Convention Nationale 1792

suite à la chute de la monarchie le 10 août 1792 et à l’élimination des députés girondins lors des journées d’émeute des 31 mai et 2 juin 1793, les montagnards prennent le pouvoir. La République française est alors divisée par des problèmes majeurs. D’un côté elle doit faire face à des dangers intérieurs car de nombreux députés se sont soulevé contre les révolutionnaires et il y a eu de nombreux changements institutionnels comme le décret du 10 Aout 1792 relatif à la suspension du roi. De plus des

brutal, passionné, corrompu, pleins de mépris au fond pour les grands principes dont les français s’étaient entichés. Il connut son heure de gloire à l’époque de la chute de la royauté. Ephémère ministre de la Justice puis député de Paris à la Convention, il exerça une grande influence, sans toute fois sembler jamais en mesure de s’imposer. On se méfiait du tribun, on connaissait les rumeurs qui couraient sur son incertaine probité. Son étoile déclina bientôt après la chute des Girondins. Les hébertistes

les riches. Bref, un régime qui se soucie peu des pauvres. Pour atténuer la responsabilité du directoire, il faut aussi comprendre l’esprit dont émerge cette constitution. En effet, la constitution a été élaborée dans un climat de grande peur. La convention vient de subir la Terreur. Dans toutes les familles, ya eu au moins un guillotiné. Or, la révolution s’est faite au nom du peuple, pour les pauvres alors le parti qui suit entend réagir, prendre le contre-pied. C’est ainsi que les thermidoriens

de l’an III. La République est voté depuis 1792, mais est vite proclamée en danger. La Constitution de l’an I, enfermée dans « une arche de cèdre » doit y demeurer jusqu’à la restauration de la paix, mais ce met en place, à partir de 1793 et jusqu’au 27 Juillet 1794, un pouvoir de fait, sous la forme d’une terrible dictature menée par les montagnards et leurs chefs, Maximilien de Robespierre. Au 9 thermidor, Robespierre est vaincu, mais la Convention sauve la France. A partir de 1795, apparaissent

animateur du club des Jacobins , surnommé « l’Incorruptible », il s’oppose fermement à la guerre. Membre de la Commune (Administration révolutionnaire établie à Paris à la suite de l’émeute du 14 juillet 1789) après l’insurrection du 10 août 1792, puis député à la Convention, il devient le chef des Montagnards. Hostile aux Girondins, il provoque leur chute (mai-juin 1793). Entré au Comité de Salut Public (juil.1793), il est l’âme de la dictature, affirmant que le ressort de la démocratie est à la fois terreur

« Ceux qui font des révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau. Ce qui constitue une république, c'est la destruction de tout ce qui s'oppose à elle. » dit Louis Antoine de Saint-Just lors de son disocurs à la Convention nationale du 26 Février 1794. Cette phrase décrit bien la période de Terreur. Saint-Just est un Montagnard et surnommé « l'archange de la Terreur », Saint-Just joue un rôle important dans la lutte qui oppose les Montagnards aux Girondins. Après l’abolition de la

Vendées : royaliste qui sont pr garder le roi Girondins : ancien membre de la Convention, sont contre la Terreur C/ Les Montagnards&les Sans-Culottes : les partisans très présents de la Terreur Après 10aout 92 (tuileries), sans culottes veulent + d’égalité => ils veulent démocratie+Suffrage Universel+guillotine&pain+monde sans riche et méchant Après les Montagnards prénnent leurs reléves à la Convention Convention : 749 conventionnels dont 160 Girondins, 260 Montagnards et le reste est la Plaine

en 1795 , selon la volonté des Thermidoriens . En effet en 1793 , on assiste à un échec de la mise en place de la Constitution. La rédaction de la Constitution est confié en premier lieu aux Girondins , majoritaire à la Convention , ceux-ci seront même écartés de la Convention , en second lieu elle sera confié aux Montagnards , celle-ci se soldera également par un échec de leur projet de Constitution .Leur Constitution rédigé ne s'appliquera pas en France , puisqu'en automne 1793 la Révolution

Dissertation : La France Post révolutionnaire : Le régime du directoire. Le 10 Juillet 1794, à la Convention nationale Robespierre prononça ces mots : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et indispensable des devoirs. La France post révolutionnaire, le régime du directoire. La France post révolutionnaire : période qui s’étend à partir de 1799. Révolutionnaire = après la révolution : changement complet de l’ordre constitutionnel, opéré

Pour faire face et remplacer les volontaires de 1792, qui ont légalement quitté l’armée, la Convention décrète une levée de 300 000 hommes (24 février). Cette levée doit se faire par tirage au sort, ce qui provoque une vaste protestation104 spontanée essentiellement paysanne, en Alsace, en Bretagne, dans tout le Massif central : en fait elle a suscité des résistances dans tout le pays105, mais dans la plupart de ces régions les soulèvements armés retombent ou sont étouffés avant d’avoir pu se développer