Contre-transfert

Nord me pousse à questionner l’effet que cela peut avoir sur l’imaginaire de celui qui est entretenu. Que se passe-t-il, dans l’entretien clinique, quand le sujet/ patient est de la même origine que le psychologue ? Quant est-il du transfert et du contre-transfert ? Cela diffère-t-il selon le cadre ? A la lueur d’un entretien clinique interculturel de recherche effectué dans le cadre de mon mémoire ainsi que d’un entretien clinique élaboré auprès d’un enfant consultant à l’Unité de psychopathologie

II.2 Transfert et contre-transfert : J’ai abordé ce premier stage, non sans stress et appréhensions. Mon premier jour à l’ANPAA s’est fait le jour de la réunion de synthèse. J’ai donc pu faire connaissance avec l’ensemble des membres de l’équipe, et avoir un aperçu des situations auxquelles je serai confrontée, puisque c’est au cours de cette réunion que les premiers entretiens sont rapportés à l’équipe. D’autres situations sont également discutées entre professionnels afin d’y apporter un

l'Enfant (n°5, 1988). Il est écrit par les auteurs Claudine et Pierre Geissmann. Ce texte relate le cas d'une enfant psychotique nommée Félicie et rend compte à travers les différentes étapes de la cure analytique et dans le cadre de la psychose de transfert, la façon dont cette enfant va élaborer une pensée. Ainsi, ce texte nous renseigne plus globalement sur l'accès à la symbolisation dans la psychose infantile. Ces derniers auteurs considérés comme étant post-kleinien s'inscrivent donc dans le

- Fiche de lecture - « Le contre-transfert » - Harold Searles Traduit de l’américain par Brigitte Bost, le titre original est « Countertransference and related subjects. Selected papers » . Edition Gallimard, en 1981 en traduction française, Harold F.Searles là rédigé en 1979. Le choix de ce livre n’est pas anodin, consciente de mon implication, ma sincérité et ma sensibilité. Après mure réflexion, j’ai pu m’apercevoir qu’inconsciemment je ressens le besoin d’être aimé et reconnu dans

la méthode choisie de l'auto-analyse, celle-ci reste tout de même particulièrement importante, afin que l'histoire, le vécu du psychothérapeute n'interfère pas avec l'histoire de son patient. Freud d'ailleurs, le notait dès 1910 à propos du contre-transfert: «... aucun psychanalyste ne peut aller plus loin que ne lui permettent ses propres complexes et ses résistances intérieures. C'est pourquoi nous exigeons qu'il commence son activité par une auto-analyse (et non, comme l'écrit Anne Berman

La technique analytique Sujet 1 : « C'est dans le maniement du transfert que l'on trouve le principal moyen d'enrayer la compulsion de répétition et de la transformer en raison de se souvenir ». (Remémoration, répétition, perlaboration, in La technique analytique, PUF, p.113). Le transfert est quelque chose qui se produit inévitablement au cours de la cure. L'histoire du sujet fait qu'une partie de sa personnalité demeure inconsciente, écartée du moi, et elle tend à s'exprimer par des répétitions

ne peuvent pas comprendre. Au sein même de ces quelques analystes il y a des controverses, même si ce pluralisme théorique ne met pas en cause l’unité de la psychanalyse. Ce sont les techniques interactionnelles construites autours du transfert et du contre transfert (= la scène analytique) qui permettent le rassemblement des psychanalystes. Différents types d’interprétations peuvent convenir à différents types de patients, ou différentes étapes d’une même analyse. MAIS les intérêts scientifiques

Le transfert et le contre-transfert dans la relation éducative A - Introduction : Le transfert vient de la névrose de transfert telle que la définit la psychanalyse : « processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent sur certains objets dans le cadre de certains types de relations établies avec eux… Il s’agit d’une répétition de prototype infantile vécue avec un sentiment d'actualité marquée » in Vocabulaire de la psychanalyse de Laplanche et Pontalis. Le transfert

« libido Enfin, la divergence majeure quant à l'analyse est celle relative au transfert. Jung explicite sa position dans Psychologie du transfert ; il s'agit selon lui d'un phénomène qui consiste en le fait de transférer sur son analyste des sentiments, négatifs ou positifs, au cours de la cure et qui est recherché par la psychologie analytique alors que Freud y voit une cause de détérioration (la « névrose de transfert »). Il ne s'agit donc pas pour Jung d'un phénomène pathologique qu'il s'agirait

psychanalystes Jean GUILLAUMIN et René KAES , mais aussi le médecin psychiatre Jacques HOCHMANN. Certains de cas travaux ont donnés lieu à des publications, qui sont reprises dans cet ouvrage, notamment « la réponse en creux et la question du transfert en institution » (sauvegarde de l’enfance , n°2). Il publie son premier ouvrage en 1972 qui est « l’identité de l’éducateur spécialisé ». Sa bibliographie est composée de dix ouvrages, dont un sur la vielle à roue, tout les autres renvoie au travail