Coup De Foudre

romanesque A- Un décor hostile à la rencontre : la rue - allitération en [r], personnification de la rue. - encadrement du poète : chiasme sonore - B- Une rencontre tel un coup de foudre - 2 unités de sens quatrains puis tercets - 1er tercet : aussitôt produite, rencontre appartient déjà au passé. - Champ lexical du fugitif - Une femme majestueuse, noble : on

qu'il l'aperçoit; Mlle de Chartres accepte la demande en mariage du prince, quoiqu'en n'étant pas amoureuse de lui. Plus tard, lors d'un bal à la cour, elle rencontre le duc de Nemours qui a la réputation d'être un homme volage.C'est alors un coup de foudre immédiat et partagé. La mère de la princesse sent que cette passion est dangereuse et avant de mourir, elle conjure sa fille de lutter contre cette amour illégitime qui la lie au duc de Nemours. Elle se retire donc à la campagne pour s'éloigner

chez le personnage Frédéric. II. La naissance de la passion 1. Le coup de foudre On remarque bien l'instantanéité. En effet, dès que Frédéric voit la femme, il semble l'aimer. La comparaison marque bien que le mot « apparition » prend tout son sens. Cette apparition provoque l'éblouissement par la « splendeur », « ébloui » comme une lumière. On a un champ lexical d'une lumière qui irradie et aveugle comme la foudre. La description souligne que l'unicité de cette personne a réussi à faire

 »… « je me retrouvais enflammé » relation de cause-conséquence = instantanée, coup de foudre= effet retardé par une série de propos : créé une effet d’attente, dilatoire · « n’avait pensé » « regardé » plus que parfait = montre son innocence passé · « tout a coup » « boulversé »= choque temporel et sentimental · « sagesse » « retenue » antithèse avec « transport »=

la tragédie de Shakespeare, qui occupe un peu plus de 3000 vers, exploite beaucoup plus les thèmes dominants. Il met en scène de nombreux personnages parmi lesquels la nourrice, Frère Laurent, les mais de Roméo Benvolio et Mercutio. Le motif du coup de foudre, celui du mariage secret, de l'exil, de la vengeance, n'existent pas chez Ovide qui limite l'histoire de Pyrame et Thisbé à celle d'un amour impossible sublimé par la mort et immortalisé par le mûrier. De da Porto à Shakespeare : La tragédie

haute aristocratie. Son avenir est tracé, il sera chevalier de l’ordre de Malle. Il doit épouser une aristocrate MAIS en chemin, il rencontre Manon  Coup de foudre. - Manon : Petite bourgeoise qui va être enfermée au couvant contre son gré car elle a trop de goût pour le luxe alors que sa famille n’a pas d’argent. En chemin, coup de foudre avec Ch qui va l’enlever et s’enfuir avec. Dans un premier temps ; ils vont vivre avec peu d’argent mais vont vite en manquer.  Manon, qui ne veut

récurrente qui est la rencontre amoureuse) dans le roman. Prevost rend le topos, il a un récit qui mène à l’apitoiement.   1.Début jusqu’à « j’aurais porté chez mon père toute mon innocence » 2.=> « je me trouvais enflammé tout d’un coup jusqu’au transport » = COUP DE FOUDRE 3. => « … nul moyen de méditer »   1/ Ces trois phrases simples expriment la fatalité de sa rencontre avec Manon. C’est un constat « j’avais marqué le temps de mon départ », ensuite le regret « hélas ! que ne …. » Puis un irréel

travailler sur les vers 1 à 10 vers dans lesquelles Phèdre nous raconte son coup de foudre pour Hippolyte après avoir étudier ce 1er mouvement nous verrons les vers 11 à 22 comment Phèdre a essayer de lutter contre cet amour interdit.1/ Dans ce premier mouvement que nous allons étudier Phèdre raconte à Oenone comment cette passion est arrivé dans sa vie et elle lui explique que la rencontre avec Hippolyte a été un véritable coup de foudre.En effet nous pouvons remarquer ici au vers 1 que pour raconter

commencez la scène en chassant et tout à coup, vous apercevez la foudre au loin. Action! [On cherche des animaux et soudain la foudre retentit] Marc : Ahhhh! Feu, feu, foudre, foudre! [Marc pointe vers la foudre] Jp : Nous aller voir plus près flammes. Nic : Nous courir. Aller! [Course sur place] Leslie : Au tout début de la préhistoire, les hommes auraient repéré les sources naturelles qui permettaient la formation du feu dont les plus communs sont la foudre et les volcans. [On s’approche des

enflammé » du narrateur. En effet, ce qui ressemble à un coup de foudre se traduit dans le souffle de la phrase : le complément circonstanciel de conséquence dont l’importance émotionnelle est capitale se trouve relégué en fin de phrase. Les mots se précipitent, s’enchevêtrent : « moi qui… », « ni… », au point de nécessiter une incise « moi, dis-je ». L’état amoureux dans lequel se trouve le chevalier est intense : « je me trouvai enflammé tout d’un coup jusqu’au transport ». Dans le détail, il souligne