Corrida

déclare Picasso. La forme, simplissime, fonctionne d'autant mieux qu'elle renvoie aux taureaux schématiques des peintures pariétales de la préhistoire, à ceux de la Crête antique, à ceux encore que Picasso trace sur sa correspondance pour signifier " corrida " I) Présentation de l'œuvre La tête de taureau est un objet créé par Pablo Picasso durant le printemps 1942 à Paris. Cette création est constituée uniquement de deux éléments d'une bicyclette : la selle et le guidon. La technique utilisée par

Guernica est un tableau cubiste. Le regard est amené vers le centre. On peut ensuite remarquer que tous les personnages dirigent leurs regards vers la gauche ( le taureau). Le taureau regarde le spectateur. Le taureau : symbole de l’Espagne (corrida) et des Nationalistes (Franco : la brutalité). Le taureau regarde le spectateur. La mère à l’enfante : la mère est en larmes, elle crie. Elle incarne le peuple qui souffre. La poitrine dénudée : symbole de la maternité, de la vie et patrie nourricière

l'image. S'il fut avant tout peintre, aquarelliste et dessinateur de sujets militaires (scènes observées pendant la guerre, reconstitutions historiques), il peignit également des sujets très divers, en général à l'aquarelle, tels les personnages de la corrida, des fleurs, des nus, des paysages d'Espagne ou de Hollande, des vues de plages et ports du nord de la France et de la Bretagne. CONTEXTE HISTORIQUE Pendant la Première Guerre mondiale (1914-18), l'armée allemande lance, le 21 février 1916

Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation, aux formes torturées, du Minotaure, annonçant une tension qui se terminera deux ans plus tard dans Guernica.

cette americanisation vestimentaire. Conclusion Pourtant les manifestations d’une identité culturelle nationale ou locale éxistent. Les populations cultivent leurs particularismes qu’ils soient artistiques (danse indienne, musique brésilienne, corridas en Espagne, … ), vestimentaires (kimono, sari, …) , ou culinaire ( paëlla, sushi, croissant, …).

jusqu’aux oliviers » dans la partie 4, « Te sachant riche en olivier » dans la partie 5. Certains vers font également référence à des faits historiques spécifique à l’Espagne. En effet nous constatons dans la partie 5 que la corrida est mentionnée : « et en taureaux de corrida ». De plus, dans le poème 2, toute une strophe peut nous faire penser aux Maghrébins à la conquête du territoire Espagnol : « ah ! Maudits soient les moricauds/qui dans ce paradis d’Espagne/ t’ont mise vivante au tombeau/avec

150 depuis la Mairie. Les festivités se terminent le 14juillet suivant. Durant une semaine, la ville vit au rythme des encierros ou mises au toril: tous les matins, à huit heures précises, les six taureaux qui participeront le soir même à la corrida sont conduits par une foule d'aficionados vêtus de blanc et de rouge de la sortie de la ville à l'arêne. Ces hommes hardis n'hésitent pas à braver le danger en courant devant les taureaux. c) Les Fallas de Valence Les Fallas de Valence constituent

Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation, aux formes torturées, du Minotaure, annonçant une tension qui se terminera deux ans plus tard dans Guernica.

Ils sont excités par le texte, ses défis, ses appels au meurtre et à la vengeance. Si la mémoire des protagonistes est parfois approximative, l’esprit cornélien plane sur cette arène baroque. Mais la pièce dérape… Les duels chorégraphiés comme des corridas, les amours sévillanes de Chimène et Rodrigue, la musique d’inspiration Flamenco sont autant de références aux origines castillanes du Cid « Campeador ». La contraction du texte, adaptée au format d’un film d’animation de 25 minutes, respecte la langue

conserve de fortes traditions, tant au niveau culinaire avec la paëlla, le chorizo, les tapas et la sangria, qu’au niveau culturel. En effet, la danseuse de flamenco accompagnée d’un guitariste et de chanteurs symbolise fortement cette tradition. La corrida, récemment interdite était un art raffiné et un véritable symbole pour les Espagnols. L’Espagne est incontestablement une nation sportive qui domine les autres pays que ce soit au niveau collectif ou individuel. On peut faire référence au football