Congrégation de l'Oratoire

est odieux. Condorcet est du même avis « les écoles privées sont le moyens de corriger les vices de l’instruction publique ; de soutenir le zèle des maitres par la concurrence. Mais les rapports avec l’Eglise se crispent : - Interdiction des congrégations Constitution civile du clergé Confiscation des biens. Le champ est désormais libre pour la constitution d’institutions nouvelles 7 2 Le second grand débat concerne la gestion sociale de la scolarisation : jusqu’où étendre la vulgarisation des

défend pas les sciences médicales, mais cherche à mettre en évidence un aspect plus humain du métier de médecin. c) Alhoy, Louis-François-Joseph, Les médecins vampires Alhoy naît en 1755. Il professe dans les collèges au nom de la Congrégation de l’oratoire. Nous savons qu’il est nommé directeur de l’Institution des sourds-muets et qu’il devient ensuite membre de la commission administrative des hospices. Il compose un discours sur l’éducation des sourds-muets et deux poèmes sur les hospices

d’un maître des eaux et forêts et d’une Françoise Pidoux de très bonne famille, il passa à Château-Thierry, ville somnolente de Champagne, une jeunese insouciante. À l’âge de vingt ans, il entra, à Paris, dans une des plus sévères congrégations religieuses, l’Oratoire. Cependant, au lieu de la Bible, il y lut “L’astrée” d’Honoré d’Urfé, roman pastoral peuplé de bergers amoureux qui était le best-seller de l’époque. À Paris, il découvrit les jolies femmes, le bonheur de la parole et de l’écriture

la situation du lieu, ouvert chaque jour, par les œuvres et les intentions de la miséricorde, aux pauvres, aux nécessiteux, aux étrangers et aux pèlerins. Il nous a plu d'insérer dans ce testament que, dès ce jour, les moines réunis à Cluny, en congrégation, seront pleinement affranchis de notre puissance et de celle de nos parents, et ne seront soumis ni aux faisceaux, de la grandeur royale, ni au joug d'aucune puissance terrestre7. Par Dieu, en Dieu et tous ses saints, et sous la menace redoutable

réformation de Luther à Calvin. Chapitre 4 : Les réponses catholiques. Chapitre 5 : L’école et la transmission des savoirs. Chapitre 6 : Evangélisation et acculturation religieuse : essor des missions (XVIe-XVIIIe). Chapitre 7 : Un modèle de congrégation tridentine : la Compagnie de Jésus. Chapitre 8 : Un laboratoire de tolérance religieuse ? L’exemple de l’Angleterre. Chapitre 9 : Religion et Lumières en Europe. Chapitre10 : Culture et cadre de vie du clergé en France au XVIIIe siècle. Chapitre11 :

sans oublier son appartenance chrétienne. Dans son Histoire critique du Vieux testament (1678), Simon soulève la question de l’authenticité du Texte. Ebranler «la version officielle» du Texte Saint vaudra au père Simon l’exclusion de la congrégation de l’Oratoire, mais comme son contemporain Spinoza, il fait évoluer la critique textuelle de la Bible. Selon Simon, La compréhension de la Bible hébraïque est liée aux voyelles qui ne sont pas écrites mais représentées par des accents, conférant au texte

sont des congrégations qui appartiennent au catholicisme.(des branches du catholicisme). Il s’agit de deux interprétations radicalement opposées du catholicisme.   I. JESUITES   1. Contexte  Le terme « jésuite » est dans un premier sens une insulte, « se dit d’une personne qui manifeste un peu trop qu’il est un bon chrétien ». Le terme a ensuite pris le sens de « membre de la Compagnie de Jésus ».  Ignace de Loyola est le fondateur de la Compagnie de Jésus. Cette congrégation est reconnue

et parvint jusqu'à la Révolution, où il disparut de la manière qui va suivre. On en trouve plusieurs descriptions : « Ce chapeau de la Pucelle, conservé à l'Oratoire d'Orléans, est d'un « satin bleu », avec quatre « rebras » brodés d'or, et enfermé dans un étui de maroquin rouge, avec des fleurs de lys d'or[58]. » « Les Pères de l'Oratoire conservent dans leur sacristie le chapeau de la Pucelle d'Orléans, de « velours bleu » brodé d'or.[59] » « Il était d'un « satin bleu », avec quatre rubans

la pensée chrétienne du XVIIe siècle, dans la mesure où la vie mondaine constitue une permanente mise en valeur du moi. Qui plus est, le cardinal de Bérulle (1575-1629), fondateur de la congrégation de l'Oratoire, parle même d' «anéantissement » du moi pour aller vers Dieu, et le père Senault, général de l'Oratoire, présente dans ses œuvres un tableau de la nature humaine fondé sur ses oppositions. On voit que toutes ces idées sont très proches des thèses que défend Pascal dans les Pensées. De plus

fonctions de maître des eaux et forêts. On ne sait trop comment, ni d'où lui vint l'idée d'entrer à l'Oratoire quand il eut tant bien que mal terminé ses premières études ; mais jamais homme ne se trompa sans doute plus étrangement sur la nature de son génie. Et ce qui est bien plus étrange encore, c'est qu'il ne reconnut pas lui-même son erreur, et il fallut qu'on le priât de se retirer de la savante congrégation. Il n’avait pas tout à fait vingt-trois ans. Il fit alors son droit, comme Boileau, comme Molière