Corneille Etrange Monstre

Fiche de lecture : L’Illusion comique de Pierre Corneille L’Illusion comique est une comédie en 5 actes et en vers, créé au théâtre du Marais pendant la saison 1635-1636 (le 17emes) et est publiée à Paris en 1636 sous le règne de Louis XIII et la régence du Premier ministre Richelieu. Sur le plan culturel, Richelieu fait reconstruire la Sorbonne, agrandir la bibliothèque et l’imprimerie royales et crée l’académie française. Richelieu favorise l’engouement pour le théâtre, il fait bâtir une salle

peut être femme abandonnée et errante, mais aussi magicienne ou sorcière. Toutes ces interprétations ne sont ni vraies ni fausses puisque Médée est un personnage ambigu. Le point de vue de l’auteur est important, par exemple il condamne Médée comme monstre inhumain comme l’a fait Sénèque, auteur de l’Antiquité romaine, ou l’auteur déclare Médée non coupable et voit ses actes dans une toute autre lumière comme l’a fait récemment l’auteur allemand Christa Wolf dans son œuvre poly perspectifMédée. Voix1

Sevilla / RIES Arbol de la vida. Lectures cursives Autres poèmes baroques ? Autres textes littéraires du même mouvement ? Autres poèmes de la même forme (ode, sonnet) ? SEQUENCE 4 « Voici un étrange monstre que je vous dédie » (Corneille, Epître à Mademoiselle M.F.D.R) L'Illusion comique CORNEILLE (1636) | Objets d'étude Théâtre / Mouvement littéraire et culturel / Convaincre, persuader, délibérer. Perspective dominante | Perspective complémentaire | Etude des genres

et des symboles qui répondent mal à l’idée de classicisme ou de pré-classicisme. Le résultat est un nouveau XVIIe siècle français, où le classicisme n’occupe plus toute la place, soit que l'on jette un regard différent sur des œuvres connues (Corneille, Molière, Malherbe), soit que l'on redécouvre des écrivains oubliés, parce que non classiques (Jean Rousset a publié, en 1961, une anthologie de la poésie baroque française). C’est désormais relativement au baroque que se définit le classicisme :

peut-être l'une des pièces les plus étranges du XVIIème siècle. Hors des normes, hors du temps, jouant sans cesse avec les perceptions de ses spectateurs, cette pièce a suscité l'intérêt et la fascination des critiques depuis plusieurs siècles. Corneille donne le ton de son oeuvre, dans sa dédicace à une demoiselle qui ne pourra jamais être clairement identifiée, lorsqu'il annonce: "Voici un étrange monstre que je vous dédie." (11). La qualification de monstre n'est pas le fruit du hasard; elle décrit

Dissertation JEN Koki 1SMP1 Pierre Corneille, dramaturge et poète français du XVIIe siècle, est l’auteur de L’Illusion Comique, une œuvre théâtrale contant la quête d’un père à la recherche de son fils perdu et dans laquelle le rédacteur, par dessus l’intrigue principale, présente un éloge au théâtre. Antonin Artaud, quant à lui, est théoricien du théâtre, acteur et écrivain d’un autre siècle, le XXe. Il présente une image, sa conception d’une œuvre : “ Je ne conçois pas d’œuvre

du mot Monstre vient de montrer, faire paraître au regard. On désigne ainsi un être au physique et aux moeurs étranges. Le théâtre étant l'art de la représentation, des auteurs antiques comme Sénèque écrivait déjà des pièces tel que Phèdre pour représenter le monstre. Cette volonté de décrire le monstre a traversé les siècles : on retrouve dans la tragédie classique française de nombreux monstres inspirée des tragédies antiques grecques. Enfin on retrouve au XXème siècle le visage du monstre devenu

pourquoi il est intéressant de revenir sur la déclaration de l’auteur : « D’autres ont dit que je l’avais fait trop bon. J’avoue que je ne m’étais pas formé l’idée d’un bon homme en la personne de Néron. Je l’ai toujours regardé comme un monstre. Mais c’est ici un monstre naissant. ». L’opinion publique est divisée. En effet, Racine a choisi un sujet-histoire compliqué car ses contemporains connaissent les épisodes de la vie de Néron et se sont déjà fait une image du tyran, ils sont donc exigeants. Les

comique de Pierre Corneille Pierre CorneilleMise en scène : Frédéric Fisbach     En amont du spectacle Enjeux littéraires En montant l'Illusion comique de Corneille, le metteur en scène Frédéric Fisbach manifeste non seulement le désir de faire un geste implicitement politique- proposer en contrepoint au statut problématique des intermittents du spectacle un éloge du théâtre- mais aussi d'une façon plus générale, celui d' exhumer la réjouissante modernité de ce jeune " monstre " baroque (L'illusion

Racine est d’abord le rival de Corneille, celui qui va en quelque sorte prendre sa place sur la scène du théâtre français. Beaucoup de choses vont ê soulignées dans leur rapport pour les opposer : * Corneille = vertu romaine (Ms Nicomède c’est en Bithynie, Rodogune c’est en Syrie, Le Cid en Espagne médiévale, Médée en Grèce) * Racine = lyrisme de la poésie grecque (= Phèdre, Bajazet -> on est dans le mythe, ça n’a rien de grec) Méfions-nous des stéréotypes ! Britannicus = pièce qui