Conjonction logique

ville ». En revanche, la troisième partie, ligne 30 à 41, va tenter d’expliquer et décrire, toujours avec le point de vue d’un indigène, la façon dont le pouvoir est décrété et utilisé dans la société des sauvages. L’extrait commence par la conjonction de coordination « Or », ce qui montre que l’argumentation a déjà commencée, et que Montaigne va nous présenter sa thèse. Par contre, peu de mots de liaisons sont présents dans ce texte, les paragraphes servant à découper le texte. Cette thèse de

de pêche, sensible aux charmes des femmes. Mme Roland nous est dépeinte comme une femme rêveuse et sentimentale, que la pêche n’intéresse nullement. Les deux personnages éponymes ; Pierre et Jean sont à la fois présentés comme complémentaires (conjonction de coordination du titre) et comme opposés, dans leurs apparences physiques, dans leur situation sur le bateau (bâbord ; tribord), comme complices dans leurs attitudes vis-à-vis du Père. Seule Mme Rosémilly ne nous est pas décrite. Le lecteur

observation d'indices(« des traces singulières »), à la manière d'un détective, après la conjonction de coordination « or ». Une nouvelle précaution est prise pour éviter le caractère hâtif des déductions : le sol « paraît » avoir été remué (l.10). Il rappelle ensuite une hypothèse écartée (« le trésor n'est point à la surface ») avant d'en venir à la conclusion avec la conjonction « donc »(l.12) qui marque la conséquence. Il ne manque plus dès lors que la preuve par la confrontation

personne du singulier de l'impératif. « Chante plus fort ! » « est » ou « et » ? Vous pouvez remplacer ce mot par « était » ? C'est alors une forme du verbe « être », qui s'écrit « est ». « Il est malade. » Dans le cas contraire, il s'agit de la conjonction de coordination « et ». « Je dois passer au stade et chez le boucher. » « a » ou « à » ? Vous pouvez remplacer ce mot par « avait » ? C'est alors une forme du verbe « avoir », qui ne prend pas d'accent. « Il a mangé tout le chocolat. » Sinon, c'est

La dissertation L'introduction 1) La présentation : phrase de présentation ou d'accroche qui permet d'introduire le sujet sans le balancer comme ça. 2) Le sujet : le sujet doit être cité tel quel avec les guillemets et en entier. 3) la problématique : Elle doit montrer et donner de la dynamique au sujet. Elle illustre notre lecture du sujet (personnelle). On peut dépasser les limites du sujet mais attention au hors sujet. Attention aussi à ne pas paraphraser. Elle s'appuie sur des définitions

groupe nominal « sa douleur »l.20. /1 III) La réaction d'un personnage émouvant 9) Relevez une comparaison dans le dernier paragraphe. /1 10) Qui semble réellement voir ou faire cette comparaison ? /1 11) Relevez dans la phrase suivante la conjonction de coordination qui oppose les deux réactions de Félicité : "Elle retenait sa douleur, jusqu'au soir fut très-brave; mais, dans sa chambre, elle s'y abandonna, à plat ventre sur son matelas, le visage dans l'oreiller, et les deux poings contre les

juxtaposées, lorsqu'elles se suivent  et sont séparées par une virgule (ou un point-virgule). Exemple : 'je me meurs, je suis mort, je suis enterré.' (L'avare, Molière) II- LA COORDINATION : deux propositions coordonnées sont reliées entre elles par une conjonction de coordination (mais - ou - et - donc - or - ni - car).  Exemple : 'Je pense donc je suis' (Descartes) III- LA SUBORDINATION : une proposition subordonnée est une proposition dépendant d'une proposition principale.       1) La proposition subordonnée

complexe: [Aujourd'hui en salle 18, nous avons très chaud] mais [nous devons quand même travailler]. La phrase est complexe car elle contient au moins deux verbes; donc on parle de propositions (ici elles sont indépendantes coordonnées). La conjonction de coordination "mais" permet de coordonner les 2 prop.indép.. Il existe des phrases verbales (le verbe est le noyau de la phrase). Il existe des phrases non verbales : Ex.: 1.Attention à tes affaires! 2.Attention! 3.Bonjour! 4.Aïe

ce savoir dépend la réussite de sa parole et de ses contenus. Ce qui implique une certaine logique des rapports sociaux, et des valeurs. En revanche, dès lors que cette parole se voit fixée par l’écriture, tout en gardant ses qualités, elle devient une réalité indépendante du personnage, elle obéit à des codes, se collectivise, devient une valeur objective, voire une loi, bref elle obéit à une autre logique de parole qui coïncide avec un autre genre de société, de personnel de la parole. Cela n’est

qu’on dit, on a une relation de prédication et on peut ensuite ajouter toutes sortes de circonstances. La relation de prédication, ce sont les deux mots essentiels, le verbe = prédicat et le mot = sujet du prédicat. Prédication = ‫عَلاقَة‬ sujet logique, objet du discours = relation de prédication = ‫مسند إليه‬ Prédicat = ‫الإسناد‬ ‫مُسنَد‬ En pratique on a deux ordres possibles : on peut commencer par le prédicat ou par ce dont on parle. * si on commence par ce dont on parle, le nominale=