Couvent

bonne société (Noblesse et Bourgeoisie) se fait en majorité au couvent. Considérées comme devant faire les "délices de la société par leur charme et leur esprit", les filles y sont coupées du monde extérieur et souvent, soumises à une discipline très stricte.On leur y enseigne un minimum de connaissances pratiques et religieuses dans le but d'en faire des épouses et des mères de compagnie agréable. La littérature romanesque a fait du couvent un lieu d'intrigues et de faits étranges ou scandaleux: complots

religieuse, Dominique Julien écrit » Que sait Suzanne ? Ce n’est pas en termes de mensonges qu’il faut juger ses anachronismes mais bien en termes d’hystérie ; elle est vouée à l’innocence par la condamnation maternelle qui la repousse dans le ventre du couvent et l’enferme dans le solipsisme d’un texte illisible. Répétition de la lettre maternelle, tout le récit de Suzanne est lui aussi une lettre d’outre-tombe dans laquelle circule la folie et la mort. » Diderot est un grand auteur et philosophe du

Pierre était très religieux , sa soeur Angelique est morte folle dans un couvent , c’est ce qui l’a peut-être inspiré pour écrire le livre La Religieuse  qui parle d’une fille qui est obligée par ses parents de devenir religieuse et d’aller contre sa volonté dans un couvent ou elle soufre énormément et découvre la vrai vie des religieux. Dans les lignes qui suivent , il sera question de la blâme des couvents faite par Diderot et d’un idéal contraire à celui des Lumières.

juste sortie du couvent pour être mariée, qui est jetée dans la vie mondaine sans aucun guide dans ses nouvelles expériences, Mme de Tourvel, une jeune femme avec une éducation monastique aussi, qui est très dévote, fidèle à son mari et qui souffre de l’impossibilité de résister à ses désirs et à ses passions, Mme de Merteuil, un des personnages principaux qui est le centre du roman autour duquel tournent les intrigues et qui les dirige selon sa volonté, elle n’a jamais été au couvent, son éducation

début de l'ouvrage, Suzanne vit avec sa famille, qui se compose de ses parents et de deux sœurs. Mais la jeune femme est négligée par ses parents, qui lui préfèrent leurs autres enfants. Lorsque ces dernières sont en âge de se marier, on l'envoie au couvent pour des raisons en apparence financières : cela évite de diviser la dot en trois parts. http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=9&cad=rja&ved=0CGsQFjAI&url=http%3A%2F%2Fnumeriklire.net%2F2013%2F03%2F25%2Fla-religieuse-de

racontée. Lors de son arrivée au premier couvent, Sainte Marie, Suzanne est en état de révolte contre ses parents bourreaux, elle évolue de l'inconscience légère, à la résistance opiniâtre, puis à l'esprit de sacrifice. Elle fait face à de l’hypocrisie dans le but de la retenir par intérêt afin de profiter d’une pension de religieuse en plus. Beaucoup de scènes montrent également la folie de l’enfermement dans ce passage. Elle va ensuite à Longchamps, un couvent à la mode pour les filles de la haute

s’était retiré en Normandie. C’est un roman sous forme de mémoires qu’une jeune religieuse échappée du couvent adresse au marquis de Croismare pour solliciter son aide. Il y a aussi des critiques et les historiens qui ont formulé de nombreuses hypothèses pour expliquer l’invention de l’œuvre. D’apres eux le roman est né du souvenir de la sœur de Diderot, Angélique, elle est devenue folle au couvent des Ursulines, à l’âge de 28 ans. L’œuvre peut aussi être issu des expériences de l’auteur. Dénis

obtient le respect des cathares, par sa bonne humeur, sa pauvreté, et son zèle. Quant à Dominique, il va de couvent en couvent pour encourager les frères à tenir bon. Il est toujours à pied, récoltant son pain. Dans les couvents, il n’a aucune cellule, aucun lit, et malgré la fatigue des voyages, il passe ses nuit à prier. En 1220, il réunit le premier chapitre de l’Ordre en Bologne, chaque couvent devait envoyer un certain nombre de frères. Une fois, tous réunit, Dominique leur demande de choisir un

50 'je me vois riche assez pour pouvoir choisir ma moitié qui tienne tout de moi' =femme qui doit faire tout ce que l'homme désir, aucun droit, aucune opinion il fait « fabriquer » sa femme dans un endroit sans aucunes vie sociale 'dans un petit couvent loin de toute pratique' l,60 toute pratique = relation avec les autres, (l,67) 'Une femme au gré de mon souhait' (l,87) 'Et parfois elle en dit dont je pâme de rire' = tellement idiote qu'elle dit npquoi, (l,91) elle pense qu'on fait les enfants

Andrau Viole de Gambe : Christine Plubeau ou Marion Martineau Résumé de l’histoire Suzanne Simonin, enfant adultérin, est contrainte et forcée par sa mère de rentrer au couvent de Longchamp afin de taire le scandale de sa naissance et de préserver ainsi la bienséance bourgeoise. Dans ce couvent elle doit faire face à la Mère Sainte Christine. Véritable sadique, elle stigmatise Suzanne qui tente une action en justice pour faire résilier ses vœux. Considérée comme une apostate par