Confédération germanique

partie de l’histoire européenne. Après la chute de l’empire romain d’occident (476), il y aura de très nombreuses tentatives pour restaurer l’empire romain comme Charlemagne fondant l’Empire Carolingien, Otton qui fonde en 962 le Saint Empire Romaine Germanique, Charles Quin ou encore Napoléon. Autre facteur d’unité : le droit romain qui a fondé le « jus commune » de l’Europe. Ce droit n’a pas été statique, il a évolué pendant 13 siècles avant de trouver son parachèvement dans Les compilations de Justinien

Seule une période centrale autour de l’an 1000,de 5 ou 6 siècles, était assez cohérente (de l’expansion des Francs à l’essor des communes/des bourgs) apparaissant comme l’enfance de l’Europe moderne, le creuset de sa culture essentiellement latino-germanique. Les italiens, considèrent une bipartition qui colle parfaitement avec leur culture dansles siècles qui suivront : - le haut Moyen Age : du 5è au 10è siècle - le bas Moyen Age : du 10è au 15è siècle. Quant aux autres, une tripartition correspond

sont des Royaume sans justice sinon de vastes brigandages ? » La prise de Rome par les peuples Germaniques : apparait comme l’expression de la volonté de Dieu qui rappelle au mauvais gouvernement ce qu’il en coute de ne pas respecter la paix et la justice Chrétienne, de ne pas gouverner selon l’idéal chrétien. Les Francs ont occupé le Nord de la Gaulle pour former le royaume Franc. Le peuple germaniques sont connus depuis longtemps des Francs. Ils sont décrits par Tacite dans « La Germanie ». Depuis

peuples francs traversent la frontière du Rhin et s’installent dans l’Empire romain, plus précisément en Gaule romaine. À l’origine les francs ne sont pas un peuple mais une confédération de tribus germaniques basée sur les rives du Rhin, dans ce que l’on nomme de nos jours la Rhénanie. C’est une ligue de confédération regroupée sous l’appellation frank. Ce terme est à rapprocher du vieux scandinave frekk qui signifie « hardi, courageux ». Quand ils arrivent en Gaule, cette dernière est très

facteurs d’unité de l’Europe à des facteurs de division extrêmement durables. Les sources écrites de l’époque montrent que la conscience européenne se forge d’abord à partir d’une réaction contre l’extérieur. Les invasions, qu’elles soient des peuples Germaniques, des Musulmans, des Vikings, ou encore des Hongrois, créent des réactions de solidarité dans toute l’Europe, notamment en sein de l’Empire carolingien. Ainsi, dans une chronique du viiie siècle, les soldats francs qui s’opposent aux musulmans lors

Introduction Germanie : puissante confédérations guerrière : Francs, alamans, burgondes, vandales, Visigoths I. L’influence romaine A. Evolution de l’Empire Rome intègre ses conquêtes dans le monde de la romanité Edit de Caracalla : Citoyenneté à ts les habitants de l’Empire Rayonnement IIe siècle. Frontières assurées par légion pr assurer paix, prospérité, sécurité. Mais équilibre en réalité précaire. Arrêt des conquêtes : pertes de la main d’œuvre, appauvrissement de Rome

ainsi l'animal emblématique de la France, à la place du cheval des Gaulois. Les mots français « Gaule » et « gaulois » sont les mots correspondant aux mots latins Gallia, Gallus et gallicus, mais ces derniers n’en sont pas l’origine étymologique (du germanique whala, qui a donné en Anglais walles = Galles). Les Gaulois étaient un peuple de guerriers et de chasseurs, braves et querelleurs. Ils utilisaient des armes efficaces, en métal, et manifestaient leur puissance en se parant de casques et de colliers

Rome. Depuis le IVème s., les empereurs sont chrétiens. Le G n’avait pas été capable de répondre à l’idéal de justice, il subit par conséquent cette « invasion » des barbares. Plutôt qu’une invasion il s’agit d’une pénétration de tous les peuples germaniques massés aux frontières de l’Empire romain d’occident. Cette thèse du juste châtiment envoyé par Dieu est la thèse développée par un évêque, Augustin qui avait écrit une œuvre, La Cité de Dieu. Il pose la question essentielle du pouvoir. Le G de la

habituellement le « Corps germanique », une multitude d'Etats territoriaux (plus de trois-cents) de tailles très variables et de villes libres, résultat de l'émiettement progressif connu par le Saint Empire romain germanique depuis le XIIIème siècle, Saint Empire qui subsitait toutefois sous la forme d'une sorte de « confédération » politique avec à sa tête l'Autriche et qui englobait donc tous ces Etats. Le court « règne » de Napoléon bouleversa profondément l'organisation de ce Corps germanique dans les tous

duc de Courlande, occupée par les troupes russes il revint en 1764 à Varsovie. Il prit part à l'élection de Stanislas II de Pologne, le nouveau roy de Pologne. Il devint l'un des co-fondateurs de la Confédération de Bar le 29 février 1768. Devenant l'un des commandants des forces de la confédération il fut assiégé dans le monastère de Berdytchiv, capturé mais libéré sous condition de ne pas retourner en Pologne. Ne se sentant pas lié par ce serment, il retourne au combat, de nouveau assiégé dans