Cour De Cassation Civ 3e 30 Juin 2004

très générale, qu'est le principe de légalité de l'impôt, d'où il résulte que l'administration est dans une situation de compétence liée et a l'obligation d'établir l'impôt. Elle évoque aussi la disposition de l'article 101 de la Constitution du 24 juin 1793 qui affirmait que "nul citoyen n'est dispensé de l'honorable obligation de contribuer aux charges publiques". L'idée suivant laquelle la décision d'imposition ne peut être regardée comme "défavorable" est peut-être juridiquement et politiquement

loge l’essentiel de la protection, le CC protège l’économie des conventions légalement conclues et sanctionne à ce titre la loi lorsqu’elle porte atteinte à des contrats en cour sans motif d’intérêt général suffisant. Il faut toute fois noter que cette protection, pour l’essentiel calquée sur celle qui est accordée par la Cour EDH, et en pratique limitée puisqu’elle laisse passer toutes les atteintes justifiées par un motif d’intérêt général suffisant. Concrètement aujourd’hui, la volonté est effectivement

condition relative à l’existence d’un couple marié ou en mesure de prouver une vie commune d’au moins deux ans ? 28 a) Le critère de durée de vie commune pour les couples non mariés 28 b) Les critères de la stabilité et de l’infertilité du couple 30 3. Les limites biologiques et temporelles de la procréation doivent-elles être repoussées? 34 a) L’« âge de procréer » : critère biologique ou exigence sociale ? 34 b) Procréer par delà la mort ? 37 4. Faut-il mieux prendre en compte l’intérêt

s'adapter à cette nouvelle situation. Ainsi, deux arrêts méritent d'être soulignés : Arrêt "Dangereux", C. Cass. 1970, prend en compte le préjudice moral et matériel d'une concubine pour le décès accidentel de son concubin. Arrêt "TOROS",C.Cass. 10 juin 1975, répare le préjudice subi par la concubine en cas de décès accidentel, le concubin étant marié. Il y a eu indemnisation de l'épouse et de la concubine. En parallèle, le législateur intervient sur deux points : Loi du 3 janvier 1972, décide de

un contrat alors que toute volonté fait défaut tout comme le délit/quasi délit. → La distinction entre délit/quasi délit n'a quasiment pas d'influence sur le plan civil (mais pas sur le plan pénal évidemment). C'est pourquoi les arrêts (surtout cour de cass) mentionnent quasiment toujours l'article 1382 tout seul ou 1382 et 1383 ensemble qu'il s'agisse d'un délit ou d'un quasi délit. → Engagement unilatéral/ B : La classification contemporaine => Un seul critère pour classer les sources

de conv° collective a été posée à la cass° ; ds 1er tps la cass° a opté pr la thèse de l’opposabilité de ces clauses le non respect de celles-ci s’analysant com un abus du drt de grève voir un arrêt de w illicite, puis ds un arrêt « Sté SEROUL » 7 juin 95 la chbre sociale a opéré un revirement => 5 salariés licenciés pr faute lourde suite à un arrêt de w, l’Neur invoquait plusieurs  fautes à l’égard des ces salariés notmt q l’arrêt de w était intervenu sans respect du préavis de grève posé par la

suffrages aux législatives de 1997). Nouveaux succès avec 10% aux européennes de 1999, et progression au niveau local lors des municipales de 2001, et plus de 5% pour le candidat vert à l’élection présidentielle de 2002 (N/ Mamère). Aux européennes de 2004, les Verts n’obtiennent que 7,2% des suffrages. En 2009, les Verts et leurs alliés obtiennent 16,3% (autant que le PS). D. Voynet n’a obtenu que 1,5% des suffrages en 2007 mais le thème de l’écologie n’est plus développé par ce seul parti. En effet

L’article 17 : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité ». Dans DC 26 juin 2003, le CC a précisé que cet article protège la propriété qu’elle soit privée ou publique. Article 544 du c.c. : « Le droit de propriété est le droit de jouir et de disposer des choses dont on est propriétaire de la manière la plus absolue, pourvu

des clauses liées à l’assurance marchandise, et des clauses d’estoppels (clauses qui empêchent le destinataire de donner des contre-ordres durant de voyage). Une loi récente oblige les clients du transport routier à payer le transporteur dans les 30 jours à dater de la réception de la facture B) L’exécution du contrat Chargement et déchargement Le transporteur doit prendre en charge les marchandises, et c’est à partir de ce moment qu’il commence sa prestation et est présumé responsable

doctorale n° 74 LA PROTECTION DE L’ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PENAL : ETAT DES LIEUX Mémoire de Master recherche Mention Droit international présenté par Aurélie LA ROSA Sous la direction de Monsieur le Professeur LAVENUE Année universitaire 2003-2004 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr « L’humanité se doit de donner à l’enfant le meilleur d’elle-même… » Déclaration de 1924 sur les droits de l’enfant. 2 SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………