Corpus De Jean Jacques Rousseau 1762

Institutions politiques et droit constitutionnel, LGDJ, 23ème éd., 2011 Francis Hamon et Michel Troper, Droit constitutionnel, LGDJ, 32ème éd., 2011 François Borella, Eléments de droit constitutionnel, Presses de Sciences Po, 2008 Pierre Avril et Jean Gicquel, Lexique de droit constitutionnel, PUF, Que sais-je ?, 3ème éd., 2012 Anne-Marie Le Pourhiet, « Définir la démocratie », Revue française de droit constitutionnel, 2011/3, n0 87, p. 453-464 (document téléchargeable sur EPREL) Table des matières

du choix social et ses formidables possibilités d’une manière ludique et intéressante. D’autre part pour m’avoir accordé une grande liberté quant à l’exécution de ce mémoire. Le travail n’en a été que plus plaisant. Je voudrais également remercier Jean-François Laslier et Karine Van Der Straeten. Leurs conseils m’ont orienté et m’ont déterminé à faire du choix social mon futur champ d’investigation. Enfin, je remercie Antoine et mon père pour leurs précieuses remarques. 4 Introduction «C

nationale caractérise l'indépendance de l’État-Nation par rapport à d'autres États ou à des instances internationales, hormis pour les autorités que cet état a librement accepté de céder (par exemple le fédéralisme). La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596,est un jurisconsulte, philosophe et théoricien politique français, qui influença l’histoire intellectuelle de l’Europe par la formulation de ses théories économiques et de ses principes du « bon gouvernement ». Il est connu pour

tensions nouvelles au point de donner naissance au premier débat opposant des économistes, la fameuse controverse entre Monsieur de Malestroit et Jean Bodin (voir ci dessous). Ces tensions donnèrent aussi naissance à la première Loi Economique attribuée à tort à Sir Thomas Gresham (voir plus bas). La controverse entre Monsieur de Malestroit et Jean Bodin (1556-1558) Monsieur de Malestroit, Noble français et Conseiller à la Cour des Comptes de Paris, a été chargé en 1563 par Charles IX d'une

Diderot (1751-1772). Elle avait pour but de faire connaître les progrès de la science et de la pensée dans tous les domaines. Les auteurs donnèrent une orientation économiste et industrielle à l’ouvrage. Ils comprenaient, outre Voltaire, Montesquieu, Rousseau, Jaucourt, des médecins et des ingénieurs. La publication, à laquelle s’opposèrent le clergé et la noblesse de cour, fut menée à terme grâce au sens des affaires du libraire Le Breton et à l’énergie de Diderot. Précédée du Discours préliminaire de

(1751-1772). Elle avait pour but de faire connaître les progrès de la science et de la pensée dans tous les domaines. Les auteurs donnèrent une orientation économiste et industrielle à l’ouvrage. Ils comprenaient, outre Voltaire, Montesquieu, Rousseau, Jaucourt, des médecins et des ingénieurs. La publication, à laquelle s’opposèrent le clergé et la noblesse de cour, fut menée à terme grâce au sens des affaires du libraire Le Breton et à l’énergie de Diderot. Précédée du Discours préliminaire

légitimité est une notion très complexe. Elle détermine l'obéissance des gouvernants, c'est une notion que le droit « pur » a du mal à saisir. Tout ce qu'indique la loi n'est pas légitime.   La légitimité se rattache souvent à l'existence d'un corpus de règles antérieures et supérieures qui brillent de l'action de l’État, le droit naturel. La légitimité prend racine dans la notion de reconnaissance. On se tourne généralement vers l'histoire ou la tradition. Est légitime ce qui reçoit l'assentiment

de l’État est indivisible, c’est-à-dire que la souveraineté est une. En ce sens, la souveraineté ne peut pas être divisée entre plusieurs titulaires. Or, la fonction du souverain peut être répartie, mais la souveraineté est indivisible. C’est à Jean Bodin qu’on doit le concept de la souveraineté en 1576 dans son ouvrage sur la république. À l’époque c’est une idée totalement nouvelle qui était destinée à l’origine à affirmer la suprématie du roi sur tous les autres pouvoirs, aussi bien sur les

droit strict ou l’équité: étude historique et comparée des nullités contractuelles, coll. «Bibliothèque de droit privé», t. 376, Paris, L.G.D.J., 2002, 300 pages. L’objet du présent ouvrage est la thèse de doctorat préparée sous la direction de M. Jacques Ghestin et soutenue brillamment par Mme Cumyn à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne le 29 novembre 2000 devant un prestigieux jury (les professeurs Philippe Jestaz, de l’Université de Paris XII, Alain Ghozi, de l’Université de Paris II, Horatia

révolution russe de 1905 et 1917. Bibliographie : Berstein/Milsa « histoire de l’Europe contemporaine » en deux tomes mais seul le tome I nous intéresse (publié en 1992) Girault Rene « peuples et nations d’Europe au XIXe siècle » Hachette 1996 Jean Claude Caron/Michel Vernus « l’Europe au XIXe sicle : des nations au nationalisme 1815-1914» « Dictionnaire du XIXe siècle européen », presses universitaire de France 1997 (notices thématique comme révolution, restauration, liberté, droit, moral,