Corpus Baudelaire

Ce corpus prèsente 4 poèmes écrit par des poètes du XIXeme siecle qui se comparent dans chaque poème à des animaux. Nous avons deux poèmes en prose, un extrait de Poèsies (1845) de Edgar Allan Poe « Le corbeau » et un extrait des Chants de Maldoror (1869) écrit par Lautréamont "le fils de la femelle du requin"; ainsi que deux poèmes ecrits en vers, l’extrait du texte de Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1861) intitulé « L’albatros » et « Le crapaud » de Corbière extrait de Les Amours Jaunes (1873)

définition ordinaire et souvent valorisante que nous avons de notre propre qualité humaine. Le corpus proposé met en perspective des documents variés de par leur genre (textes fictionnels, comme avec Shelley ou Baudelaire), mais aussi émanant de pôles scientifiques (Darwin le biologiste ou encore JY le Naour, l'historien de la Grande guerre). Probablement il s'agit de montrer à travers ce corpus très large dans le propos que la monstruosité est une notion certes familière mais qui en

Ch. BAUDELAIRE ''Un hémisphère dans une chevelure'' Introduction Baudelaire écrit se poème en faisant référence à Jeanne Duval. On va y retrouver beaucoup de référence à son voyage qu'il a fait à environ 20 ans où l'on y retrouve beaucoup d'exotisme. Le premier titre de poème était '' La Chevelure'' avec pour sous titre ''parfum exotique'' puis il a abandonné ces titres pour les donner à d'autres poèmes. En 1862, il prend pour titre définitif ''Un hémisphère dans une chevelure''. Les thèmes

Ce corpus est composé de quatre texte,sonnet VI issu du recueil les regrets de du Bellay , le second est sonnet à Calliste issu de les délices de la poésie française de Malherbe , le troisième estla muse malade issu du recueil les fleurs du mal de Baudelaire et enfin le quatrième s'intitule per te praensentit aurspex issu d'il y a de Appolinaire .Comment les auteurs evoquent la muse dansleurs recit ? Les quatres texte ont des points commun . Ce sont tous des sonnets , c'est à dire des pèmes

Synthèse sur le paysage de crépuscule Ce corpus de texte présente des poèmes de Baudelaire, de Verlaine et d’Apollinaire qui prennent des formes différentes tout en évoquant le même thème du crépuscule ; pour montrer comment les trois poèmes évoquent le crépuscule nous verrons que celui-ci subit une personnification ensuite comment ils suscitent un sentiment d’angoisse puis pour finir comment ils renvoient à la mélancolie des poètes soutenue par la musicalité du texte. La personnification du

Le corpus présenté ci-dessous est composé de trois textes, .Le premier, l’albatros extrait de les fleurs du mal écrit en 1857 par Charles Baudelaire, puis le deuxième texte Défense du poète, extrait de Sonnet pour une fin de siècle écrit par Alain Bosquet en 1980 et enfin Lettre à Paul Demeny , dite « Lettre du voyant » , une lettre écrite par Arthur Rimbaud en 1871. Nous allons voir à travers ces textes, comment ces poèmes abordent le thème des fonctions de la poésie et du poète. Tout d’abord

auteurs à avoir réalisé ce genre de travaux, jouant sur les registres et les genres afin d'attribuer un brin de nouveauté ou une nouvelle perception à un mythe choisi. A travers ce corpus diachronique nous nous pencherons sur le mythe de Don Juan et verrons comment des écrivains comme Molière, Thomas Corneille, Charles Baudelaire ou encore Ernst Theodor Amadeus Hoffman adapteront le mythe de Dom Juan à partir du texte de Tirso de Molina, Le Trompeur de Séville ou le Convive de pierre (1630). Tout d'abord

certaine forme poétique, doit se plier à des exigences qui influenceront grandement le choix des termes et des tournures. Rentrer dans le cadre s’apparenterai alors même à un jeu de logique et de réflexion comme un sudoku par exemple. Dans ces textes du corpus on remarque très facilement cette aspect de recherche approfondie des sonorités. Prenons « Ces cheveux d’or… » de Joachim Du Bellay, ce poème versifié est garni de phrases extrèmement bien construite :  « Amour la flamme autour du cœur éprise »[L :3]

L’analyse de ce corpus met en avant une spécificité du rêve : le lien entre réalité et irréel. Ainsi, les divers auteurs et artistes, à travers leurs écrits et illustrations, soulèvent la question suivante : De quoi sont faits nos rêves ? Dans un premier temps, il faudra souligner que le monde réel donne matière et corps au rêve, puis une dernière partie étudiera l’état de confusion vécue par le rêveur. Il semblerait que le rêve soit déclenché par des éléments de notre environnement ou encore

Dans ce corpus, constitué de trois textes, nous pouvons observer le sonnet VI du recueil Regrets, de 1558, écrit par Joachim du Bellay ; un poème extrait des Délices de la poésie française, de François de Malherbe, « Sonnet à Caliste », datant de 1620 ; « La muse malade », 1861, de Charles Baudelaire, extrait des Fleurs du Mal ; et enfin, un texte de Guillaume Appolinaire, datant de 1925, « Per te praesentit aruspex », extrait d'Il y a. Nous nous interrogerons ici sur la façon dont ces quatre sonnets