Coup De Foudre Au Bal

invités de tout rang prirent part à cette promenade cadencée, qui, dans les solennités de ce genre, a toute l’importance d’une danse nationale, le mélange des longues robes étagées de dentelles et des uniformes chamarrés de décorations offrit-il un coup d’œil indescriptible, sous la lumière de cent lustres que décuplait la réverbération des glaces. Ce fut un éblouissement. D’ailleurs, le grand salon, le plus beau de tous ceux que possède le Palais-Neuf, faisait à ce cortège de hauts personnages

: Le Béarn sa terre de prédilection, réunie à la maison des comtes de Foix par le mariage en 1290 de ses bisaïeux Roger Bernard III de Foix et Marguerite de Béarn héritière de son frère Gaston VII de Moncade. Gaston III sera celui qui réussira ce coup de force de le rendre souverain à l’age de 16 ans, c’était prometteur. Sous suzeraineté française, le pays de Foix Sous suzeraineté anglaise, les vicomtés de Marsan, Gavardan Et d’autres possessions comme le Nebouzan (st Gaudens), les

Le narrateur raconte l'Histoire de France en la mêlant à du merveilleux, comme le révèle la première phrase du roman, ou encore les références au luxe des vêtements, ou les évocations hyperboliques des personnages. Comme dans les contes, on retrouve bal, tournoi, mariages, mère qui meurt, forêt ...Mais dans ce conte s'introduit une tragédie : le conte se finit mal, car l'amour est impossible et entraîne la mort. Mme de La Fayette essaie de dénoncer l'apparence d'une féerie de l'amour. Elle dénonce

amour qui n'aurait pas d'histoire.· Sont « mis en place » deux êtres jeunes, beaux, heureux, que leurs amis, la musique et la danse et jusqu'à leurs prénoms rapprochent dans un cadre de fête.· Est « mise en scène » une rencontre où l'effet de coup de foudre est immédiatement suivi de l'échange et du franchissement de la distance.· Néanmoins l'extrait se clôt sur le retour à la « vraie réalité. Les voisins du dessus qui regardent la surprise-party par « le plafond à claire-voie » représentent la menace

également à l’aveu. L’intégralité de la troisième partie du roman : elle ne peut ni fuir le monde, ni nier sa passion. Cela va donc conduire à un lent progrès intérieur et le seul remède possible de la PDC va donc être cet aveu qui ne va pas être un coup de tête. LA scène de l’aveu va ê le noyau du roman où tout converge mais aussi là où va se passer le déroulement, elle est tournée vers le début du roman et vers la fin puisque la tension dramatique est retenu par le duc de Nemours et la jalousie de

II/ RESUME Le roman débute sur les pensés d’Aurélien songeant à Bérenice il la décrit et montre qu’elle ne lui a pas plut. C’est un anti coup de foudre. Mais en même temps ne fait que songer à elle. Son prénom ne s’accorde pas avec son portait et y repensera souvent et lui rappel un vers de racine « je demeurais longtemps à Césarée ». 1er passage incipit On apprend aussi la vie de Aurélien qui a vécu la guerre de 14‐18 et est toujours imprégné de ce souvenir qui l’empêche de dormir la nuit

marquis. J’ai assez vécu pour voir que M. d’Urfé, loin de songer à se fixer, ne pense qu’à tirer vanité de son inconstance. Et que deviendriez-vous, pauvre fleur des Ardennes, si après lui avoir abandonné tout le miel de votre calice, vous voyiez tout à coup ce beau papillon s’envoler comme un traître ? — Allons, voici maintenant des inculpations indignes ! Savez-vous. mon cher commandeur, que si vous y allez de la sorte, vous me rendrez amoureuse folle du marquis ? — Je sais, madame, que votre

première phrase. Il restait le front dans sa main, les yeux fixés sur le carré blanc déployé devant lui. Qu’allait-il dire ? Il ne trouvait plus rien maintenant de ce qu’il avait raconté tout à l’heure, pas une anecdote, pas un fait, rien. Tout à coup il pensa : « Il faut que je débute par mon départ. » Et il écrivit : C’était en 1874, aux environs du 15 mai, alors que la France épuisée se reposait après les catastrophes de l’année terrible… Et il s’arrêta net, ne sachant comment amener ce qui

dira en effet Eliazbeth dans sa lettre I had often seen him in love before. Et de manire singulirement symtrique, Elizabeth dclare au dbut du roman Jane You have liked many a stupider person. Le hasard dune rencontre est associ la passion ou au coup de foudre, et est connot ngativement. Ce nest pas le cas dans le film, qui insiste largement sur les sentiments des personnages au dtriment de lironie subversive dont font preuve Elizabeth et le narrateur pour tablir une chelle des valeurs. Cependant, il

Eliazbeth dans sa lettre « I had often seen him in love before ». Et de manière singulièrement symétrique, Elizabeth déclare au début du roman à Jane « You have liked many a stupider person. » Le hasard d’une rencontre est associé la passion ou au « coup de foudre », et est connoté négativement. Ce n’est pas le cas dans le film, qui insiste largement sur les sentiments des personnages au détriment de l’ironie subversive dont font preuve Elizabeth et le narrateur pour établir une échelle des valeurs. Cependant