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plume pour une épée » (Jean-Paul Sartre, Les Mots, 1964). Pensez-vous que lalittérature soit une bonne arme contre les inégalités ? Quel(s) genre(s) et quel(s) registre(s) vous semblent les plus efficaces dans ce domaine ? Vous appuierezvotre réponse sur des exemples précis et sur les documents du corpus. De nombreux écrivains se sont, de tous temps, engagés par leurs écrits. Nous pouvonsnous demander si la littérature est une arme, comme le suggère Jean-Paul Sartre avec l’expression « leur plume

plume pour une épée » (Jean-Paul Sartre, Les Mots, 1964). Pensez-vous que la littérature soit une bonne arme contre les inégalités ? Quel(s) genre(s) et quel(s) registre(s) vous semblent les plus efficaces dans ce domaine ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis et sur les documents du corpus. De nombreux écrivains se sont, de tous temps, engagés par leurs écrits. Nous pouvons nous demander si la littérature est une arme, comme le suggère Jean-Paul Sartre avec l’expression « leur plume

Sujet : Jean Paul Sartre, écrivain du XXe siècle affirme à la fin de son autobiographie, les mots : "Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée: à présent, je connais notre impuissance. N'importe: je fais, je ferais des livres; il en faut cela sert tout de même." Vous vous interrogerez sur le caractère pessimiste de cette position J.P Sartre, écrivain et penseur du XXème siècle, affirme à la fin de son autobiographie Les Mots : « longtemps, j'ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais

Textes complémentaires A) LE PORTRAIT DU PERSONNAGE DE ROMAN  Texte A - Honoré de Balzac, Le Chef-d'œuvre inconnu, 1832.  Texte B - Victor Hugo, L'Homme qui rit, 1869.  Texte C - Emile Zola, L'Assommoir, 1877.  Texte D - Marcel Proust, Le Temps Retrouvé, 1927. B) PERSONNAGES ET NOURRITURE  Texte A : Emile Zola, L'Assommoir, ch.7, 1877.  Texte B : Guy de Maupassant, Mont-Oriol, 1887.  Texte C : Louis Pergaud, La Guerre des boutons, 1912.  Texte D : Georges Perec, Les choses, 1965. 2 Histoire

Idées sont les modèles des choses, existant en soi, que l'âme contemplait avant son incarnation. Nous fabriquons les concepts, nous contemplons les Idées. I- L'écriture engagée             Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits.             A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste

dans quelle mesure la littérature est-elle un bon moyen de défendre des idées I- L'écriture engagée Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire

| | |Commentaire littéraire | | |Travail sur la question sur le corpus de textes à l'E.A.F. | | |Prise de parole à l’oral | | |Un

d’interprétation Thématique culturelle 4: Le siècle des Lumières, la nouvelle rationalité Cadre historique et social du XVIIIe siècle o o o o Montesquieu : Les lettres persanes Voltaire : Candide (lecture intégrale) Diderot et l’Encyclopédie Le renouveau du théâtre -Marivaux - Diderot - Beaumarchais Itinéraire 1: Les Lumières : formes et expressions  Problématique: A’ travers quels genres littéraires les philosophes des Lumières diffusent-ils leurs idées ? Fontenelle, Histoire des oracles

la description de Gervaise chez Zola, le premier texte que nous avons travaillé) -Le satirique : le texte utilise le rire à des fins critiques. L’auteur pointe des comportements ou des situations qui lui semblent ridicules et il les critique en amenant son destinataire à en rire (cf. Molière et le bourgeois gentilhomme par exemple). -Le registre pathétique : le texte touche le lecteur et l’invite à avoir pitié des personnages ou de la situation évoquée (cf. Zola dans Germinal lorsqu’il évoque la

|M. Yourcenar, Mémoires d’Hadrien, 1951 | |Rousseau par lui-même | |J.-P. Sartre, Les mots, 1964 | |Le mythe de la transparence |4 –Livre II : « On la fit venir [...] pire que moi ! » |