Confédération du Rhin

transformant Rome, Hambourg, Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie de 1805 à 1814, mais également médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l’Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs

Les Armagnacs dans la vallée du Rhin supérieur et en Haute-Alsace (1445). Le règne de Charles VII (1422-1461) connait entre 1439 et 1445, une période de raffermissement de l’autorité souveraine, cependant ce fut pour la royauté une phase pénible à traverser. En effet on trouve la lutte persistante contre les Anglais dans le contexte de la guerre de Cent Ans d’une part, le mouvement féodal de la Praguerie (une révolte menée par les grands vassaux de France contre les réformes militaires du

continental imposé à l’irréductible Royaume-Uni (21 novembre 1806, décret de Berlin) ; d’autre part, sur un système hiérarchisé d’alliances et de soumissions. La France s’étend sur 130 départements, des Bouches de l’Elbe au Tibre. Toute la rive gauche du Rhin est annexée, de même que les Alpes italiennes. Les provinces Illyriennes sont rattachées à l’Empire. Tout cet espace est soumis à la Constitution du premier Empire et à l’autorité de préfets français. Des États vassaux constituent une zone largement

restait cependant plus vaste qu'avant 1789, car elle conservait Mulhouse, quelques principautés lorraines, une partie de la Sarre et du Palatinat et Avignon avec le Comtat Venaissin ; o Au second Congrès, car on lui retire encore Landau sur le Rhin, ainsi que quelques places belges. En revanche, elle conserve l'Alsace, la Lorraine et la Flandre[2]. o De plus la France est surveillée de près par une ceinture d'états tampons destinée à interdire toute reprise d'une politique révolutionnaire

agrégation ou par ségrégation. A. Attraction d’états fédérés ▪ Georges Scelles évoque un premier mode de création d’état fédéral : l’agrégation. ▪ Exemple : Création de République fédérale d’Allemagne (Saint Empire Romain-Germanique → Confédération du Rhin → les « monarchies à tendance fédérales » → Empire allemand → République de Weimar → IIIème Reich → Division et occupation de la future République Fédérale d’Allemagne → Réunification de la République Fédérale d’Allemagne → Chute du mur de

deux systèmes que tout oppose. Rien d'étonnant, puisque l'on peut constater que les conflits sociaux sont vécus de façon très différente dans les deux pays. On constate aujourd'hui qu'en Allemagne, il n'existe plus que trois syndicats : la confédération allemande des syndicats DGB, subdivisée en huit syndicats de branche, qui compte un peu moins de sept millions d'adhérents, le syndicat des fonctionnaires DBB avec 1,2 million d'adhérents, et, assez marginalement, le petit syndicat chrétien CGB

de l’Autriche actuelle. Tout commença avec Napoléon 1er qui proclama la dissolution du Saint-Empire Romain germanique ce qui créa soudain une panoplie de royaumes comme la Bavière, la Hesse et plusieurs autres. Il en regroupa 16 et créa la Confédération de Rhin qui deviendra, 12 ans plus tard, l’Empire d’Autriche. François II fut proclamé Empereur d’Autriche et pris le nom de François 1er. En 1848, une sorte de révolution voit le jour. C’est ce que l’on nomme le « printemps des Peuples », période

transformant Rome, Hambourg, Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie de 1805 à 1814, mais également médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de laConfédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l’Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs

transformant Rome, Hambourg, Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie de 1805 à 1814, mais également médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de laConfédération du Rhin de 1806 à 1813. Ses victoires lui permettent d'annexer à la France de vastes territoires et de gouverner la majeure partie de l’Europe continentale en plaçant les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs

av. J.-C., alors qu'il tentait de faire obtenir la citoyenneté romaine aux Italiens alliés de Rome. En effet, ceux-ci, bien que faisant partie depuis longtemps de la République mais étaient considérés comme des sujets141. La confédération italique (La première Confédération italique était une organisation politique qui réunissait, entre -98 et -90, la plupart des peuples du centre et du sud de l'Italie, sauf les étrusques et les ombriens, contre Rome qui refusait de leur accorder la citoyenneté romaine