Congrès national africain

du racisme, c'est-à-dire une hiérarchisation entre races ou ethnies : l’Apartheid en Afrique du Sud L’apartheid[2] était une politique nationale de développement séparé affectant des populations selon leur race ou leur ethnie dans des zones géographiques déterminées. Il fut conceptualisé et mis en place à partir de 1948 en Afrique du Sud par le Parti national, et abolie le 30 juin 1991 sous l’influence de Nelson Mandela et Frederik de Klerk. La politique d'apartheid se voulait l'aboutissement institutionnel

telles que l'organisation des compétitions. Les confédérations sont les organes de tutelle des fédérations nationales dans chaque continent. L'AFC en Asie, la CAF en Afrique, la CONCACAF en Amérique du nord, en Amérique centrale et aux Caraïbes, la CONMEBOL en Amérique du sud, l'UEFA en Europe et l'OFC en Océanie soutiennent la FIFA, sans pour autant empiéter sur les droits des fédérations nationales. En fait, les Confédérations élèvent le standing du football en organisant leurs propres compétitions

La décolonisation et ses conséquences En 1945, les continents africains et asiatiques sont encore largement colonisés par des puissances européennes comme la France et la grande Bretagne. Mais l'émancipation des peuples dominés s'accélère après la seconde guerre mondiale. La décolonisation a débuté sur le continent asiatique et s'est poursuit sur le continent africains dans les années 50. A partir de 1950, le tiers monde se constitue et cherche à s'affirmer sur la scène internationale sur le

L’Afrique face à la mondialisation: le point de vue syndical Education ouvrière 2001/2 Numéro 123 Sommaire Editorial Les femmes africaines en première ligne, par Mamounata Cissé L’intégration régionale en Afrique: mode d’emploi, par Mohammed Mwamadzingo Le défi de l’économie informelle, par Emile Delvaux Une nouvelle conception de l’ajustement, par Lawrence Egulu Mondialisation, démocratisation et conditionnalités à géométrie variable, par François Misser SIDA: prévention et trithérapies

réalité, c’est une guérilla qui s’installe, et sous la IVème République, l’engrenage de la Guerre est commencé avec un envoi de plus en plus massif de soldats, à la base dans l’idée de maintenir l’ordre. II. La guerre Le Front de Libération Nationale apparaît en 1954, dirigé par F. Abbas, pour l’action immédiate. 70 attentas ont été déclenchés en Algérie : c’est le début de l’insurrection. L’état d’urgence est déclenché par la IVème République. Ils envoient l’armée. Dès 1956, une opération

(juin 1943) et laisse espérer un soutien à l’émancipation de son pays. Nait alors des mouvements nationalistes marocains : L’Istiqlal. Il lance un manifeste en 1944 où il explique le désir du Maroc à être libre. Les idéologies de libération nationale La revendication des principes Il y existe une grande diversité des principes revendiqués : libertés, nation, patrie viennent de l’Europe qui les a colonisé. En effet les leaders des mouvements nationalistes ont été éduqués par les européens :

Nationalisme africain Nationalisme africain est nationaliste le mouvement politique pour un a unifié L'Afrique, ou l'objectif moins significatif de la reconnaissance de l'Africain tribus en instituant leurs propres états, aussi bien que la sauvegarde de leurs coutumes indigènes. Les établissements qui ont soutenu la cause ont inclus Société de protection des droits des aborigènes dans Côte d'or (fondé 1897), Le congrès national africain dans L'Afrique du Sud (1912) et le congrès national de l'Afrique

: la décolonisation des pays africains : des voies d’émancipation différentes Questions Première partie : analyse de l’ensemble documentaire 1) A l’aide du document 2, indiquez quelle est la situation politique du continent africain en 1945, puis en 1990. 2) Comment les mouvements indépendantistes présentent-ils l’action des puissances européennes sur le continent ? (documents 1 et 5) 3) Quelles sont les revendications politiques des mouvements d’indépendance africains ? 4) Montrez que les modalités

plusieurs générations d'activistes anti-apartheid qui y voient une méthode pour lutter contre l'oppression et le colonialisme. II Lutte contre l’ apartheid. C'est en 1944 que Nelson Mandela rejoint le Congrès national africain. Aux élections générales de 1948, la victoire inattendue du Parti national, entraîne la mise en place d'une nouvelle politique de ségrégation connue sous le nom d'apartheid[]. Dans ce système, le rattachement territorial puis la nationalité et le statut social dépendent du statut

son oncle maternel ainsi que de la chefferie des Akoué, autour de Yamoussoukro. Il devient dès lors un notable respecté, surnommé affectueusement le «Vieux». Comme les planteurs africains de cacao et de café souffrent de discriminations vis-à-vis de leurs homologues européens, il fonde le Syndicat Agricole Africain et mène la lutte pour l'obtention des mêmes droits. Après la Seconde Guerre mondiale, il est élu député à l'Assemblée constituante, à Paris, et devient plusieurs fois ministre dans