Cortex préfrontal

le domaine du cerveau primitif, le cerveau reptilien. Au fil de son développement, l'homme a acquis une conscience (cerveau limbique) à base d'expériences et de mémorisation des situations passées. La vraie différence est apparue avec le cortex préfrontal, siège de l'intelligence, responsable d'activités supérieures : curiosité, adaptation, nuance, relativité, rationalité, opinion. Le problème est que cette zone n'est pas maîtresse de nos comportements. C'est en effet la conscience, une zone

consommateurs vont préférés boire du coca. Ce qu’on remarque en plus, c’est que la zone du cerveau primitif, le put amen, n’est plus activé par Pepsi (ou dans une moindre mesure par Coca) mais c’est une autre zone qui va être activée, la zone du cortex préfrontal et l'hypo campe, c’est à dire la zone de la conscience et de la mémoire (en vert sur la figure).  C’est la que l’on prend conscience que nos préférences alimentaires ne dépendent pas seulement des qualités de ce que l’on boit ou de ce que

biosocial à l’adolescence et au début de l’âge scolaire. Quand le stress, l’excitation, la passion, le bombardement sensoriel, l’intoxication ou le manque de sommeil dépasse les limites, le cerveau est submergé par les impulsions nerveuses. Le cortex préfrontal n’arrive pas à contrôler ces impulsions qui sont plus fortes qu’à l’âge scolaire.  Elle était tout le temps stressée, effrayée. Le stress influe sur les hormones à la puberté, paradoxalement en augmentant leur production. La puberté survient

perceptive repose sur les aires sensorielles primaires du cerveau : cortex visuel, auditif, somatosensoriel (toucher), olfactif et gustatif. B) Mémoire à long terme 1) La mémoire procédurale : Inconsciente et pourtant indispensable au quotidien, elle est la mémoire du savoir faire et des habiletés motrices. (Tenir une fourchette, faire du vélo, manier un stylo, joué d'un instrument de musique... La mémoire procédurale met notamment en jeu le cortex moteur, les ganglions de la base et le cervelet. 2) La mémoire

Amorçage subliminal • Amorçage intersensoriel •… Accès en cascade à des connaissances de plus en plus élaborées et unitaires en rapport avec l’objet présent. Une autre définition de la mémoire de travail ? Des structures spécifiques (cortex préfrontal, région hippocampique, etc…) sont nécessaires pour l’intégration. DES CONNAISSANCES ÉMERGENTES SITUATIONNELLES Les connaissances reflètent plus ou moins fortement des expériences (situations) antérieures Connaissances spécifiques/connaissances

par exemple del’hippocampe dont la région CA3 subit des pertes neuronales importantes sous l’effet d’un stress prolongé.  D’autres études ont aussi rapporté une diminution du nombre de récepteurs aux glucocorticoïdes dans l’hippocampe et le cortex préfrontal chez des victimes du suicide. Bien qu’il soit difficile de savoir si ces changements structuraux sont d’origine génétique où le résultat d’un activation chronique de l’axe HPA, il demeurent cohérent avec l’hyperactivité de cet axe dont le frein

disaient que le problème était apparu en même temps. Plusieurs conséquences s’en suivent. D’un point de vue biologique, Stéphane Potvin (2014), explique ce que les substances illicites font au cerveau. Le système limbique qui est situé dans le cortex préfrontal dispose de dopamines et de sérotonines. Lors de la prise de stimulants, le cerveau est sur stimulé, il sécrète beaucoup de sérotonine, mais lorsque l’effet de la drogue cesse, beaucoup sérotonines disparaissent. Les individus deviennent dépendants

impliquées dans les processus mnésiques, ou engrammes, notamment inconscients (Janowsky, 1994; Harris, 1995; Papalia & Olds, 1988). La mémorisation implique donc une interaction entre les différentes parties du cerveau, principalement dans le cortex. Cette opération s'étend sur plusieurs années, alors que se poursuit la réorganisation constante des traces mnésiques en présence d'un remodelage physique des circuits nerveux (Squire, 1984). Plusieurs syndromes amnésiques sont induits par une interruption

plusieurs auteurs, auquel Craik a fortement contribué à la construction. Ainsi, Anderson et Craik (2000) proposent un modèle en cascade dans lequel le vieillissement aurait pour principale conséquence de modifier significativement le cortex préfrontal (réductions volumétriques, métaboliques, neurochimiques et du débit sanguin) et/ou de réduire la quantité de dopamine striato-frontale. Ces modifications seraient à l’origine du déficit des ressources de traitement lié à ce complexe neurocognitif

subissent d’importantes modifications structurelles bien après la puberté. L’adolescence est une période fondamentale pour le développement émotionnel, en raison de la grande quantité d’hormones présentes dans le cerveau; l’immaturité du cortex préfrontal des adolescents joue sans doute un rôle crucial dans l’instabilité de leur comportement. Nous traduisons cette combinaison d’immaturité émotionnelle et de fort potentiel cognitif par l’expression : « la puissance est là, mais pas le contrôle