Conversations après un enterrement

Yasmina Reza a des origines très intéressantes. Le nom Reza devienne d’une grande famille juive de l’Espagne. Puis, la famille allait en Perse, âpres à Moscou et finalement à Paris. Yasmina Reza a étudié le théâtre au Paris. Elle a deux enfants qui s’appellent Alta et Nathan. Leur premier théâtre est sorti 1987 et s’appelle « Conversations après un enterrement ». Ce jeu a gagné le « Molière », un grand prix du théâtre. Mais le grand succès a commencé avec le théâtre « Art ». Maintenant, Reza est considéré

Yasmina Reza Nom de Naissance : Evelyne Reza Metier : Dramaturge et romancière Date de naissance : 1ere Mai 1959 à Paris Molière de l'auteur : 1987 : Conversations après un enterrement 1995 : « Art » Tony Award de la meilleure pièce4 : 1998 : « Art » 2009 : Le Dieu du carnage (God of Carnage) Laurence Olivier Award de la meilleure comédie (Laurence Olivier Award for Best New Comedy) : 1997 : « Art » 2009 : Le Dieu du carnage (God of Carnage) 2000 : Grand prix du théâtre de l’Académie

(http://creativecommons.org/licenses/ by-nc-nd/2.0/fr/) - MUTTIB HUSSEIN Thakaa - Université Lyon 2 - 2009 La quête identitaire dans le théâtre de Yasmina Reza Édition utilisée Toutes les références aux quatre pièces du corpus : L’Homme du hasard Conversations après un enterrement La Traversée de l’hiver « Art » renvoient à l’édition parue en Livre de Poche (2000) sous le titre d’ensemble Théâtre. Cette édition reprend celle qui a été publiée en 1998 chez Albin Michel. 8 Sous contrat Creative Commons : Paternité-Pas

corrigé bac 2012 Examen : Bac 1ère ES, S Epreuve : Français France-examen.com RAPPEL DU SUJET EXERCICE D'ECRITURE : LE COMMENTAIRE Vous ferez le commentaire du texte de Paul Verlaine, "L'enterrement" ci-après. TEXTE C : Paul Verlaine, "L'enterrement", Poèmes saturniens page 1/6 LE CORRIGÉ page 2/6 I - L'ANALYSE ET LES DIFFICULTES DU SUJET II. PROPOSITION DE PLAN L’analyse linéaire est toujours possible mais elle demande d’avoir des fils conducteurs et risque de noter

ALBERT CAMUS: L´ÉTRANGER Le titre : L´Étranger Moi, je pense qu´il y a plusieurs explications possibles de ce titre. Ca dépend du lecteur. D´après moi, le héros principal est un étranger à la société. L´auteur a constaté que : « Dans notre société tout homme qui ne pleure pas à l'enterrement de sa mère risque d'être condamné à mort ». Il voulait indiquer que le héros de son roman est différent des autres hommes. Il ne veut pas se contrefaire et il refuse de mentir. Et donc il est l´étranger

soviétique, Yasmina Reza étudie le théâtre et la sociologie à l'université de Nanterre. Elle est mère d'une fille Alta née en 1988 et d'un fils Nathan né en 1993. En 1987, elle reçoit le Molière de l'auteur pour sa pièce de théâtre Conversations après un enterrement et à nouveau la même récompense en 1995 pour « Art ». À partir de l'automne 2006, elle suit Nicolas Sarkozy pendant sa campagne électorale, afin d'écrire un livre-enquête intitulé L'Aube le soir ou la nuit, sorti le 24 août 2007. Le

Yasmina est issue d'une famille polyglotte d'origine iranienne, hongroise et russe. Sa mère lui donne le sens de la musique et du rythme ce qui est primordial dans son écriture théâtrale. En 1984, elle écrit sa première création théâtrale, Conversation après enterrement. Reza n'écrit pas que du théâtre, elle produit aussi des nouvelles autobiographiques, romans et des scénarios. Ses sources d'inspiration sont la musique, l'humour et la concision. Le Dieu du carnage qui fut écrite en 2006, est une pièce

monologues parallèles. 2) Conversations après un enterrement : Jugement de goût : J’ai bien aimé le mélange du style caustique et mélancolique. J’ai trouvé que les dialogues sonnent juste et que l’auteur soigne ses personnages et les défend chacun jusque dans l’impasse, les liens se dévoilent peu à peu. J’ai été emportée, scène après scène, et j’ai eu parfois l’impression de faire partie de la famille. Jugement de valeur : Au centre des conversations, au point de modifier les rapports

Baptiste (1882) in Mademoiselle Fifi (1883). Quand j'entrai dans la salle des voyageurs de la gare de Loubain, mon premier regard fut pour l'horloge. J'avais à attendre deux heures dix minutes l'express de Paris. Je me sentis las soudain comme après dix lieues à pieds; puis je regardai autour de moi comme si j'allais découvrir sur les murs un moyen de tuer le temps; puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer quelque chose à faire. La rue

Quand j'entrai dans la salle des voyageurs de la gare de Loubain, mon premier regard fut pour l'horloge. J'avais à attendre deux heures dix minutes l'express de Paris.     Je me sentis las soudain comme après dix lieues à pieds; puis je regardai autour de moi comme si j'allais découvrir sur les murs un moyen de tuer le temps; puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer quelque chose à faire.     La rue, sorte de boulevard planté d'acacias