Consanguinité

« réparti ce qui est disponible ». Cela se fait sans constations majeur. Après qque génération il sont tous cousin a différents degrés. Mais qq’1 (garçon) parte du village pour trouver une prétendante ds un village à coté ce qui permettrai d’éviter la consanguinité. Ces mariage ce fond donc svt entre personne qui se connaisse depuis qqe tps (école ensemble par exemple). Empêchement: le mariage est régi par le droit ecclésiastique, c’est l’église qui a la juridiction des mariages et l’église fixe un certains

le médecin pose des questions à chaque membre du couple, séparemment. Pour la femme : -N’utilise-t-elle vraiment pas de contraceptifs ; -Veut-elle réellement un enfant ? ; -antécédents familiaux (déjà mariée, a déjà un enfant, fratrie, consanguinité, maladies héréditaires, cancers…) ; -antécédents non gynécologiques (chirurgie, exposition à des toxiques, traumatisme, tabecs, dopants, alcool, drogues, psychiques…) ; -antécédents médicaux spécifiques ; -antécédents gynécologiques (infection

groupes plus petits. Les mâles quittent leur groupe natal à leur maturité sexuelle et migrent de troupe en troupe lors de la saison de reproduction. En général, 1/4 des mâles change de groupe à chaque fois, ce qui permet de limiter les risques de consanguinité. La taille du territoire varie en fonction de l’habitat et des ressources alimentaires : 6 à 8 ha en forêt luxuriante et 15 à 25 ha en forêt épineuse. Les territoires de groupes voisins peuvent se chevaucher. La protection et la défense d’un

de contracter mariage au sein de leur propre groupe Exogamie : en ethnologie ensemble des lois et des coutumes qui interdisent les mariages entre les membres d'un même clan ou d'un même groupe ( l'exogamie permet d'éviter l'inceste et la consanguinité ) 3) Dans les sociétés modernes Les classes sociales apparaissent au XVIIIème siècle en Grande Bretagne avec la révolution industrielle. Au XIXème siècle en Grande Bretagne il existe 3 classes ; inférieur (lower), moyenne (middle) et supérieur

de ne pas tuer leur animal-totem, de s’abstenir de manger sa chaire ou d’en jouir autrement, et de ne pas avoir des relations sexuelles entres les membres du même totem (ce qui a créé l’exogamie). Le lien totémique parait plus important que la consanguinité des relations familiales. En effet la transmission du totem est héréditaire, soit par voie paternelle, soit par voie maternelle, qui semble avoir été partout la plus primitive, et n’a été remplacée par la transmission paternelle que beaucoup plus

l'apparition des grands monastères. · Thèse classique : aux XII l'individu n'existe pas et seule compte les groupes, c'est une thèse d'Engels. Avant la société féodale, on ne peut que repérer des groupes nomades ou semis-nomades soudés par la consanguinité, socialement et économiquement égalitaire, le lien clanique primait sur le lien familial. Dans les deux cas, c'est un lien de sang, il n'était pas possible d'imaginer la propriété privée. Attachement à trois niveaux : tribu, clan, peuple. C'est

renouveler les bonnes alliances sur plusieurs générations et pour cela, on épouse "au plus proche", c'est-à-dire au-delà d'un cercle de parentes considérées comme non épousables. Chez les Germains, la limite se situe entre le 2e et le 3e degré de consanguinité, on épouse au 3e degré et on renouvelle librement les alliances dans l'affinité. L'échange donne forme aux stratégies de la différence, il règle les positions de chacun, dans l'espace privé comme dans l'espace public, dans le champ du civil comme

récessif sur allèle normal, - Expression de la maladie est seulement chez les homozygotes ; l’hétérozygote est sain (même si parfois, il présente quelques signes mineurs). - Ex de maladie récessive autosomique (RA) : la mucoviscidose - NB : la consanguinité favorise la survenue de maladie RA de part le risque plus probable d’avoir un même gène délétère. Ces maladies sont plus sévères que les maladies autosomiques dominantes (ce qui est logique. Si les maladies autosomiques dominantes étaient plus

population est très fréquent la plupart se trouve être des journaliers ou des veuves. La pauvreté est aussi le sort fréquent des personnes âgées et des infirmes tout comme les idiots qui sont relativement nombreux dans les campagnes suite à la consanguinité. Cette population réussie à vivre en grande partie grâce aux charités et aux droits communaux. On trouve un exemple significatif de errants sous l'Ancien Régime : le cas d'une femme en 1768 « Journalière sans bien pour subsister […]. avons trouvé

l’auteur en parle mieux que quiconque en sa préface, et c’est bien pour cela qu’il faut qu’elle soit lue après et non avant. Le Duc Jean de Floressas des Esseintes ● Dernier descendant d’une ancienne famille aristocratique affaiblie par la consanguinité, marquée par un « tempérament appauvri » et par l’« effémination » graduelle des hommes, des Esseintes est un trentenaire anémique, aux yeux froids et bleus et à la barbe blonde en pointe. Il est orphelin depuis ses dix-sept ans et garde de ses