Contre-exemple

| Consommation comme intégration = utiliser la conso à des fins personnelles | | Interpersonnel | Consommation comme jeu = expérience sociale | Consommation comme classification = se rattacher à un groupe d’appartenance ou se distinguer | Exemple : l’iPad : Expérience : * plaisir de l’écran tactile * simplicité d’utilisation (ergonomie) | Intégration : * télécharger des applications qui vont révéler quelque chose de vous * poster des commentaires sur des forums * entrer dans

Le fait qu’il ait fallu attendre 2008 pour voir cet ouvrage traduit en français en dit finalement assez long sur la manière dont la contre-insurrection, ses tenants et aboutissants, a pu chez nous quasiment sombrer dans l’oubli sitôt la guerre d’Algérie terminée. Cette volonté tenace de continuer à mépriser « la guerre moderne », selon l’expression de Trinquier, tient sans doute à des causes objectives (la Guerre Froide annonçait plutôt un affrontement conventionnel de grande ampleur voire, dans

en s'adressant à l'affect et en cherchant la séduction, l'émotion, l'"immédiatement visible". Elle fait appel, quant à elle, à une rhétorique spectaculaire propre à magnifier non seulement la force retrouvée de l'Église catholique revivifiée par la Contre-Réforme, mais aussi la nouvelle puissance séculière des États européens. L'abondance, voire la redondance ornementale exprime, sans le détour des concepts et des figures de sens, la beauté des figures de forme. L'art architectural se doit d'être immédiatement

Les médias français se proclament « contre-pouvoir ». Mais la presse écrite et audiovisuelle est dominée par un journalisme de révérence, par des groupes industriels et financiers, par une pensée de marché, par des réseaux de connivence. Alors, dans un périmètre idéologique minuscule, se multiplient les informations oubliées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements factices, les services réciproques. Un petit groupe de journalistes omniprésents - et dont le pouvoir

pas de question à se poser quant aux influences des uns sur les autres puisqu’ils étaient au même rang. Seul le tirage au sort permettait de décider qui exercera directement le pouvoir ou non au sein l’assemblée. Le mandat impératif est aussi un exemple significatif de cette démocratie directe, elle permet aussi d’observer aussi l’influence des gouvernés sur les gouvernants lorsqu’il y en a. En effet, la personne élue qui reçoit un mandat impératif, reçoit un certain nombre d’instructions obligatoires

Paris II, il nous éclaire sur le régime des États-Unis. Qui gouverne les États-Unis? Il s'agit d'étudier, si le président est seul disposant ainsi d'un « leadership présidentiel » à l'image du « régime présidentiel » (I), ou si le Congrès serait un contre pouvoir important allant même jusqu'au « régime congressionnel » (II). I. Le président dirige les États-Unis Nombreux sont les auteurs qui soutiennent que le pouvoir suprême est au main du président. On peut donc parler de « présidence impériale »(A)

PARTIES PRENANTES, CONTRE-POUVOIRS ET GOUVERNANCE DE L’ENTREPRISE Le fonctionnement de toute entreprise est l’objet de conflits de pouvoir car il repose, en interne, sur des individus et des groupes qui ont des objectifs propres et rarement tout à fait concordants et, en externe, sur les agents économiques de son environnement qui agissent en fonction de leurs propres objectifs. La nature des relations qui se nouent entre les acteurs au sein de l’entreprise et avec les partenaires extérieurs

législatif sont dotés d’une légitimité populaire leur permettant d’être indépendant l’un de l’autre. Contrairement au régime parlementaire présent dans de nombreux pays comme la Grande Bretagne le système politique américain, considéré comme l’unique exemple de régime présidentiel pur, instaure par sa constitution une séparation stricte des pouvoirs ou l’on observe une absence de la responsabilité du pouvoir exécutif à l’égard du législatif. Il est donc intéressant de se demander si les pouvoirs du président

TD n° 13 : le mouvement punk, une contre-culture ? Objectifs principaux du TD : montrer que le mouvement punk s’est construit en réaction à un contexte économique et social particulier ; montrer que la sous-culture punk a emprunté certains traits de sous-cultures déjà existantes. I.La Grande-Bretagne des années 1970 Avant de se diffuser dans d’autres pays, le mouvement punk s’est d’abord développé en Grande-Bretagne dans un contexte social et politique particulier, celui de l’arrivée

plus fort. La présence d’une armée constituée d’émigrés le long de la frontière attise l’hostilité envers les nobles. Les autorités politiques deviennent plus répressives et menaçantes. Le roi, la noblesse et le clergé sont perçus comme l’axe de la contre-révolution. Le troisième temps correspond à la Terreur (septembre 1793- juillet 1794). Elle se caractérise par un acharnement anti-nobiliaire. La quatrième période commence à la chute de Robespierre (le 27 juillet 1794). Des phases d’hostilité