Confédération française des travailleurs chrétiens

CGT (Confédération générale du travail) a obtenu 1 570 500 suffrages (34 %) aux dernières élections prud'homales de décembre 2008. Il à été créé le 23 septembre 1895 à Limoges. En 2010 on compte 681 930 revendiqués. Ils ont deux affiliations: la Confédération européenne des syndicats (CES) et la Confédération syndicale internationale (CSI)   La CFDT (Confédération française démocratique du travail) créé en 1964. Elle a été créée en 1919 sous le nom de Confédération française des travailleurs chrétiens

exister entre eux, car leur but n’est pas de gouverner mais d’améliorer les conditions de travail. La liberté syndicale a été reconnue en France par la loi dit Waldeck-Rousseau de 1884. Elle rompt avec la loi Le Chapelier, qui pendant la Révolution française en 1791 avait interdit tout groupement professionnel. Le droit d’adhérer à un syndicat et de défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale (= mouvement de protestation sous forme de grève de manifestation ou des contrats ) a été ensuite

Les différents syndicats LA CGT (la Confédération Générale du Travail).
La CGT est le syndicat le plus ancien (1895) qui a organisé de grandes grèves, au XX° siècle (par exemple en 1936).
En 2003, la CGT avait 685 000 adhérents : elle a beaucoup plus d'adhérents dans le secteur public que dans le secteur privé (EDF-GDF, SNCF, les hôpitaux), mais elle est aussi très présente dans l'industrie automobile. Depuis 1995, la CGT veut être moins liée avec le Parti Communiste. La CGT est un syndicat qui

syndicats de salariés. Au titre des syndicats de salariés, cinq confédérations syndicales sont aujourd’huireprésentatives au niveau national, ce qui leur donne le droit de négocier et de conclure des accords dans tous les secteurs. Il s’agit de la Confédération générale du travail (CGT), la Confédération française démocratique du travail (CFDT), la Confédération générale des cadres (CGC), la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) et Force ouvrière (FO). Pour le secteur spécifique de

Section 1 : Le mouvement syndical : histoire et généralités. La conquête du droit syndical en France a été difficile et on peut distinguer trois périodes : - L’interdiction absolue : la révolution française jusqu’en 1848 - Une période de tolérance de 1848 à 1884 - La reconnaissance officielle en 1884. Au départ, le syndicalisme ouvrier repose sur deux types de doctrines : - le syndicalisme révolutionnaire - le syndicalisme réformiste. Même au 19ème siècle, les objectifs de ses deux

principales organisations syndicales, mais les cinq sont historique depuis plus de 40 ans, elles sont reconnues comme représentatives par le gouvernement au niveau national et interprofessionnel. Elles se différencient par leur orientation politique a. La CGT (la Confédération Générale du Travail). C’est le syndicat le plus ancien (1895) qui a organisé de grandes grèves, au XX° siècle (1936). Elle à beaucoup plus d'adhérents dans le secteur public que dans le secteur privé elle est aussi très présente dans l'industrie

nation des instituteurs) a été crée à partir de la CGT. Confédération générale du travail, crée en 1895 qui est la visant à défendre les salariés français face à leurs employeurs dirigé par René Belin qui deviendra par la suite un ministre pour le gouvernement de Pétain en 1940) ainsi que la CTFC (= Confédération française des travailleurs chrétiens) qui lui, se réfère aux morales chrétiennes en 1919. 1912 : La CGT est la seule confédération syndicale existante en France, elle compte 700 000 adhérents

leurs intérêts, ont crée des syndicats. 1) la naissance de l’organisation syndicale En 1884 la loi Waldeck-Rousseau autorise les syndicats. Les 2 grandes tendances du début du XXème (marxistes et anarchistes) se sont unies pour créer la CGT (Confédération Général du Travail). Mais, à partir de 1917, beaucoup de syndicalistes penseront que seul le pouvoir politique peut changer la société : les syndicats doivent seulement avoir une action revendicative pour appuyer l’action de ces partis. 2) la

A partir de la Libération, la Confédération française des travailleurs chrétiens (CFTC) est traversée par d'importantes tensions internes. La tendance "Reconstruction" souhaite en particulier que la CFTC se laïcise. D'abord minoritaires, ses idées favorables à l’évolution progressent peu à peu : en 1959, un rapport sur la planification démocratique est adopté en congrès, et en 1961 l'un de ses animateurs, Eugène Descamps, est élu secrétaire général de la CFTC. Il prépare alors la déconfessionnalisation

de représentation des salariés et un rôle de négociation. Ce rôle de représentation est reconnu par l'Etat, qui a arrêté la représentativité de cinq confédérations (CGT, CFDT, CFTC, CGC, FO), et qui prévoit les attributions des délégués syndicaux. C'est principalement par le biais de la négociation collective que s'exprime cette défense des travailleurs : dans la région, la branche productive ou l'entreprise, les négociations menées et signées serviront de base de référence et constitueront les conventions