Confédération du Rhin

même année est conclue la Confédération du Rhin dont Napoléon devient le protecteur : 16 princes allemands y entrent et François II renonce à son titre d’Empereur d’Allemagne, il n’est plus que François Ier d’Autriche. Recherchant la paix, Napoléon engage par ailleurs des négociations avec l’Angleterre et la Russie. Elles échouent. Londres rompt les pourparlers. Le Tsar, souverain au caractère fuyant, se dérobe. Berlin, inquiet de l’existence de la Confédération du Rhin qu’il considère comme étant

Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérôme

l'armée du Saint-Empire romain germanique. Les territoires avoisinants, Lucerne, Zurich, Glaris, Zoug et Berne se rapprochent d'eux au XIVe siècle, fondant ce que l'on appelle aujourd'hui la confédération des VIII cantons. Le XVe siècle est parsemé de conquêtes et voit la Confédération atteindre le Rhin et la Suisse romande, tout en s’alliant avec les territoires environnants que sont le Valais, Appenzell, Saint-Gall, les Ligues grises (canton des Grisons) et Fribourg. Le pays participe à la guerre

le franchissement. La France avait prévu de disposer de trois atouts pour faire de cette guerre une « promenade militaire » : l’alliance autrichienne, des appuis surs en Allemagne du Sud et engager la première offensive. * De l’autre côté du Rhin on est beaucoup plus prudent. Guillaume Ier, roi depuis 1861, est le commandant en chef de son armée. C’est par son éducation un soldat et il s’efforça de faire de l’armée prussienne une armée moderne. Pour faire cela il augmenta les crédits militaires

Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérôme

Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérôme

 Barcelone ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la majeure partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d'Espagne, Jérômesur

l’indépendance de la Confédération Suisse et des Provinces-Unies. L’Empire reste juridiquement en place mais ne joue plus de rôle politique. Napoléon décide de réorganiser l’Allemagne. En juillet 1806, 16 états quittent le Saint Empire pour former la confédération du Rhin avec le soutien de Napoléon. Ce dernier pose un ultimatum à François, lequel doit renoncer à sa charge d’Empereur d’Allemagne. C’est la mort du Saint Empire. Napoléon prend alors le titre de protecteur de la Confédération. Le

Rome, Hambourg ou Amsterdam en chefs-lieux de départements français. Il est aussi président de la République italienne de 1802 à 1805, puis roi d’Italie du 17 mars 1805 au 11 avril 1814, mais encore médiateur de la Confédération suisse de 1803 à 1813 et protecteur de la Confédération du Rhin de 1806 à 1813. Il conquiert et gouverne la plus grande partie de l’Europe continentale et place les membres de sa famille sur les trônes de plusieurs royaumes européens : Joseph sur celui de Naples puis d’Espagne

une grande partie de la Confédération germanique, et politiquement, elle désire appliquer la solution grande allemande, c’est-à-dire qu’elle souhaite avoir tous les états allemands sous sa domination et non sous celle de la Prusse. En 1851, Bismarck fonde le Nationalverein, que l’on appelle aussi la solution petite allemande, par opposition à la grande allemande des Autrichiens. Il s’allie en fait avec les mouvements libéraux et nationaux dans le but de créer une confédération dominée uniquement par