Cour de cassation

Commentaire sur l’arrêt de la Cour de cassation du 22 septembre 2004. La loi du 26 mars 2003 portant création d’un Organe Central pour la Saisie et la Confiscation et portant des dispositions sur la gestion à valeur constante des biens saisis et sur l’exécution de certaines sanctions patrimoniales[1] a introduit le référé pénal en vue de l’aliénation ou de la restitution sous garantie du bien saisi. Cette procédure, mise en place par les articles 28octies et 61sexies du code d’instruction criminelle

La partie ANALYSE vise à vérifier que chaque étudiant parvient à lire et à décortiquer un arrêt de la Cour de cassation. En effet, chacune des parties de l’analyse (en dehors du problème de droit) répond à une partie de l’arrêt. A/ Appréhension des faits et de la procédure 1) Faits matériels o L’idée générale : il est très important de comprendre que chaque affaire présentée à la Cour de cassation n’est pas le fruit du hasard mais qu’elle trouve une origine dans un fait qui a généré le litige. Ex

INTRODUCTIF : La Cour de cassation a été créée en 1790 par l’assemblée constituante. A l’époque ça s’appelait Tribunal de cassation. Il a été créé dans un but bien précis, faire obstacle aux atteintes des juges contre les lois. Donc empêcher qu’ils empiètent sur le pouvoir législatif. Ce tribunal est perçu comme un garde corps des lois (terme de d’AGAISSEAU). PRIEUR parle de sentinelle établie pour le maintien des lois. Robespierre parle du fait que « le Tribunal de cassation n’est point le juge

méthode existe encore (cour d’assise) mais pas en même nombre. . Des juges de paix sont institués pour régler les plus petits litiges. Pour les autres litiges sont institués de tribunaux de district. . Appel circulaire : système en vertu duquel l’affaire est rejugée 1 2ème fois par une juridiction de même nature (mais pas de même composition) 2) loi des 27 novembre et 1er décembre 1790 : cette loi crée une juridiction nouvelle, le tribunal de cassation. Cette juridiction

ANALYSER UNE DÉCISION DE JUSTICE I. LA DÉMARCHE Il faut tout d'abord identifier la juridiction qui statue : un tribunal : lequel ? une cour: cour d'appel ou Cour de cassation? La nature de la décision Quel est le jugement rendu ? La date de la décision ? II. LE PLAN DE L’ANALYSE Ensuite, il est, d'une manière générale, souhaitable de suivre le plan suivant : 1. Les faits : résumé des événements antérieurs au litige et dont il est né. 2. La procédure : - Les parties au procès

appel devant la Cour d’appel de Montpellier. La Cour d’appel, le…, confirme le jugement du tribunal de grande instance. |   | Dernière étape :    -La qualité de celui qui forme un pourvoi en cassation (qui forme le pourvoi)    -La juridiction saisie (Cour de cassation et la chambre ou la formation dont il s’agit)    -Le sens de la décision (rejette le pourvoi ou casse l’arrêt de la Cour d’appel et renvoie devant…).   Exemple :  Le…, Monsieur Y forme un pourvoi en cassation. Le…, La première

(délits) -cour d’assise (crimes) 2ème degré Cour d’appel Cour d’appel (<4000 euros pas besoin d’aller devant la cour d’appel) 2165985484692Juge du droit 0Juge du droit 1960058690955Cour d’appel d’assise Cour de cassation La cour de cassation La 1ère instance rend un jugement. Si tout le monde est d’accord, le jugement s’arrête là. On parle de « demandeur » et de « défendeur » . Sinon, on fait « appel » (>4000€) à la cour d’appel. Ici on parle « d’appelant » et « d’intimé ». la cour d’appel

31/12/13 Cour de cassation Cour de cassation Accueil > Jurisprudence Assemblée plénière > Assemblée plénière > 05-18.977Arrêt n° 545 du 27 octobre 2006Cour de cassation - 05-18.977 Arrêt n° 545 du 27 octobre 2006 Cour de cassation - Assemblée plénière 1°) Cassation 2°) et 3°) Vente Cassation Avis Rapport Demandeur(s) à la cassation : consorts X...-Y... Défendeur(s) à la cassation : Mme Evelyne A..., épouse Z... Mme X... et M. Y... se sont pourvus en cassation contre l’arrêt

seconde fois devant les juridictions supérieure. Appelant : demandeur à la cour d’appel Arrêt confirmatif : confirme la décision de la cour d’appel ou du tribunal Arrêt de cassation : casse et annule la décision Arrêt de rejet : rejette le pourvoi en cassation Arrêt infirmatif : la cours de cassation est en désaccord avec la décision du 2ème et 1er degré Arrêt : décision rendue par les cours d’appel et la cour de cassation Assignation : faire comparaître une personne en justice. Compétence d’attribution :

présente comme le père biologique de l’enfant, est-il de nature à constituer une violation du droit au respect de la vie privée et familiale de ce dernier ? La cedh a considéré que les juridictions allemandes avaient violées les droits du demandeur. La cour reproche aux juri allemandes c’est d’appliquer le principe « Pater is est… » Au sens trop stricte sans avoir pris en compte les faits de l’espèce pour prendre en compte l’intérêt de l’enfant. En revanche en ne se penchant même pas sur cette question