Couple Thénardier

pension de cosette. Ou même le Thénardier qui essaie de tuer Jean Valjean seulement pour récolter de l’argent! C’est incroyable tout ce que le monde faisait pour de l’argent dans ce temps. Sans oublier qu’au début du livre on peut voir que Jean Valjean n’a pas dormi dans un lit depuis une vingtaine d’années en raison qu’il était en prison. Bassesse humaine -Jean Valjean qui a volé les six couverts d’argent a l’évêque qui l’avait accueilli généreusement. -Les Thénardier qui exploite la petite Cosette

parce que seulement les forcés a ça force. Maintenant ça passe, il y une parallèle histoire, que parle d’une fille appelée Fantine, qui est mère célibataire et elle laisse sa fille dans la famille Thenardier en convalescence et elle peut aller à la ville pour travailler et envoyer d’argent aux Thenardier. Elle va travailler dans la fabrique de Madeleine mais à cause de la gestionnaire, elle est rebond parce que la gestionnaire ne veut pas filles avec des enfants travaillent là. Elle commence à se

touche il a le torse froid. Mme Thénardier est qualifiée d’être un gendarme, un bourreau et un charretier et le diable tous l’opposé d’un dieu comme est nommé le pharaon ce qui prouve leur différence. Dans l’extrait du texte Le Roman de la momie le pharaon est inquiétant car il ne délivre aucune émotion au niveau du visage on peut sous entendre qu’il a un regard vide, qu’il est lassé de la vie, ses lèvres son scellées donc il ne peut plus parler. Mme Thénardier est costaud car on dit « une

Piccioli-Bragiola Bruna Dissertation Le personnage principal d'un roman, devrait-il être selon vous quelqu'un à qui l'on peut s'identifier? Vous répondrez à cette question dans une dissertation en vous appuyant sur les textes vus en classe ainsi que sur vos lectures personnelles. Introduction: Apparu au Moyen-âge, le roman peut se définir comme

 Fabio Allous 4B Rédaction Français- Les Misérables Les misérables de Victor Hugo est un livre qui peut être très utile encore aujourd’hui. Il nous permet de découvrir la vie d’un prisonnier qui s’enfuit de prison après y être resté 15 ans, et qui un jour, devient un homme gentille qui aide les autres. Victor Hugo utilise aussi les symboles pour différencier le bien (la lumière) et le mal (le noir). Il peut apprendre aux jeunes personnes comment aider les autres

de Cosette « je l’ai habillé de mes cheveux » antithèse « sombre et lumineux » B. L’ironie de la tragédie Elle riait montre la folie proche de Fantine C. La misère aboutit à la méchanceté « C’était de l’argent qui voulait », les Thénardier sont calculateur. Incarnation de la brutalité « elle commença à tout prendre en haine », « elle en vint à le haïr », « la rage ». La misère de Fantine lui fait passer du bien au mal « l’hiver change en pierre l’eau du ciel et le cœur de l’Homme

échappatoire possible. On assiste également à une ironie croissante puisque Fantine croit agir pour le bien de Cosette alors qu'elle énerve les Thénardier et présente une grande naïveté car elle pense « Quand je serai riche, j'aurai ma Cosette avec moi ». Dans un second temps on se rend compte que Fantine devient folle , « elle riait ». Les Thénardier, par leur méchanceté, sont un archétype de celle ci et des mauvais. Ils sont mauvais et calculateur. Pour Fantine on assiste à une évolution, « elle

d'elle et donc, qu'elle n'en était pas fautive; si faute il y a, mais il y a faute pour Hugo, puisque il tente d'en protéger son personnage. On pourrait aussi citer la perfection extraordinaire d'un monseigneur Myriel, la méchanceté sans faille de Thénardier, la copie conforme du > qu'est Gavroche. Par exemple Javert, ne ressemble plus à un homme mais à une humanisation caricaturée de la justice. Les personnages sont des personnages types. Enfin, Hugo, après avoir fait ses personnages et avoir créé

Les Misérables – Victor Hugo       Les misérables, de Victor Hugo, est un chef d’œuvre de la littérature française.   J’ai lu le tome 1, Fantine, et j’ai beaucoup aimé le style d’Hugo, sa façon de mêler le dramatique avec une réflexion politiques et historiques m’a passionné. Ce roman n’était pas facile à lire, les longues descriptions des personnages qui peignent leurs traits et caractère dans les moindres détails étaient parfois un peu ennuyeuses. À la fin de ma lecture, j’ai presque regretté

paradoxe des Misérables, sans doute le plus grand roman français, dont tant de personnages – Jean Valjean, Javert, Gavroche… – imprègnent profondément l’inconscient collectif (combien de fois n’a-t-on pas entendu que les époux Balkany étaient les « Thénardier des Hauts-de-Seine » ?) : on croit l’avoir lu (bien souvent ce n’était qu’une version abrégée), on en a vu (ou subi) nombre d’adaptations sur grand ou petit écran, mais, en réalité, on ne le connaît pas. La Maison de Victor Hugo avait même osé intituler