Confréries soufies

langue dialectale] à l’auberge Schloss – ne pas se hâter, pr ne pas réduire, même sous la pression des autres du village ( env 40 personnes) – les lieux importants du village ( + Jenkins, mort à la guerre ds les 1ers) – l’auberge Schloss ( et la confrérie de l’Éveil) ; le maire Hans Orschwir – l’instituteur Diodème ( plus là depuis quand ?...) ; Dieter Schloss (brève d° ) ; Fédorine, Poupchette et Émélia – Ce soir-là, Brd parti chercher du beurre à l’auberge, tandis que Poupchette malade. ) L'incipit

Les Confréries de Pénitents au Regard du Droit Canonique « Vous êtes le sel de la terre … vous êtes la lumière du monde » (Mt. 5, 13-14). Cette invitation du Christ à propager son enseignement et à donner l’exemple ne s’adresse pas seulement au clergé mais à l’ensemble du peuple de Dieu. Les laïcs sont donc, également, appelés à porter témoignage. Certes, ils peuvent le faire à titre individuel, mais il est plus efficace de le faire en groupe. C’est pour cette raison que le droit de l’Eglise

solennelle je jubilai : familiarisée depuis longtemps avec la sainte table, je goûtai sans scrupule les attraits spécifiques de la fête. » La honte la consuma le jour où son père apprit qu'elle avait eu ses premières règles : « J'avais imaginé que la confrérie féminine dissimulait soigneusement aux hommes sa tare secrète. En face de mon père je me croyais un pur esprit. J'eus horreur qu'il me considérât soudain comme un organisme. Je me sentis à jamais déchue. » Elle connut les malaises de beaucoup d'adolescentes

chuchote l’assistance. Dans la croyance gnaoui, chaque personne est sous le joug d’un mlouk, ou possédant. A possédant, il y a un possédé et ce sont les humains qui appartiennent aux seigneurs du monde occulte. Au cours d’une lila, le chef de la confrérie gnaoua chante dans un ordre précis les textes invocateurs des différents mlouks qui manifestent leur présence (hadra) à tour de rôle. Et la transe, ou lhal, est l’état de possession qui résulte de la rencontre de l’humain et de son maître. Un état

il faut « savoir le vrai, aimer le beau, faire le bien », et servant à « commenter, examiner, éclairer la vie humaine ». Enfin le premier article de la constitution des Maçons rédigée par Anderson au XVIII ème siècle apporte une définition à la Confrérie maçonnique : « La Franc-maçonnerie, institution essentiellement philanthropique, philosophique et progressive, a pour objet la recherche de la vérité, l'étude de la morale et la pratique de la solidarité ; ette travailla à l'amélioration matérielle

complexe. Après un bref exposé de l’organisation du trafic des médicaments au Sénégal, nous étudierons d‘abord comment la confrérie mouride a pu investir ce commerce illicite, et comment, en retour, ces pratiques économiques ont joué un rôle structurant sur ce groupe social, notamment en milieu urbain. Puis nous tenterons de comprendre les relations de pouvoir entre la confrérie et l’Etat, d’une part, entre le marabout et ses disciples, d’autre part, pour montrer l’extrême implication de la structure

bénéficia du soutien de sa confrérie religieuse ainsi que de celui de son épouse Aleyt Goyaerts Van der Meervenne, ce mariage se passa entre 1479 et 1481. Sa chère et tendre était issue d’une famille respectable et disposait ainsi d’un grand capital. En ce qui concerne la confrérie Bosch était très proche, il s’agit de celle de Notre-Dame. Le nom de Bosch apparaît sur une liste des membres pour la première fois en 1486-1487, le peintre resta très proche de cette confrérie toute sa vie. Elle fut fondée

subisse le traitement alors infligé aux suicidés, « être traîné sur la claie » (cadavre traîné face contre terre puis jeté aux ordures)1. Mais les Calas, de confession protestante, sauf l'un des fils, Louis, converti au catholicisme et affilié à la Confrérie de pénitents blancs, continuent à pratiquer leur foi, et cela suffit pour que le capitoul David de Beaudrigue, convaincu par des rumeurs de voisinage alléguant la volonté de Marc-Antoine de choisir réellement la religion catholique, exige un complément

chargée de verres, de bouteilles, de victuailles que l’on dresse lors de certains évènements populaire (p.195 – l.8) * Pressfrütekof » : pas de traduction (p.200 – l.32) Les villageois et le village : * « De Erwecken’s Bruderschaf » : la Confrérie de l’Eveil (p.16 – l.22) * « Die Fleckarei » : l’Equerre (p.54 – l.16) * « Gewisshor » : le Savant (p.121 – l.14) * « Zungfrost » : langue gelée (p.147 – l.7) * « De Runhgäre » : les Coureurs (p.196 – l.2) * « Wolhwollend Trast » :

désigner les francs-maçons: les maçons, les frères ou, plus familier, les frangins. 1/ Histoire Elles remontent au moyen-âge, en Écosse, en Angleterre et en France dès le XIème siècle. L'origine de la franc-maçonnerie est à rechercher dans les confréries de bâtisseurs du moyen-âge. A cette époque, les tailleurs de pierre transportaient des blocs de pierre taillés de plusieurs tonnes pour construire des cathédrales. Ils pouvaient, à partir d'un simple tracé et par l'art de la géométrie, construire