Corneille Racine Comparaison

Présent de vérité générale - Indéfinis (on, il) - Citations de la Bible et des auteurs de l’Antiquité - L’interpellation du lecteur à travers le questionnement (paroles rapportées, discours indirect par exemple) - Alexandrin - Métaphores, comparaisons, allégories - Création de mots nouveaux - Hymnes - L’antithèse et les effets de contraste - L’hyperbole et l’amplification des sensations - Les images étonnantes - Le théâtre dans le théâtre - Utilisation de maximes - Présent de vérité

(fourni par J. Guilhembet) Abyme (mise en) : une œuvre est enchâssée dans une autre oeuvre de même nature, ou bien dans un texte est inséré(e) une évocation ou un reflet de ce même texte. Ex : une pièce dans la pièce dans L’Illusion comique de Corneille. Alexandrin : vers de douze syllabes. Allégorie : cette figure représente une notion abstraite de manière imagée, concrète (ex : la Justice comme une femme tenant une balance, la Mort comme un squelette tenant une faux). Elle a été très utilisée

l’auteur de deux recueils de poèmes inspirés sur des œuvres de grands auteurs comme Corneille, Racine et Victor Hugo, mais réécrites de façon burlesque. Un de ces recueils s’intitule La Négresse Blonde et a été publié en 1909 : là, Fourest s’amuse à élaborer des résumés parodiques des grandes pièces de théâtre et des pastiches des poète du XIX siècle. Parmi ces œuvres, il prend l’œuvre de théâtre de Jean Racine, Phèdre où il créée une parodie dans un vocabulaire populaire, pour des personnages

Toutefois, pour qu’il y ait figure, il faut que ce rapprochement soit imprévu, non nécessaire.I - La comparaisonFigure reine, la comparaison consiste à rapprocher deux éléments appartenant à deux champs sémantiques différents dans le but de créer une image qui éclaire, approfondit, enrichit le sens de ce que l’on veut dire.Sa construction se résume à : comparant – outil de comparaison – comparé « Le monocle du général, resté entre ses paupières comme un éclat d’obus dans sa figure vulgaire »

position contre le classicisme il fait référence au plus grand dramaturge classiciste sans évoquer le roman en particulier. Hugo d’inscrit donc dans une guerre littéraire entre le classicisme et le romantisme. Tout un réseau de personnifications, comparaisons et métaphores filées sert à Hugo pour illustrer cette thèse centrale. Ce réseau est organisé en une série d'antithèses correspondant à l'opposition peuple / noblesse. Ainsi, les syllabes et les mots sont personnifiés : il y a parmi eux les les

idée abstraite - Ô Mort, vieux capitaine, il est temps !   ALLITERATION n.f. Répétition d'une ou de plusieurs consonnes, -dans un groupe de mots Allitération en [s] : «　Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Andromaque de Racine (acte V, scène 5)   ANAPHORE n.f. Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers - Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits   ANTITHESE n.f. 2 termes de sens opposés dans une même phrase

connaissance des sciences et de nouveaux mondes AUTEUR Rabelais (1483-1553) Montaigne (1533- 1592) La Pléiade XVIeme Courant poétique formé par un groupe de 7 poètes CONTEXTE (Même que l'humanisme) FORMES ET GENRES Sonnet-ode-élégie Métaphores, comparaisons, allégories Musicalité et rythme THEMES Fuite du temps Lyrisme Amour et sentiments Mythologie AUTEUR Du Bellay (1522- 1560) Ronsard (1524- 1585) Le Baroque XVIIeme Courant littéraire qui repose sur l’instabilité CONTEXTE Guerres de religion

cette petite comparaison : Baroque = courbes et torsions spectaculaires ; Classicisme = ligne droite. 2/ Les règles du théâtres classiques sont : en un jour : l'unité de temps, En un lieu : l'unité de lieu, Un seul fait accompli : l'unité d'action. Les différents genres sont : Tragédie, Tragi-comédie, Comédie d'intrigue, Comédie de mœurs, Comédie de caractère, Farce. Les principaux auteurs du théâtres classiques sont : BEAUCHAMPS BOURSAULT, CYRANO de BERGERAC, CLAIR-FONTAINE, CORNEILLE Jean-Baptiste

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Andromaque’’ (1667) Tragédie en cinq actes et en vers de Jean RACINE pour laquelle on trouve un résumé puis successivement l’examen de : les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 14) l’intérêt documentaire (page 21) l’intérêt psychologique

ceci se dessine sur un arrière-fond pessimiste : la mort est toujours présente, le monde est inconstance et illusion. Le baroque s’exprime dans le théâtre et la poésie. Les effets de théâtre dans le théâtre et de mise en abyme sont privilégiés (Corneille, L’Illusion comique). Il donne lieu à deux déclinaisons antagonistes : la préciosité et le burlesque. La préciosité s’éloigne du réel en utilisant un langage raffiné (périphrases, antithèses…). Le burlesque se rapproche du réel et emprunte le registre