UFC-QUE CHOISIR PLACE SOUS SURVEILLANCE VI - LES POSITIONS, ACTIONS POLITIQUES ET JURIDIQUES