Cortex auditif

émotions dans leur prise de décision. Ce jeu consiste pour l’individu à faire le choix entre deux tas de cartes. Cette expérience montre que le sujet est guidé par un signal émit par le cortex préfrontal qui le conduit à choisir le bon tas de cartes. Par conséquent, lorsqu’un sujet est atteint de lésions du cortex préfrontal, il s’entête à faire les mauvais choix et est incapable de corriger son comportement alors qu’il est conscient de sa nuisibilité. Une autre théorie celle de Sanfey & Al nous

rit-on ? * Dans un premier temps, le stimulus est capté par des organes sensitifs (ex : les yeux, les oreilles) puis est traité par les aires sensorielles du cortex cérébral droit. * Les influx nerveux provenant de ces zones sont alors interceptés par le centre cortical du rire (qui est situé dans le lobe préfrontal du cortex cérébral de l’hémisphère droit) considéré comme le « centre du rire » d’où va partir ce que l’on appellera une « onde de rire ». * Apres être passé par le lobe

d’ensemble Les régions motrices du cortex et du tronc cérébral déclenchent le mouvement grâce à leurs projections sur les interneurones et les motoneurones α du tronc cérébral et de la moelle épinière. Les ganglions de la base et le cervelet jouent eux un rôle important dans le contrôle moteur Ils ne possèdent pas de projections directes sur les motoneurones α ni sur les neurones de circuits locaux: C’EST EN RÉGULANT L’ACTIVITÉ DES NEURONES MOTEURS DU CORTEX OU DU TRONC CÉRÉBRAL QU’ILS INFLUENCENT

primitif (dit le cerveau reptilien ou pré-verbal) qui serait le siège des plaisirs immédiats et instinctifs. Lors d’un test à l’aveugle c’est donc le plaisir qui prime. Lors de la deuxième étape de l’expérience, le putamen n’est plus activé et c’est le cortex préfrontal, responsable de la conscience, qui prend le relai. C’est la zone du cerveau responsable de la conscience et de la mémoire. En conclusion, on peut considérer que c’est notre cerveau primitif qui prend la décision et que notre conscience

L’influence du stress sur l’apprentissage Plan 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Mise en contexte Fonctionnement et hormone Effets sur la mémoire (déclarative et de travail) Stress et attention sélective Stress, hippocampe et apprentissage Impacts à long terme Stratégies de gestion de stress Conclusion Mise en contexte  Société basée sur le perfectionnisme et la performance  Attentes sociétales de plus en plus exigeantes  Résultats: le stress est un facteur omniprésent dans notre fonctionnement

événement varie d'un individu à un autre -optimisme/pessimisme -sentiment auto-efficacité -hardiness: contrôle , engagement , défi 1*Incohérence cognitive : mécanisme de la pensée =agent stressant qui déclenche le stress 2*Obstruction activité cortex préfrontal : barrage ( voir tableau p.26) aux actions + → il n'en reste que le mode automatique : stress , routine ,actions - → Externe : 10 % 7°Comment gérer le stress *importance de la façon dt nous percevons les choses *nécessité ressources

apprécions les détails des objets, leur distance et leur relief. Les informations visuelles recueillies par l'œil sont transformées en messages nerveux au niveau de la rétine, puis véhiculées par les nerfs optiques jusqu'au cerveau. C'est alors le cortex visuel qui analyse le stimulus reçu, élabore la perception visuelle et répond de façon appropriée. 1. Quels sont les éléments constitutifs de l'œil ? L'œil, organe de la vue, est un système optique qui permet la formation d'une image réelle, renversée

schizophrènes, défaillance à cause des dysfonctionnements des récepteurs NMDA. Lobe Frontal et Lobe Temporal : les troubles cognitifs (du raisonnement, …) seraient dus à une hypodopaminergie dans le cortex préfrontal. Les troubles hallucinatoires pourraient être dus à un hyperfonctionnement du cortex temporal. ACIDES AMINES EXCITATEURS p. 2 B. RECEPTEURS ET MECANISMES D’ACTION On s’intéresse aux récepteurs ionotropiques, plus particulièrement aux récepteurs NMDA et AMPA. 1. Récepteurs NMDA

parait plus foncé que la case B. B) Facteur n°2 : L’éclairage et les ombres. Dans une scène visuelle, l’éclairage est un facteur important pris en compte par le système visuel. Dès lors que l’image est interprétée comme étant en 3 dimensions, le cortex visuel primaire évalue immédiatement d’où provient l’éclairage. Voici une illusion qui fait intervenir le facteur de l’éclairage : Explication: C’est parce que notre système visuel interprète l’éclairage comme provenant d’en haut, que nous percevons

dorsale. 2) L’encéphale, centre de traitement des messages Les informations sensorielles sont véhiculées par les neurones nociceptifs de la moelle épinière. Après un second relais synaptique, les messages nerveux électriques arrivent au niveau du cortex cérébral (partie superficielle du cerveau) où ils sont traités, ce qui aboutit à l’élaboration de la sensation douloureuse. Schéma bilan : [pic] Comment les neurones sont-ils reliés les uns aux autres et aux oragens