Côté cour et côté jardin

cartons. Deux bergères de tapisserie flanquaient la 3 cheminée en marbre jaune et de style Louis XV. La pendule, au milieu, représentait un temple de Vesta, ― et tout l'appartement sentait un peu le moisi, car le plancher était plus bas que le jardin. Au premier étage, il y avait d'abord la chambre de « Madame », très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de « Monsieur » en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes

du musée d'éthographie. 2. Le Musée d'Art et d'Afrique d'Océanie Mais assez rapidement, une sorte d'ambiguïté apparaît : on va rapidement parler de « présenter des objets d'arts ». Conflit d'intérêt sous-jacent entre des ethnologues d'un côté et les muséologies de l'autre qui pensent exposer des objets d'arts. C'est ce même débat qu'on va retrouver pour le Quai Branly. Réseau de résistance très important qui se met en place au sein du Musée de l'homme : deux chercheurs du musée ont même

païen il est possible de construire une architecture chrétienne. Le monde chrétien s’est construit sur le monde antique et l’a dépassé. En dépit de sa taille l’édifice est monumental. La bâtiment se trouve dans une cour mais bramante aurait souhaité aussi modifier les conteste, la cour, pour obtenir un plan précis(publié par serio) Dispositif circulaire avec galeries environnantes, colonnes dans l’axe de celle de St Pietro, Dimension symbolique, car le point est central et autour rayonne l’idéal chrétien

Nous habitions les bâtiments du Cour Supérieur de Sainte−Agathe. Mon père, que j'appelais M. Seurel, comme les autres élèves, y dirigeait à la fois le Cours supérieur, où l'on préparait le brevet d'instituteur, et le Cours moyen. Ma mère faisait la petite classe. Une longe maison rouge, avec cinq portes vitrées, sous des vignes vierges, à l'extrémité du bourg; une cour immense avec préaux et buanderie, qui ouvrait en avant sur le village par un grand portail; sur le côté nord, la route où donnait une

et de cartons. Deux bergères de tapisserie flanquaient la cheminée en marbre jaune et de style Louis XV. La pendule, au milieu, représentait un temple de Vesta, — et tout l’appartement sentait un peu le moisi, car le plancher était plus bas que le jardin. Au premier étage, il y avait d’abord la chambre de « Madame », très grande, tendue d’un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de « Monsieur » en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l’on voyait deux couchettes

et de cartons. Deux bergères de tapisserie flanquaient la cheminée en marbre jaune et de style Louis XV. La pendule, au milieu, représentait un temple de Vesta, ― et tout l'appartement sentait un peu le moisi, car le plancher était plus bas que le jardin. Au premier étage, il y avait d'abord la chambre de « Madame », très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le5 portrait de « Monsieur » en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes

décor plutôt surprenant et moderne, la scène se passe dans un hôpital psychiatrique. La scénographie est évolutive et contient des changements à vu notamment pour la scène du balcon. Un troisième lieu est présent côté cour de la scène, des tables sont disposées au milieu, un juke-box côté jardin qui sera servi assez souvent à plusieurs moment de la pièce. Les choix des costumes ont été en accords avec la modernité de cette mise en scène. La plupart des personnages sont habillés de façon assez négligés

deux trônes plus petits qui sont ceux des deux Reines, ses épouses. A droite de la scène, côté jardin, au fond, petite porte menant aux appartements du Roi. A gauche de la scène, au fond, autre petite porte. Toujours à gauche, sur le devant, grande porte. Entre cette grande porte et la petite, une fenêtre ogivale. Autre petite fenêtre à droite de la scène ; petite porte sur le devant du plateau, du même côté. Près de la grande porte, un vieux garde tenant une hallebarde. Avant le lever du rideau

dénoncer les défauts des hommes et les vices de son époque en mettant en scène la société. Cela lui permet de montrer ce qu'il faut faire et ce qui est à éviter. La Bruyère, au service de la famille de Condé, fréquente régulièrement Versailles et la cour. Il a donc tout le loisir d'observer le microcosme qui la constitue. Il est l'observateur direct des vices (et des vertus) des hommes de son époque. Les portraits qu'il fait sont inspirés par les personnes qu'il croise. Par l'intermédiaire de ses Caractères

Objectif d'étude : Les lumières : convaincre, persuader, délibérer. Un prologue lecture comparé de deux passages : XVIII : « Candide et Cacambo » (…) « mathématiques et de physique » chapitre XXX : « vous devez avoir » (…) « il faut cultiver notre jardin » Introduction : XVIII : Candide Voltaire, 1759, arrivé dans l'eldorado. Descriptif de l'eldorado, endroit parfait d'après Voltaire, sans défauts et un monde où tout le monde est heureux : pas de pb d'argents ; idéal. Ce monde reflète la naïveté