Corps Objet Walter Hesbeen

« malade » et « maladie ». Ainsi on préférera dire que la personne à telle maladie (ex : le diabète) plutôt que de parler d'elle en disant « le diabétique » qui est réducteur et peut renvoyer la personne à un simple objet de soin → distinction de l'être et de l'avoir (Walter Hesbeen). Elle est fonction des perceptions immédiates, des représentations et croyances, de l'histoire et des valeurs personnelles, des connaissance, de l'environnement, du moment. Le rôle de l'infirmier vis à vis de l'entourage

comme cadre juridique à mon exposé. 2.1 Concepts.  Consentement : Le droit au consentement découle de plusieurs concepts fondamentaux, tel que : - L’intégrité physique : Droit de toute personne de disposer librement de son corps, ce non respect peut être objet de poursuites pénales. - La dignité humaine : protège les individus de toute atteinte dégradante 11 - L’autonomie du patient. Le consentement doit être exprimé en toute liberté, c'est-à-dire sans y avoir était contraint par

morale vise à définir le bien quand l’éthique le rend possible Philippe SVANDRA ( Infirmier, Cadre de Santé, Docteur en philosophie, Maître de conférence ) VALEUR ABSOLUE LIEE A LA DIGNITE DE L’INDIVIDU ET AUX DROITS DE L’HOMME ETHIQUE A POUR OBJET LA RELATION DE L’ÂME AVEC L’ENVIRONNEMENT EXPRESSION DE LA MESURE GARANTE DE L’HARMONIE RESULTANT DE LA BONNE TENUE DE L’ÂME COMMANDANT LA JUSTE PLACE DE TOUTE CHOSE ET TOUT ACTE DANS LE MONDE PROFESSEUR JEAN BERNARD PRINCIPES MORAUX ETHIQUE

maladies mentales touchent avant tout la psyché (âme). Le patient est affecté dans son intégralité sur le plan des émotions et des sentiments et sur le plan intellectuel (pensée, raisonnement, jugement) mais peuvent parfois avoir un retentissement sur le corps. Les maladies mentales perturbent donc le sujet dans sa vie sociale, dans son comportement avec autrui et avec l’environnement. Tout être dit « normal » peut à tout moment dans sa vie être perturbé et entrer dans une pathologie psychiatrique. La maladie

des étrangers (l’institution). Les intérêts des professionnels ne coïncident pas toujours avec ceux des proches de la personne âgée. Les soignants sont formés à soigner. Ils ont donc une approche médicale du sujet âgé qui est réduite alors à un corps vieillissant et malade. De ces positionnements d’intérêts divergents, émerge l’idée, qu’aujourd’hui, il est nécessaire de reconsidérer la place de la famille avec un autre regard et prendre le temps de construire une relation de confiance réciproque

symboliques qui constitue la base d'une communication non verbale.»14 Nous comprenons que ce type de communication se manifeste par le langage du corps de façon consciente ou non. Elle se traduit par la posture de l'homme ainsi que par ses gestes et par l'utilisation de son regard. Elle est révélatrice d'une réalité intérieure de la personne. Le corps peut-il toujours exprimer nos pensées et nos émotions ? Edgars Morin et Laurent Mucchielli, sociologues français, définissent les échanges de cette

4311-2 stipule que : « Les soins infirmiers, préventifs, curatifs ou palliatifs, intègrent qualité technique et qualité des relations avec le malade. Ils sont réalisés en tenant compte de l'évolution des sciences et des techniques. Ils ont pour objet, dans le respect des droits de la personne, dans le souci de son éducation à la santé et en tenant compte de la personnalité de celle-ci dans ses composantes physiologique, psychologique, économique, sociale et culturelle : 1° De protéger, maintenir

conseils et leurs remarques. 1 2 4 4 4 6 8 8 8 8 910 11 11 12 13 13 14 15 16 16 16 SOMMAIRE INTRODUCTION…………………………………………………………………………….. I – SITUATION D’APPEL…………………………………………………………………… II – ANALYSE DE LA SITUATION D’APPEL……………………………………….. • La télévision, objet de frustration……………………………………………………. • L’agressivité : mécanisme de défense, processus de deuil…………………………… • Les réactions et émotions des soignants……………………………………………... III – CADRE CONCEPTUEL………………………………………………………………... • Les émotions : généralités……………………………………………………………

Marescotti  et Yves Gineste décident d'écrire une nouvelle philosophie de soins qu'ils baptisent la "philosophie de l'humanitude", car toutes les actions soignantes se réfèrent toujours à une philosophie de soin. Une philosophie de soin a entre autres pour objet l'étude des principes fondamentaux d'une activité, d'une pratique, des réflexions sur leurs sens et leur légitimité. La " philosophie de l'humanitude ", développée dans le cadre de la méthodologie des soins Gineste-Marescotti, constitue une réflexion

connaissances centrées sur la maladie constituent la base de la culture générale des infirmières”5 . En 1961, un arrêté publié sur le programme des études autorise l’élargissement du rôle de l’infirmière en incluant la connaissance de l’homme sain. 3 B. WALTER, Le Savoir Infirmier, Lamarre, 1992, page 93 4 M.F. COLLIèRE, Promouvoir la vie, Inter édition, 1982, page 128 5 M.F. COLLIèRE, Promouvoir la vie, Inter édition, 1982, page 130 2 Cette nouvelle source de savoir ne trouve pas d’adhésion auprès