Couches populaires

« les fenêtres closes dormaient, fermaient les yeux ». Par ailleurs, ce même extrait est un texte littéraire puisqu'il a pour visée de faire indirectement passer un message. Ici, le narrateur dénonce les conditions de vies imposées à la classe populaire, partie de la population représentée par le personnage principal de Gervaise et ainsi les inégalités de la société (« Gervaise se retourna, regarda une dernière fois la maison. ». Gervaise vivait donc dans cette pauvre maison, preuve de la vie misérable

rapports à la politique sont moins importants pour les classes populaires). C) L’analyse de Bourdieu Distribution des capitaux et rapports de domination II) La remise en question du concept de classe sociale A) De nouvelles analyses de la structure sociale Brouillage des frontières de classe (effacement des frontières économiques, homogénéisation culturelle, remise en cause des clivages politiques) B) Les catégories populaires Éclatement de la classe ouvrière. Exclusion sociale. Dynamique

notamment représenté par : - les habitations (v2 « Villas, petits manoirs, usines et bicoques » v 19 « tours » v 22 « pavillons »). Cet ensemble d’habitations est hétéroclite, en effet il montre bien que la banlieue regroupe des personnes de classe populaire et de classe aisée, les battisses ne font pas référence au même par exemple un manoir et une villa. - les voies publiques (v 15 « sentier » v 17 « avenue » v 20 « autoroutes »). Ces termes montrent qu’il existe un décalage dans le temps entre un

agrandi il n’y a plus de contact entre les 2 ou en de rare occasion durant de tres bref moment . Cela est également dut au rémunération importante que reçoive les joueurs qui on tendance a crée un écart avec les supporter souvent appartenant au classe populaire . Il y a deux types de supporter : -les premiers font part de leur satisfactions ou de leur déception par des applaudissement ou des hués . Ils attendent un jeu de qualité et de la combativité . Ces genre de manifestation sont restreinte au

bourgeois en lui attribuant une facette mesquine, un aspect physique de « gros bourgeois poussifs », et un attachement aux choses matérielles qui renforcent leur personnalité. Cependant à partir du sixième quatrains, Rimbaud décrit un classe populaire dont il a l'air de faire parti car il commence sa propre description à la septième strophe. En parfait contraste avec les bourgeois, le poète met en avant la souplesse des jeunes gens en mouvement. Ces derniers ne sont que des « voyous » ou des

sociologique menée par Dubet, révèle que les habitants étudiés, la classe populaire, est une population disparate sur les plans économiques, sociaux, culturelles. Ainsi Dubet cherche à caractériser sociologiquement, et d’une manière plus précise ce « que l’on nomme aujourd’hui trop vaguement les classes populaires ».   Dans un premier temps , celui-ci expose les enjeux de la définition, qui pousse à parler de  « classes populaires » . Dans un second temps, il propose des classifications sociales adéquates

différencie l'évolution de la délinquance dans chaque groupe. Comme le montre le document 3, les classes supérieures stigmatisent les classes populaires à partir de leur traits culturels, c'est à dire, leur consommation, leurs pratiques et leur niveau de sociabilité, ce qui engendre "une valeur de virilité", de force qui est propre à la classe populaire et qui permet à la délinquance de se développer de manière différente. De plus, on retrouve l'exemple du document 5 dans lequel, le fait que la

familiale (nombre d’enfants, taille du foyer) Accès à l’éducation Classe moyenne urbaine. Quartier résidentiel. Immeuble moderne. Vaste appartement (plusieurs pièces). Cuisine moderne à l’occidentale. Famille de Kanpur Classe populaire urbaine. Quartier populaire très dense. Petit appartement (une seule pièce). Petite cuisine alimentée au gaz. Problèmes d’approvisionnement en eau et en électricité. Mobilier réduit (simple lit). Famille de la région de Pondichéry Famille à la limite de la

ménages, la diffusion rapide des nouveaux biens et services dans la population. En termes d'attitudes : la similitude de l'évolution des comportements en matière de conjugalité, de modèles familiaux ; la « privatisation » du mode de vie des classes populaires et inversement la moindre prégnance* des rituels bourgeois dans les classes moyennes ; la scolarisation de masse et ses effets (hausse du niveau d'instruction, condition juvénile, flux de mobilité). Enfin, l'argument majeur : la montée irrésistible

synthèse Travail préparatoire : 1) En France, en 2002, sur 100 français, 12 avaient le sentiment d’appartenir à une des classes dirigeantes, 42 à une des classes moyennes et 26 à une des classes populaires ; 12% à une catégorie sociale autre que les classes dirigeantes, moyennes ou populaires, et 7% n’ont pas su dire de quelle catégorie sociale ils pensaient appartenir. 2) Le phénomène mettant en place le sentiment d’appartenance sociale selon les PCS, permet de démontrer à quelle catégorie