Couronnement de la Vierge

RELIGION Le couronnement de la Vierge de Fra Agelico 4eC - 2013 Table des matières 1. Description objective 2. Eléments « individuels » 3. L’artiste 4. Analyse du tableau a. Relation avec la religion chrétienne b. Ce que l’artiste en a fait c. Composition du tableau d. Intertextualité 5. Interprétation (sens du tableau) 1. Description objective Les premières représentations datent du XIIe siècle. La Vierge Marie est représentée dans les cieux, de

Le couronnement de la Vierge Enguerrand Quarton (1412 – 1466): Peintre français du Moyen Age tardif, il est l’un des représentants de la seconde école de peinture d’Avignon. En 1453, il réalise le couronnement de la Vierge suite à une commande qu’on lui a faite pour décorer une chapelle dans un monastère chartreux qui doit accueillir la sépulture d’Innocent VI (1282- 12 septembre 1362). Le monastère en question est celui de Villeneuve-Lès-Avignon. Cette œuvre qui mesure 183 sur 220 cm n’est

"Le couronnement de la Vierge" par Fra Angelico (vers 1430-1432). Il s'agit là d'un tableau peint par Fra Angelico, d'une forme particulière (cadre de base carré, auquel s'ajoute une forme de trapèze sur le haut) Nous pouvons analyser le tableau en 4 parties : La prédelle en bas du tableau, le premier plan, le second plan et le troisième plan. Dans un premier temps, nous distinguons en bas une sorte de second cadre, séparé du reste de l'œuvre par une délimitation entre les deux peintures. Il

Un thème théologique: les homélies d'Amédée Nous pensons que les homélies mariales de Saint-Amédée d’Hauterive (1110-1159), consacré évêque de Lausanne en 1145, peuvent expliquer l'iconographie du couronnement de la Vierge de la cathédrale de Lausanne. C’est une hypothèse plusieurs fois émise dans les études, notamment par Marco Jalla. Peter Kurmann est plus réticent, mais il concède à voir en lui une source partielle de l’iconographie. Les homélies sont au nombre de huit. La première est

Page 1 sur 11 Le Couronnement de la vierge, 1430-1432, Fra Angelico Né vers 1387 à Vicchio, une commune de la province de Florence, et mort en 1455 à Rome. Fra Angelico reprend ses prédécesseurs tel que Masaccio (1401-1428), illustre peintre florentin. Fra Angelico est de plus, une figure majeure du Quattrocento, ayant initié le courant artistique appelé « peintres de la lumière » en jouant sur les ombres et la lumière pour donner de la profondeur à ses tableaux, du modelé à ses personnages, abandonnant

situé cette date avant 1457. Le terme de Pietà (pitié en italien) désigne sur le plan iconographique la Vierge en "mater dolorosa" tenant son fils mort sur les genoux après la descente de la croix ; dans ce tableau la Vierge et le Christ sont entourés de St Jean, Marie Madeleine et le donateur (-> le commanditaire qui offre le tableau à Dieu). Ce thème de souffrance et de passion de la vierge est très représenté à la fin du moyen âge mais on verra que celle-ci se différencie des autres Pietàs de

dix-sept ans, il quitte sa ville natale et part pour Pérouse en Ombrie auprès du Pérugin, chez qui, il n'est sans doute plus considéré comme un apprenti. Cette même année, il est cité en qualité de « magister » pour la réalisation du retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino », moine de l'Ordre des Ermites de Saint Augustin, canonisé en 1406, pour l'église Sant'Agostino de Città di Castello. Il exécute ce tableau avec l'aide d'Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son

historiens de l'art hésitent sur l'attribution des tableaux peints par Le Pérugin à son héritier Raphaël4. Aux termes d'un contrat signé le 10 décembre 1500, il est cité en qualité de « magister » (maître peintre) pour la réalisation du retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino », moine de l'Ordre des Ermites de Saint Augustin, canonisé en 1406, pour l'église Sant'Agostino de Città di Castello. Il exécute ce tableau avec l'aide d'Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son

dix-sept ans, il quitte sa ville natale et part pour Pérouse en Ombrie auprès du Pérugin, chez qui, il n'est sans doute plus considéré comme un apprenti. Cette même année, il est cité en qualité de « magister » pour la réalisation du retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino », ermite augustin canonisé en 1406, pour l'église Sant'Agostino de Città di Castello. Il exécute ce tableau avec l'aide d'Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son père. Raphaël n’est ainsi plus

dix-sept ans, il quitte sa ville natale et part à Pérouse en Ombrie auprès du Pérugin, chez qui, il n'est sans doute plus considéré comme un apprenti. Cette même année, il est cité en qualité de « magister » pour la réalisation du retable « le Couronnement du bienheureux Nicolas de Tolentino », ermite augustin canonisé en 1406, pour l'église Sant'Agostino de Città di Castello. Il exécute ce tableau avec l'aide d'Evangelista da Pian di Meleto, ancien assistant de son père. Raphaël n’est ainsi plus