Côté cour et côté jardin

retenir ses larmes en voyant diminuer de jour en jour son embonpoint et ses forces, et l’entendant se plaindre et soupirer des douleurs qu’il souffrait. En effet, il avait les épaules, le dos et les côtés noircis et meurtris ; et il ne savait de quel côté se tourner pour trouver du repos. La peau lui changea même plus d’une fois, pendant le temps qu’il fut retenu dans cette effroyable demeure. Sa mère voulait lui parler pour le consoler et pour tâcher de sonder s’il était toujours dans la même situation

L’Ennemi Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Pour rassembler à neuf les terres inondées, Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve Trouveront dans ce sol lavé comme une grève Le

brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu'il n'y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d'abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d'hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine

certain nombre (des hommes seulement) occupent la scène côté cours et côté jardin ; deux balustrades les isolent des comédiens qui se tiennent au milieu du plateau. D'autres spectateurs occupent les galeries, les loges. Il y a un rideau de scène, mais on ne le baisse jamais, à cause des spectateurs assis sur le plateau. À partir de 1656, suite à une coutume anglaise, les spectateurs de marque étaient assis sur des chaises de paille de chaque côté de la scène, près des comédiens. Finalement, pour le

l' apologie de la famille royale, et le Rosso est invité de manière direct en France par François Ier, et va participé à la galerie de François Ier au château de Fontainebleau. Vue générale de la galerie, le tableau qui nous intéresse se situe à côté du lustre, c'est le Rosso. L'éléphant royale de titre, ou l' Éléphant au caparaçon ( élément q' il a sur le dos) on est là en 1534, inspirations italiennes avec la scène encadrée d'anges réalisés en stuc, imitation du marbre, une scène encadrée par

pas un véritable bonheur (il ne saute pas au plafond en disant « Youpi !! C'est chouette de ____..travailler le jardin !! » - -' ) → il n'est pas très heureux, comme dans le conte traditionnel. ___♠ En plus, tous les rappels de Pangloss peuvent apparaître comme autant d'ombres au tableau : ______▪ Il rappelle tous les événements malheureux qui ont pu arriver à Candide (d'un autre côté, il n'a vécu _______quasiment que des événements malheureux...) → mais ce n'est pas la meilleure solution pour _______montrer

d'actualité malgré les différentes époques. Elements symboliques : JARDIN/ LOGGIA/ VOISIN/ BRUIT Etudes réalisées. le mobilier marque une intimité. ( maison témoin , salon de démonstration ) , ambiance rustique : valeur sure, la télé: élément central, cheminée: miroir de la télé ---> le chez soi qu'est ce qu'être chez soi? idée d'être en famille , au calme , pas gêné par l'environnement et sentiment de liberté. Le jardin: espace libre et l'espace du temps libre. le tps qui s'oppose au tps

penché et la cour du bambou qui symbolisent les montagnes naturelles. En outre, il y a un bassin à côté de l'entrée principale qui encercle aussi l'extérieur au nord de ce musée. Voir de loin, ce bâtiment ressemble aussi un grand bateau.L'eau ici raconte la trace de Ningbo comme une ville de l'embouchure et du port. Au sud le pavé des galets crée une ambiance de Jiangnan village. Ce musée mélange les empreintes du quartier historique et la conception artistique très élevé du jardin traditionnel

1592, citée dans des chroniques théâtrales. Son premier mécène est le comte de Southampton à qui il dédie ses 'Sonnets' en 1609. Contemporain et collaborateur occasionnel de Christopher Marlowe et de Ben Jonson, l'écrivain joue ses propres pièces à la cour d'Elisabeth 1re et de Jacques 1er. Il acquiert un peu plus d'indépendance en devenant actionnaire du théâtre du Globe et du Blackfriars en 1608. Quatre ans plus tard, le poète met fin à sa carrière et rentre à Stratford. Auteur d'une œuvre unique et

souhaitait à travers sa pièce croise l'écriture stylisée avec le spectacle populaire en mêlant les genres de la comédie, du mélodrame. Il dénonce les travers de son époque sans en oublier aucun, d'un côté, on retrouve le héros Glapieu, représentant l'idéal, la conquête, la justice rendue et de l'autre côté, le monde des affaires, l'immobilier, la banque, le Palais. L'auteur n'oublie pas de parler de ce qu'il y a entre les deux : la misère et le peuple. Ici est résumé toute l'intrigue, le peuple représenté