Contes De Perrault Analyse

et autres contes L’oiseau de feu 1 - Résumé C’est l’histoire de trois frères qui partent en quête de l’oiseau de feu pour le plaisir de leur père, le Tsar. Le plus jeune, Ivan doit mener à bien différentes missions pour réparer ses fautes tout le long de son périple. Il est aidé par un loup-gris aux pouvoirs magiques. En chemin, il rencontrera l’amour sous la forme d’Hélène la très belle, la mort, donnée par ses frères fous de jalousie et enfin une fin heureuse comme dans tous les contes de fée. 2

................................................................................................... 14 Séance 6 : l’article « paix » Damilaville ................................................................................................. 16 Analyse du texte ................................................................................................................................ 17 Paragraphe 1 : ..........................................................................................

conclusion, dans l’ordre où les idées ont été envisagées (ce sera plus clair !).  On essaie d’ouvrir. Après avoir traité ce sujet, vous en arrivez à la conclusion qu’une autre question (liée au problème étudié) pourrait être intéressante à analyser. Vous posez rapidement ce nouveau problème en ouverture : il peut être lié au genre, au mouvement littéraire, à un auteur, à une perspective historique. L’ouverture est littéraire ou culturelle.La littérature est un art se souciant de

un public précis, la Cour, l’idéal est d’inspirer le respect du régime royal, le beau est ce qui est conforme à la moralechrétienne. Pour eux, peindre le vrai c’est peindre la nature humaine, peindre l’homme. La peinture des passions humaines, leur analyse, confèrent un caractère psychologique à la littérature classique. Le classicisme répugne à introduire le laid, le bizarre, le fantastique et réduit par là son domaine d’observation. Le beau seul devait être imitable. Les grands représentants sont Jean

de Psyché et Cupidon», charmant roman en prose entremêlé de vers(1669). En 1684, il est élu, non sans mal à l'Académie, au fauteuil de Colbert où il retrouve Boileau, Perrault, Furetière. La vieillesse et la maladie amenèrent sa conversion (1692). Il est obligé de renier ses écrits licencieux. Il meurt en 1695. Outre les contes, et surtout les fables qui constituent toute sa gloire, La Fontaine s'est essayé dans tous les genres. Il faut citer Philémon et Baucis en 1685, et particulièrement les

universel, car il défend le point de vue académique. La Querelle des Anciens et des Modernes fait alors rage et La Fontaine prend parti, dans son Epître à Huet, pour les anciens tout en ne refusant pas les créations nouvelles ( de ses amis dont Charles Perrault…). Il fréquente alors les Vendôme, Madame Ulrich et la famille du prince Conti, pour le mariage duquel il dédit Le Milan, le Roi et le Chasseur (1688). En 1690, il dédit au Duc de Bourgogne Les Compagnons d’Ulysse (fable). En 1691, il publie Les

souvent qu’il ne convainc. Ensuite dans certains récits de fiction, les fées, les dragons, les princes et les princesses se mêlent aux rois, aux sorcières, et à d’autres monstres. Ils évoluent dans des mondes extraordinaires. Par exemples, Charles Perrault dans Les fées, utilise le mythe des fées et de la magie pour illustrer deux moralités. De même, Jeans de la Fontaine se sert d’animaux qu’il personnifie pour faire ressortir une caractéristique humaine. C’est pourquoi le destinataire peut s’identifier

permettent d'instruire les personnes qui les lisent, Candide étant confronté à la méchanceté, à la jalousie et à bien d'autres formes du mal. L'élément essentiel ce ce genre de texte reste tout de même la morale. Les contes pour enfants tels que Le petit Chaperon rouge de Charles Perrault sont des apologues. La morale ou plutôt l'avertissement à la fin de ce conte serait d'écouter les conseils de ses parents et de ne pas parler à des inconnus. L'apologue comporte un enseignement qui amène à une réflexion

puissance transcendantale Lecture analytique n°1 : chapitre 1 I. Micromégas A. Le portrait incipit : début du conte → chap 1 Micromégas : prototype des philosophes → Voltaire → portrait fabuleux, impossible, ressemble à tous les grands personnages de contes : géant avec détails * repose sur la taille * personnage dans l'opacité, confusion * physique avantageux * portrait fictif Pas le paraître qui compte mais l'être * physique pas important autre que taille : esprit + important

vision de la réalité Les classiques obéissant à Aristote veulent avant toute chose instruire les lecteurs. Or, pour instruire il faut décrire la vérité. C’est pourquoi le classicisme s’attache à exposer la complexité de la vie psychologique et à analyser sans complaisance le comportement des hommes. Il faut aussi ajouter que ce sont les classiques qui ont crée l’image de l’ « honnête homme » contre laquelle les romantiques s’élèveront. II- Esthétique L’esthétique classique s’est élaborée au