Creances En Souffrance

adoptées pour la comptabilisation des créances douteuses. 3 - SPECIALISATION DES EXERCICES Dans la zone BEAC, les comptes sont clôturés au 31 décembre de chaque année, à l’exception du Cameroun qui a adopté le 30 juin tant pour l’exercice fiscal que comptable. Les produits et les charges doivent être rattachés à l’exercice au cours duquel ils ont été générés, sauf exception prévue par les textes. Par exemple, les intérêts provenant de créances en souffrance ne doivent être portés en produits qu’au

(+9%). En parallèle, le volume des créances en souffrance a marqué une nouvelle hausse de 9%, d’une année à l'autre. Cette évolution reflète les difficultés que connaissent les entreprises opérant en particulier dans les secteurs d’activité les plus exposés à la concurrence internationale et aux impacts de la baisse de la demande externe. A l’inverse, la qualité du risque porté sur les ménages s’est améliorée. Globalement, le ratio moyen des créances en souffrance des banques s'est élevé à 5%. En

sur la période 31 décembre 2000/2001 (+ 458 MDH) et atteint à MAD 642,9 millions au 30 juin 2002. 43 ANNEXE INDICATEURS BILANTIELS 31-déc31-décACTIF (en K MAD) Immobilisations corporelles Immobilisations financières Total Actif Immobilisé Créances de l'actif circulant Total Actif Circulant Banques, T.G. et C.C.P. Caisses, régies d'avances et accréditifs Total Trésorerie Actif TOTAL ACTIF 6,1 44,2 6,0 2 627,6 6,0 11 814,2 0,0% -77,8% 128,1% 30-juin30-juin-02 1 492,9 31-déc01 31-déc-00 1 616

1- Provisions pour créances en souffrances rejetées  1-1- Infractions constatées  1-2- Utilité de la provision  1-3-Conditions de déductibilité de la provision  1-4- Sort de la provision  2- Créances constatées en pertes  3-Droit de regard (cas d’une provision originaire

marché monétaire et de créer un besoin structurel de refinancement. Le système bancaire peut être défini comme «  l’ensemble des banques et d’autres établissements financiers et d’une banque centrale qui entretiennent des relations financières de créances et d’engagements les uns vis-à-vis des autres ainsi que vis-à-vis des agents non financiers » (MATHIS, 1992 : 13). Cependant, le système bancaire dans la zone UEMOA a été sous la base de principes fondateurs. En effet, le développement a été conçu

par Attijariwafa bank : Options retenues par Attijariwafa bank : •  ption prise de ne pas retraiter les Goodwill existants au 31/12/05, et ce conformément aux dispositions O de la norme IFRS 1 « Première adoption des IFRS » ; Prêts & Créances La norme Groupe consiste en l’application du coût amorti à l’ensemble des crédits à plus d’un an en fonction de leur importance significative. Les crédits à moins d’un an sont maintenus au coût historique. •  rrêt d’amortissement des Goodwill

existants permettant de mitiger le risque. Cette étape consiste à évaluer et tester le contrôle interne existant. En effet le contrôle doit réduire la plupart des risques. Et donc il serait contre – productif pour une banque d’assurer ses pertes sur créances sans avoir mis en place des contrôles de base permettant d’assurer le recouvrement de celles – ci. Enfin, la définition d’une stratégie de gestion qui passe par la réponse à deux grands types de questions : ➢ suis-je en mesure de gérer

délais  Avis de souffrance Une marchandise ne peut rester indéfiniment en souffrance, il faut lui trouver un statut définitif. Ce statut sera fixé, soit à l'initiative de l'ayant droit de la marchandise, soit à l'initiative du transporteur. Fin de la souffrance à l'initiative de l'ayant droit de la marchandise L'expéditeur et le destinataire étant tous deux parties au contrat de transport, ils sont tous les deux habilités à prendre la décision de mettre fin à la souffrance de la marchandise

présentation des documents de synthèse. - - 5.2 - Règles minimales de provisionnement des risques en souffrance L’ instruction n° 94-05 de la Banque Centrale relative à la comptabilisation et au provisionnement des engagements en souffrance, élaborée dans le cadre de l’ adoption du plan comptable bancaire, définit les règles minimales de provisionnement des risques en souffrance. En particulier, les banques et établissements financiers sont tenus de respecter les dispositions ci-après. 5

PME afin d’abaisser les exigences des banques en matière de taux appliqués et de garanties réelles. 2 Une dynamique des crédits favorable au financement de l’habitat et de la consommation des ménages, que n’enraye pas la hausse des créances en souffrance : L’évolution des encours est favorable aux ménages car elle est soutenue par les crédits à l’habitat et à la consommation. Entre 2003 et 2004, les parts des crédits dédiés à l’immobilier et à la consommation progressent