Connecteur logique

Fiche méthode – le commentaire II : la rédaction Introduction Elle est en 3 étapes et va du plus large (le contexte) au plus précis (le plan). Les 3 étapes doivent être reliées entre elles par des connecteurs logiques 1) l’accroche : elle pose le contexte, énonce une généralité > on peut utiliser pour cela le genre, le registre, le mouvement littéraire, ou tout simplement la thématique du corpus (éventuellement des éléments sur l’auteur mais ce n’est pas la meilleure accroche) 2) la

syntaxe. → Employez des mots simples, n’utilisez pas inutilement des mots ronflants pour « faire bien ». → Faites des phrases courtes et construites simplement. → N’exprimez qu’une seule idée par phrase, au maximum deux idées reliées par un connecteur logique (et, mais, ou) — allez droit au but, sans détour ; évitez les digressions entre parenthèses ou entre crochets. 3. Clarté → Soyez attentifs au sens et à l’emploi des mots utilisés : • n’utilisez les mots que dans leur sens exact (un

auto-da-fé devient un élément irrationnel. De surcroît, l'auteur du roman éponyme étudié, utilise des procédés de language bien définis tels que les connecteurs logiques pour exprimer l'inverse de sa pensée. Par exemple, le second paragraphe est introduit par la phrase "On avait en conséquence saisit un Biscayen [...]" (l.8) ; c'est un connecteur logique trompeur, puisqu'en effet, il n'existe aucun lien de conséquence entre un tremblement de terre et l'arrestation d'un Biscayen. Voltaire utilise ainsi

Un enfant était mené par les siens, présents par le champ lexical de la famille : « Nourrice (l.1), père, oncle tante » (l.2) » afin qu’il soit livré en pâture à la curiosité d’autrui, comme un phénomène de foire, ce qui est souligné par un connecteur logique de cause « A cause » (l.3), et de but « Pour ». ● l.3 à 11 : Explication de l’exemple : L’enfant est en fait collé à son siamois, lequel est sans tête, donc non viable, il apparaît donc comme un petit être monstrueux, de par sa grande différence

est bien un héros ni tout à fait bon, ni tout à fait méchant, qui passe du bonheur au malheur en fonction d'un crime qu'il a commis poussé par la fatalité. - la syntaxe : les différentes étapes de la vie d'OEdipe ne sont pas reliées par des connecteurs logiques, sauf 2ème § " donc il faut fuir Polybe et Mérope", les événements s'enchaînent sans qu'OEdipe puisse les maîtriser. Meurtre de Laius présenté comme une malheureuse erreur "le coup se trompe d'adresse et assomme le maître.", juxtaposition d'indépendantes

rapprochement de deux notions antinomiques. – les images saisissantes métaphoriques ou allégoriques : « Dieu n'est pas tiède » l.8, « épieu rouge » l.35, métaphore filée de la lumière/obscurité l49/52 – un ton didactique sensible dans les connecteurs logiques (« mais » l.8 et 48, « voilà pourquoi » l.12), le présent de vérité générale (par exemple l.45 : « il ne faut pas être plus pressé que Dieu »), la simplicité du vocabulaire (verbes simples comme voir/visiter/aimer/savoir ...) – un manichéisme

Pour chaque paragraphe : J’annonce au début de chaque paragraphe ce qui fait son unité, en soulignant le lien avec la question abordée dans la partie, et je fais une transition avec le paragraphe précédent (si c’est le 1er, je commence par un connecteur logique du style « Tout d’abord ».) Citations : Les citations sont toujours entre guillemets et sont exactement fidèles au texte. Je cite le texte pour appuyer mes interprétations. Les citations sont bien insérées aux phrases de ma réponse. (et non

question posée) L'annonce du plan (CAD les grands axes retenus pour répondre à la question) Le développement Il développe les grands axes annoncés dans l'introduction en faisant référence aux textes (citations et interprétations). Un connecteur logique permet de passer d'un paragraphe au paragraphe suivant. Un brève conclusion Elle rappelle les grandes idées développées dans le développement. Attention : La réponse ne doit pas être trop longue (on vous indique parfois le volume

l'ensemble du document que vous pourrez en dégager le thème. 2/ Extraire les idées principales De manière générale, à chaque paragraphe ou ensemble de paragraphes (unités de sens) correspond une idée principale. Un paragraphe peut commencer par un connecteur logique (exemples : en effet, pourtant, d'abord, ensuite, de même, par ailleurs …). La présentation des idées principales se fait sous forme d'un résumé rédigé (cf méthodologie du résumé du texte). 3/ Repérer les citations les plus significatives Dans

éléments défilent les uns après les autres grâce à une énumération de ce que rencontre la bicyclette sur son passage: "rue" (v.1) ; "corridor" (v.2) ; "un torrent de soleil" (v.3) ; le jardin" (v.10) ; "village" (v.13). Il y a répétition du connecteur logique "et" (v.4,6,16,20) et l'utilisation fréquente de la virgulle. Le décor est égalment harmonieux avec l'utilisation du champ lexical de la couleur : "d'or" (v.6) ; "noir" (v.7) ; "vert" (v.11) ; "doré" (v.11) . III - La bicyclette. Dans le