Coûts Sephora

personnalisée. Mini cas – Sephora boit la tasse au Japon L’enseigne de parfumerie du groupe LVMH s’en va, faute de clients. L’eldorado japonais du luxe ne sourit pas à tout le monde. Depuis le 31 décembre dernier, les sept magasins Sephora de l’Archipel ont définitivement baissé leurs rideaux, l’enseigne vedette du groupe LVMH pour la parfumerie et les cosmétiques n’a pas trouvé son public au Japon, où son premier libre-service avait ouvert en novembre 1999. Sephora misait sur de nouveaux modes

sont pas vendus au même prix chez Séphora, Nocibé et Marionnaud. II. Les stratégies de prix classiques Les options, pour le lancement d’un produit nouveau, sont les suivantes : 1. La stratégie d’écrémage L’entreprise vise une cible restreinte. Elle fixe des prix élevés, ce qui lui procure des marges unitaires plus importantes. Les facteurs de choix de cette stratégie sont essentiellement : – une élasticité faible de la demande par rapport au prix ; – des coûts de production et de distribution

qui banalisent l’offre et proposent un prix très attractif, néanmoins elles ne communiquent pas du tout sur leurs produits et ne font aucun effort d’innovation packaging et proposent un seul parfum très ordinaire. • Les concurrents indirects : Ø Séphora, Marionnaud, Yves Rocher, Body Shop et Occitane en magasins spécialisés Ø Les autres marques qui proposent des produits Bain/douche, pour une utilisation 2 en 1 (Palmolive) • Tahiti et Dove proposent aussi des produits bain moyen/haut de gamme, mais

de qualité et de prestige, forte notoriété. Stratégie globale pour le DAS → Parfum et Cosmétique ■ Stratégie par domination des coûts : – Grand public – Canaux de distribution diversifiés Parfums et cosmétiques ■ Facteurs clés de succès : – image forte, portefeuille de marque, innovation, lourd investissement publicitaire, grand budget en R&D, maîtrise des coûts. ■ Concurrents : – les marchés de mass-market (Oréal, Estée Lauder,etc.), Shiseido, industrie pharmaceutique. ■ Avantage concurrentiels

 INTRODUCTION Nous représentons le département marketing d’une marque de cosmétiques SENBON distribuée jusqu’à là en parfumeries et magasins spécialisés (type Séphora). L’entreprise souhaite se repositionner sur un segment de consommateurs plus rentable. En effet, considérée comme moyenne gamme par ces derniers, nous voulons capter de nouveaux clients en modifiant le mix marketing et en s’attaquant au haut de gamme. A cet effet, SENBON a placé parmi ses préoccupations principales, une refonte de

sélective 28% grande diffusion 53% Notre étude portera sur le circuit sélectif, dont les principaux acteurs sont : - les grands magasins : Galeries Lafayette, Printemps, Samaritaine, Le Bon Marché, BHV ; - les chaînes intégrées : Séphora, Marionnaud, Douglas, Nocibé ; - les chaînes en franchise : Alpha Beauté, Anaeva, Beauté Actuelle, Beauty Sucess, Elytis, Passion Beauté ; - les propriétaires franchisés : Athénaïs, Clin d’œil, Elytis, Nocibé. - les parfumeries

poursuite des investissements dans les marques de mode, • Une innovation continue et le succès des lignes phares chez Christian Dior, • Une sélectivité accrue de la distribution pour les Montres et Joaillerie, • L’excellente performance de DFS et Sephora partout dans le monde, • Une capacité d’autofinancement générée par l’activité de 3,3 milliards d’euros, • Un ratio d’endettement net sur capitaux propres qui s’établit à 19 % à fin juin 2013. -Au 30 juin 2014: les ventes consolidées s’élèvent à

Réglementation des données personnelles. 11 3. Réglementation paiement et crédit. 11 4. Propriétés de la clientèle fidélisée. 12 III. Les différentes stratégies 13 A. Dans les grandes distributions 13 1. Yves Rocher 13 2. Sephora 15 3. Marionnaud 15 B. Chez les petits commerçants 16 IV. L’avenir des cartes de fidélités. 18 A. Quelques chiffres. 18 B. Toujours de nouvelles formes. 19 V. Conclusion 20 Annexe 1 : Sources 21 Annexe 2 : contexte

Pour des produits banalisés, les prix sont fixés en tenant compte de la concurrence, de l’environnement du marché, de la tendance de la consommation et, parfois, de l’état des stocks. Ce n’est pas la méthode pratiquée dans le domaine du luxe. Les coûts conservent bien sûr leur importance mais, en même temps, la « valeur imaginaire » attachée au produit - et surtout à sa marque - est telle qu'elle distancie la relation entre le prix de vente final et le coût des matières premières. Quel parfumeur

Au Bon Marché, Printemps, Nocibé,...) : en créant des corners, qui ressemblent de plus en plus à des "mini" boutiques, Hermès peut ainsi toucher un plus grand nombre de consommateurs tout en contrôlant son image de marque. Magasins spécialisés (Sephora, Marionnaud,...) : ces magasins spécialisés sont devenus incontournables pour le consommateur depuis la fin des années 2000. Les parfums Hermès sont présentés au milieu de parfums de marque concurrente et le groupe ne possède pas de contrôle sur son