Conformisme

(-situations de pouvoir-) -des cadres très formels : école (élève-enseignant), voie publique (conducteur-gendarme) : pouvoir régis par des lois. -dans la famille : parents sur enfants -entre amis : influence sur la tenue vestimentaire par exemple – conformisme au groupe : pouvoir lié à la volonté de s'intégrer,... 2°) une relation à double sens Le pouvoir est une relation complexe. C'est une relation déséquilibrée mais qui n'est pas unilatérale. Il est important de noter en effet que le pouvoir

guère aujourd'hui, est capitale au XVIIe siècle: elle ménage une sociabilité harmonieuse, condamne les conduites agressives tout en faisant place à la liberté que chacun conserve de juger pour son propre compte. Elle peut avoir pour conséquence un conformisme ou une hypocrisie sociale: dans les deux cas, l'idéal de l'honnête homme devient équivoque, la vie sociale apparaît comme un théâtre où les personnages jouent des rôles convenus, et où l'intelligence consiste à déchiffrer les apparences. Sur ce

municipalité propose habituellement des spectacles de variétés. La responsable du service culturel propose une innovation et exprime sa volonté d'ouvrir les citoyens à d'autres courants musicaux. La minorité active permet au groupe d'échapper au conformisme, de demeurer créatif. Il s'agit donc d'offrir aux individus la liberté d'expression au sein d'un groupe afin que chacun puisse être, à son tour, celui qui influence et celui qui accepte le point de vue d'autrui. b. Comment une minorité peut-elle

apparaissent de manière faussée. Ils imaginent que la vie est rose, ce n’est pas toujours le cas, ils ressentent des frustrations. Bref, ils sont une cible privilégiée du marketing. Les origines du problème sont multiples. La crédulité et le conformisme des jeunes les rendent vulnérable. Leur engouement naturel les porte à la consommation. Ils représentent un énorme potentiel économique parce qu’ils influencent les achats familiaux et leur pouvoir financier augmente. Le groupe exercera une pression

(culturalité). Le processus de socialisation favorise la conformité dans la mesure où il permet l’adhésion des individus à la normalité (prise en considération des normes dans leur conduite au quotidien). Conformité à ne pas confondre avec conformisme : défini comme une attitude de soumission passive aux normes par pressions exercées sur la personne de manière insidieuse ou pas. 4 facteurs garantissent cette adhésion : - L’attachement - L’implication - L’engagement - Les

involontairement les lois. B. L'analyse de Robert Merton Cf : Structure sociale et déviance, Robert Merton Typologie des modes d'adaptation des conduites individuelles aux contraintes imposées par l'environnement ou la position sociale : - le conformisme : l'individu se soumet aux attentes du groupe. Il a les mêmes buts et les mêmes moyens qui sont la richesse et le pouvoir. - l'innovation : l'individu accepte les valeurs du groupe mais n'a pas fait siennes les normes sociales et procédures habituelles

condition « attitude positive ». On peut supposer que l’attitude du compère exerce une influence sur la décision du sujet de laisser passer ou non. Selon des auteurs comme Salomon Asch ayant travaillé sur le thème de l’influence sociale et sur le conformisme, le fait d’ opter pour le même choix qu’autrui nourrit des besoins socio affectifs comme celui de l’approbation sociale, de garder une bonne estime de soi. Dans la mesure où l‘énoncé nous indique que les expérimentateurs vont s‘intéresser au temps

l'autorité lorsqu'un individu change de comportement afin de se soumettre aux ordres émanant d'une autorité perçue comme légitime. Différentes caractéristiques de cette forme d'influence sociale : - elle se situe à un niveau interindividuel (conformisme et innovation sont des phénomènes intragroupes)  - elle implique un différent statut entre source et cible d'influence : un rapport hiérarchique  - la pression de la part de la source d'influence est explicite : il y a volonté d'influencer.

- L'influence de complaisance si le sujet ne modifie ses comportements que de façon manifeste et l'influence dîtes de conversion, si ses effets ne sont que latents. Solomon E. Asch ( 14/09/1907-20/02/1996) fit une expérience célèbre sur le conformisme : Un sujet est placé au milieu d'un groupe de "compères". Une ligne étalon leur est présentée, ainsi que trois autres lignes de tailles différentes mais dont une a la même taille que la ligne étalon. Il est simplement demandé aux participants

socialisation anticipatrice car il désir appartenir à ce groupe. Il permet à un individu de construit ou de reconstruire son identité. Cependant il peut être qu’un fantasme car groupe de référence plus élevé que le groupe actuel. C’est pourquoi par conformisme les individus ont tendance à choisir comme groupe de référence leur groupe d’appartenance. Lorsque l’on idéalise son statut futur cela peut conduire à des frustrations relatives. Le groupe d’appartenance correspond à un statue qui peut être subit