Coopérative

09/03/15 Devoir maison: Entreprise mutualiste et entreprise coopérative Sommaire I/ Entreprise mutualiste 1) Définition 2) Ses objectifs 3) Exemple II/ Entreprise Coopérative 1) Définition 2) Ses objectifs 3) Exemple III/ Les principes communs aux entreprises mutualistes et coopératives I/ Entreprise mutualiste 1) Définition Une entreprise mutualiste (ou mutuelle) est une activité marchande à but non lucratif

toute forme d’insalubrité, tout en assurant un logement décent à différentes couches sociales, doit s’engager dans l’encouragement des coopératives et des associations à la recherche d’une meilleure intégration sociale et une quiétude familiale qu’un logement est en mesure de procurer. C’est dans cette perspective, que le projet de loi régissant les coopératives d’habitation vise à contribuer à la dynamisation de l’initiative privée et collective des groupes qui cherchent à mettre à la disposition

Loi sur les coopératives d’épargne et de crédit « Le Moniteur » 10 juillet 2002 Vu les articles 1, 111-1, 144, 245, 246 de la Constitution, Vu la loi du 17 août 1979 créant la Banque de la République d’Haïti; Vu le décret du 31 mars 1981 créant un organisme autonome dénommé Conseil National des Coopératives (CNC); Vu le décret du 2 avril 1981 réglementant l’organisation des coopératives et les différentes formes d’association, ayant la société coopérative pour base; Vu le décret du 27 mars

Charihène Lalini A Madame Hervé Le 26/09/15 COMPTE RENDU DE LA VISITE DE LA COOPERATIVE OCEANE Le jeudi 26 mars, nous nous sommes rendus en classe entière à Nantes pour visiter la coopérative Océane. Le type d’activité d’Océane est l’agriculture. Elle est basée dans la production, récolte et expédition de fruits et légumes. Cette coopérative a été créée il y a 22 ans en 1993. L’activité n’a cessé de se développer depuis sa création. Elle concerne essentiellement les tomates et concombres

Assurance » Option : Banque Coopérative Européenne Mémoire de fin d’année Sujet : « Le paradoxe des banques coopératives » INTRODUCTION 3 1- PRESENTATION DU STAGE 5 I- Brève présentation de la comptabilité publique 5 II- Missions au sein de la commune 6 2- EVOLUTION DES BANQUES COOPERATIVES 8 3- LA SIMILITUDE AVEC LES GROUPES CAPITALISTES 12 4- LA DIMENSION SOCIALE EXERCEE DANS LES BANQUES COOPERATIVES 15 I- Le problème

SOCIETE COOPERATIVE La coopérative est un type de société à objet civil ou commercial, selon le cas, qui a été crée dans le but d'éliminer le profit capitaliste, soit par la mise en commun de moyens de production, soit par l'achat ou la vente de biens en dehors des circuits commerciaux. Dans ce genre de société il n'est pas distribué de bénéfices. Les membres reçoivent éventuellement des ristournes sur les résultats bénéficiaires. La transformation d'une société coopérative en une société d'une

surtout les femmes à cause de la mondialisation qui affecte les paysans africains exposés à la concurrence rude avec leurs homologues nord américains et européens subventionnés, ont privilégié les microprojets pour aider les paysans à travers des coopératives. Ce projet destiné aux femmes se justifie par la pauvreté et l’exclusion du tissu économique de cette partie de la population. Pourtant cette tranche de la population représente un peu plus de 52 % de la population totale. Cette méthode de traitement

structures coopératives (et unions) et d’encourager la prise en charge par celles-ci des fonctions productives qu’elles assurait jusqu’alors. L’objectif de l’Etat est d’aboutir à un mouvement coopératif contribuant à l’amélioration des conditions de vie et au bien être de ses membres, au développement économique et social et à l’amélioration de la protection sociale. PROBLEMATIQUE Avec l’avènement de la loi No 97- 721 du 23 Décembre 1997 relative aux coopératives, on

l’entrepreneuriat avec succès, mais l’a aussi grandement amélioré. * Par ailleurs, le groupe a mis en place une série de mesures permettant à ses coopératives de battre des records de performance encore inégalés par des entreprises plus conventionnelles, familiales ou détenues par des investisseurs privés. L’expérience de Mondragon prouve donc non seulement que les coopératives sont plus efficaces que nombre d’entreprises privées, mais encore qu’elles génèrent davantage de bénéfices. Et cela relève essentiellement

crédit plus faible comparativement au modèle capitalistique. La taille réduite des banques coopératives est donc un frein à leurs développements, cependant c’est également sur cette taille réduite que reposent leurs avantages comparatifs. Si ces arguments sont valables aux Etats Unis compte tenu des contraintes étatiques, ce n’est pas le cas dans d’autres pays, comme en France, ou les banque coopératives bénéficient d’un réseau reposant sur diffèrents niveaux. Ils associent ainsi les avantages d’une