Contexte Historique La Vie Devant Soi

Thématique choisie: LA VIE EST BELLE -étude de la scène « la règle du jeu» http://www.vodkaster.com/Films/La-Vie-est-belle2/4679 descriptif de l'œuvre Le film «LA VIE EST BELLE » a été tourné en 1997 par Roberto Benigni, qui est aussi l'acteur principale. Le film a été présenté au festival de Cannes en 1998 (grand prix du Jury). Les personnages principales sont: Roberto Beningni dans le rôle de Guido Orefice, Dora (Nicoletta Braschi), Giosué Orefice

Misson Pol Verhelpen Dossier préléminaire: "la part de l'autre" de Schmitt E-E Schmitt E-E, La part de l'autre, Paris, Ed. albin Michel, 2001, livre de poche, 503 pages. => contexte historique de l'histoire du roman: Ce livre décrire la vie d’Hitler, l'histoire montre dans quels contextes la première guerre mondiale a commencé, mais aussi la seconde guerre mondiale et la situation de l'Autriche avant la guerre. Le récit est situé dans la première moitié du 20ième siècle. Durant

LES PERSONNAGES ? TROISIEME SEANCE : ENTRÉE DANS L’ŒUVRE DE MUSSET A PARTIR D’EXTRAITS SUR LE PERSONNAGE DE LORENZACCIO ; LORENZACCIO EST-IL UN HEROS ? QUATRIEME SEANCE : POURQUOI LORENZO EST DEVENU LORENZACCIO ? CINQUIEME SEANCE : DU PERSONNAGE HISTORIQUE AU HÉROS ROMANTIQUE SIXIEME SEANCE : LORENZACCIO EST-IL LE DOUBLE DE MUSSET ? annexe 1 : groupement de texte autour de la question : Qu’est-ce qu’un héros ? Texte 1 : Ulysse (2 pages ) Texte 2 : Antigone ( Texte 3 : La princesse de Clèves Texte

La Jeune Fille à la perle (The Girl with a Pearl Earring) est un roman historique écrit par Tracy Chevalier et publié en 2000. L'action se déroule à Delft aux Pays-Bas au xviie siècle, et le récit a été inspiré par le tableau de l'artiste Johannes Vermeer, La Jeune Fille à la perle en imaginant l'histoire qui a conduit à la création de cette œuvre. Le roman a été adapté en 2003 dans le film homonyme. Sommaire  [masquer]  * 1 Origine * 2 Résumé * 3 Personnages * 3.1 Griet

Chaque trait de caractère, qu’il soit proche ou distant du lecteur, chaque comportement, façon de penser, ou bien trait physique apportent au lecteur un sentiment plus réel, plus facile d’interprétation. Il a une image plus nette, et peut appréhender la vie sous un autre angle, sous un autre point de vue. L’intérêt du personnage est de soutenir l’intention du lecteur tout en lui permettant de s’évader, de s’identifier, de réfléchir et de comprendre certains faits ou même ressentis interlopes. Le personnage

peut produire chez le spectateur. C’est un moyen de faire ressortir ce qui est enfoui au plus profond de chacun. Il illustre tout ceci à l’aide d’exemples personnels. Il définit aussi deux types d’émotions. L’une résulte d’un choc, de la surprise devant un tableau et l’autre d’une observation attentive de l’œuvre. Celle-ci permet de parvenir à la compréhension, la révélation et c’est à ce moment-là que « la peinture se lève » (Goncourt). La technique peut aussi être la cause de l’émotion. Tout historien

de Nana, Hotel de Muffat et de Nana ensuite = luxe criard - dans le scénario (société, politique, moeurs, milieux sociaux….) ex: Le milieu du théâtre, de la prostitution pour Nana, de l'aristocratie pour Muffat et Vandeuvres, de la vie à la cour (Ajout de christian Jaque) = voit plus la différence entre le monde de Nana et de Muffat Episode de la Rafle. Dans l'oeuvre de Zola, Nana ne se fait pas arrêter (il s'agit de Satin). L'épisode avec Fontan, dans le cadre du film pas réellement

Fayette, des villes d’Aix et de Digne dans le sud de la France en 1815 pour Victor Hugo et du 21 mars 1927 à minuit et demi dans une chambre d’une ville tropicale pour Malraux. La précision des dates et des lieux ancre ces récits dans la réalité historique et leur donne plus d’authenticité. 1815 correspond en effet à la transition entre l’Empire et la Restauration et le 21 mars 1927 au début de l’insurrection de Shanghai. Dans Jacques le Fataliste il n’y a aucun indice spatial : « le lieu le plus

ne faudra pas payer trop cher un jour, et si on pourra encore être un homme après ? On prend le bout de bois, on redresse devant la montagne d’eau, on gueule un ordre et on tire dans le tas, sur le premier qui s’avance. Dans le tas ! Cela n’a pas de nom. C’est comme la vague qui vient de s’abattre sur le pont devant vous ; le vent qui vous giffle, et la chose qui tombe devant le groupe n’a pas de nom. C’était peut-être celui qui t’avait donné du feu en souriant la veille. Il n’a plus de nom. Et toi

l’artiste de dos, assis sur un tabouret, se penchant pour se regarder dans un miroir posé sur une chaise (miroir où nous voyons son reflet presque comme il doit le voir lui-même), tandis que sa main reste levée avec le pinceau sur la toile qui est devant lui et où commence à apparaître son autoportrait. Le peintre et son image dans le miroir se correspondent parfaitement : même taille (le peintre de dos en entier, l’image de face et seulement en plan rapproché), mêmes lunettes (qui nous cachent le