Condition Ouvrière

un groupe social, appelée classe ouvrière, qui s'est mobilisée pour obtenir des améliorations, en terme de salaires, de condition de travail ainsi que des conditions de vie. Ces mobilisations ont contribué à changer la société. On peut se demander aujourd'hui si il existe encore une classe ouvrière. 1. Explications affaiblissement mouvement ouvrier : Baisse du nombre d'ouvriers. Hétérogénéisation de la classe ouvrière (éclatement de la classe ouvrière). -> séparation entre les ouvriers

marxisme, les classes sociales ont été une manière de caractériser/désigner cette stratification sociale. On expliquait alors qu’il y avait deux grandes classes qui luttaient pour défendre leurs intérêts : les bourgeois et les prolétaires (classe ouvrière). A partir des années 80, on a parlé de la montée des classes moyennes et du déclin des luttes des classes. Les classes sociales ont-elles disparues ? I. Les analyses traditionnelles des classes sociales 1. Les classes sociales chez

préoccupées. La moyennisation de la société arrivé avec les trente glorieuse, la présence et l’accroissement d’une vaste classe moyenne, partageant la même culture, au profit d’autres classes sociales qui voient leur effectif diminué, comme la classe ouvrière. Selon Marx, les classes sociales sont des groupes de personnes ayant une conscience de classe commune, une volonté de lutte des classes et la même place dans le système de production. Malgré l’émergence d’une vaste classe moyenne, peut-on dire que

catégories dites populaires * Le recul des PCS indépendants (agri, artisan..) * Augmentat° des PCS 3,4,5, elles sont désormais les plus nombreuses * Recul de la classe ouvrière. Cette PCS etait la + importante jusqu’au année 90, ils sont ojrd depassés par les employés. b) Le déclin de la classe ouvrière Comment expliquer le déclin numériq des ouvriers (-25 des actifs occupés) * Désindustrialisat° s’est traduite par l’éfondremt de gdes entreprises industrielles, la où les

mécanisation de l'agriculture, donc moins de travail à la campagne, ce qui entraîne l'exode rural. On devient ouvrier en ville plutôt que de rester à la campagne. La population évolue trop vite par rapport au nombre de logements disponibles, donc les conditions de vie deviennent précaires, c'est un développement anarchique des villes. Pour remédier à ces problèmes, on développe les banlieues et les transports (comme les tramways). La ville la plus innovante est New York avec les gratte-ciels. A Paris,

qu’elles sont souvent [2]: partant, elles sont virtuellement grosses de mobilité verticale…ascendante. Pour autant, à la fin de la période, moins, voire non qualifiées en outre, elles peuvent être perçues comme un obstacle à la formation de la classe ouvrière en France (cf. l’ « insaisissable prolétariat »), et à l’organisation de la lutte des classes : ce qui risque de rendre la mobilité sociale ascendante impossible…La question se pose donc de savoir si les mobilités horizontales sont facteur d’autonomie

de cette société de la Troisième République ? I _ 1885 à 1897 : un contexte historico-politique particulier au cœur de la Troisième République 1)Les grèves de Carmaux, ou la naissance jaurésienne de l'idée socialiste 2) L’émancipation ouvrière, la création des premières sociétés coopératives II_ Jean Jaurès et le collectivisme socialiste : une approche sensible de la question de propriété 1) La propriété, un droit réservé au patronat 2)

grèves. Elles surviennent alors que le contexte économique est en crise : augmentation des prix, le chômage ainsi qu’une baisse de la consommation et de la production. Les conditions de travaux déplorables imposés aux ouvriers dans l’industrie ne sont pas les seuls éléments du conflit qui se noue autour de la question ouvrière dans la première moitié du XIXe siècle. Davantage, le gouvernement à pris des mesures pour lutter contre l’inflation des dépenses publiques, baisse des impôts et réduction

l’Aisne). Serrurier, fils d’artisan serrurier. De son tour de France, il retient essentiellement le déplorable état de la condition ouvrière : « Je voyais à nu les misères de l’ouvrier et ses besoins, et c’est au milieu de l’accablement que j’en éprouvais que, malgré mon peu de confiance en ma propre capacité, je me disais encore : si un jour je m’élève au-dessus de la condition de l’ouvrier, je chercherai les moyens de lui rendre la vie plus supportable et plus douce, et de relever le travail de son

homogène qui partage les mêmes conditions matérielles de vie (classe en soi), qui a conscience de ses intérêts de classe et qui lutte pour les défendre (classe pour soi). Pour Weber, les classes sociales regroupent simplement des individus qui sont dans une situation économique analogue tandis que les idéologues les font aussi exister en produisant des discours (par exemple sur la classe ouvrière). Questions intermédiaires : L’opposition bourgeoisie / classe ouvrière est-elle aussi forte qu’à l’époque