Couleur Propre

personnages. L’autoportrait a été longtemps un genre caché, les artistes se représentés en dissimulant leur visage dans la foule, pour ne pas les voir directement. Et puis s’est devenu un exercice à part-entière, très pratique puisque devenant son propre référant l’artiste n’a plus besoin de faire appel à un model extérieur. C’est l’occasion pour de nombreux artistes d’interroger leurs sentiments, leurs émotions, leurs âmes, et d’observer, d’étudier les effets du temps, du vieillissement, de questionner

tout d’abord assimilée à une beauté naturelle (mention du « soleil » v. 3, pas d’artifice)  Sa couleur ensuite, d’un rouge sombre, « pourpre » (v. 3), adjectif repris sous forme adjectivée au v. 5, indique une tonalité chatoyante et majestueuse. Cet assombrissement de l’habit permet également un contraste avec le « teint » (v. 6).  La beauté de ses atouts en rappel, lorsqu’il s’agit de décrire la couleur de la « robe » qui éclate à la lumière, « sa robe de pourpre au soleil » (v. 3), en une sorte

peintres faisant parti de l’expressionnisme Allemand , il a beaucoup été marqué par leurs peintures. Comme eux David Olère veut déclencher un sentiment, une réaction émotionnelle. Sur ce tableau il réussit parfaitement à le faire grâce a des couleurs violentes, un dessin cru et agressif. Il nous emmène dans ces cauchemars, un cauchemar qui repose sur des souvenirs. On peut ici voir une composition géométrique, pyramidale très « classique » qui positionne dans un triangle central

connu sous le nom de Benday. Ces points régulièrement espacés et entrepris dans les quatre couleurs d’impression offset permettent de produire, combinées entre-elles, d’autres nuances. Dans le cas ici présent, l’effet visuel sera réalisé avec un panel de couleurs limité et nous allons concevoir ensemble une palette couleur de seulement 7 échantillons, comprenant le noir et le blanc. Les voici avec leur code couleur héxadécimale : * #FCE354 - Cheveux * #E27D89 - Lèvres * #E04359 - Langues * #FF8048 -

est une anomalie dans laquelle un ou plusieurs des trois types de cônes de la rétine oculaire, responsables de la perception des couleurs sont déficients. Le chimiste britannique John Dalton publie sa première étude scientifique sur ce sujet en 1798 intitulé « Faits extraordinaires à propos de la vision des couleurs » après avoir découvert son propre trouble des couleurs. Suite aux études faites par Dalton, la condition est désormais nommée daltonisme, bien que ce terme ne soit actuellement utilisé

œuvre violente par ses couleurs : « Donatello parmi les fauves » . Les exposants étaient notamment : Matisse, Vlaminck, Dufy… Le fauvisme est caractérisé par l’utilisation des couleurs pures, violemment contrastées, en vue de donner une intensité maximum aux sensations visuelles et se veut avant tout expression du bonheur, de la beauté. Les peintres avaient recours à de larges aplats de couleurs vives et revendiquaient un art basé sur l'instinct. Ils détournaient la couleur propre à un objet afin d'accentuer

pouvant représenter les droits et devoirs, par la linéarité des bandes et par la couleur bleu donnant un effet morale. La séricuté est pricipalement visible dans le logo, par la flamme qui nous donne cet effet de protection mais aussi par la couleur bleu qui est aussi rassurante. La complémentarité des couleurs bleu et orange optimise la visibilité des forces de police de jour comme nuit et renforce cette idée de sécurité propre à la fonction des forces de police. - une composition dynamique On remarque

absente. Lignes, couleurs et matières trouvent en elles-mêmes leur propre raison d’être. Académisme : Production d’œuvres à partir de règles transmises et avec une garantie d’obtention d’effets qu’on qualifie à juste titre d’ « attendus ». Accumulation : Assemblage de matériaux ou d’objets en grands nombre afin de prendre le sens ou la forme de l’objet unique… Voir Armand (sculpteur). Aplat : Passage régulier (sans effet de matière) d’une couleur sur une surface. Aquarelle : couleur étalée sur le

toile par petites touches de couleur parfois épaisses (empâtements). Elles se mélangent directement sur la toile par juxtaposition, côte-à-côte, et non plus sur la palette comme le faisaient les peintres avant lui. Ainsi, à distance, l’œil mélange lui-même les couleurs : c’est le mélange « optique ». Monet peignait dehors, d’après nature, pour mieux s’imprégner de l’atmosphère du paysage. Enlevons les barques, le port et le soleil, et il ne restera que des taches de couleur assemblées sur la surface

et le troisième est celui derrière le feu, représentant le ciel. 2. La perspective : Dans toutes les parties du triptyque c'est la perspective chromatique qui est présente ; l'utilisation des couleurs chaudes et soutenues ( rouge, brun, vert, ocre) au premier plan qui se dissocie ensuite en couleurs froide et pâle dans le lointain (bleu clair, ect) crée un effet de profondeur renforcé grâce a la superposition des plans. Page 2 3. La position du sujet :