Crépis

Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en acajou. Au dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement crépies comme couverte d’une lèpre et toute couturée de cicatrices. Zola, Thérèse Raquin, I, 1867. Lecture analytique n°1 : L’incipit de Thérèse Raquin Introduction -Situation du texte Il s’agit des premières lignes de Thérèse Raquin publié en

attentats, 150 morts, 600 blessés. L’image 1 Les couleurs et la disposition Trois couleurs dominent : le blanc, le noir et le rouge. Le blanc est rare : c’et celui de la question posée en majuscules et celui du fond des photos, apparemment le mur crépi de la prison contre lequel on a photographié les membres du réseau Manouchian. Le noir est celui des photos, il suggère le crime, la mort. Mais c’est, bien sûr, le rouge qui domine : rouge du sang et du crime, rouge comme la couleur du communisme identifié

faisait autrefois partie du Royaume de Danemark et on s'en rend encore compte, par exemple au niveau de l'architecture : contrairement au reste de la Suède où les maisons sont pour la plupart en bois, on trouve en Scanie des maisons basses couvertes de crépi et de grandes fermes blanches tout en longueur coiffées d'un toit de chaume. Le Halland est une destination assez prisée des vacanciers car elle offre de belles plages de sable en pente douce, idéales pour les enfants. On y trouve d'agréables stations

fond d’une boîte en acajou ». Le lexique de la mort est à nouveau mobilisé. Enfin, le romancier effectue une comparaison de la façade de la boutique avec une muraille non entretenue : « Au dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement crépie, comme couverte d’une lèpre, et toute couturée de cicatrices. » L’état de la façade se rapproche alors à celui d’un cadavre avec l’utilisation de « lèpre »et « couturée de cicatrices ». Tout au long de l’incipit il annonce progressivement le drame

avec une bougie allumée dessus. La jeune fille le souleva et le projeta contre le mur.  La crainte avait envie tous son être, maintenant oui, il avait vraiment peur qu'une fille aussi maigrelette le projette avec une telle force contre le mur en crépis blanc.  On pouvait lire l'angoisse dans ses pupilles chocolat. Il se releva et essaya d'ouvrir la porte. Bloqué. Il pensa alors qu'ils pouvaient les frapper un par un, la musculation lui servira peut-être.  - N'essaye pas de nous frapper, on est

                                                                     ­ Adorable, gentille et enfantin                            Valentine : Déguisements de zombie :­enjoué, gentille                             Julian : Déguisement du comte Nutella :­Gentil, crêpier et  gourmand  Chansons : ­​  N’écoute que moi (Remix).  Décors :​  Quartier résidentiel, Maisons des habitant ​ (simple numéro a changé ​ selon le  Manoir​ personnages) ​ (grille + maison en ar.plan)  Texte :   N= Narrateur  V= Valentine  PK=Pimkie loli 

immeuble, les anomalies suivantes : * Dégradation sur le crépi du bâtiment à l’extérieur * Corbeille en mauvais état à l’intérieur * Boitier de désenfumage HS * Murs du hall sales (Tableau des anomalies identifiées en annexe 5) Pour les anomalies que j’ai repéré, j’ai fais appel à des entreprises travaillant pour Troyes Habitat en faxant des bons de commande (en annexe 6). J’ai donc demandé : * Dégradation du crépi : J’ai demandé à l’entreprise « Régie de nos quartier » de repeindre

des récits historiques. - Un autre exemple significatif dans la différence de conception du patrimoine, c’est celui des mausolées de Tombouctou au Mali qui sont tous les ans restaurés par la population qui se rassemble pendant une journée pour crépir ces monuments, cela prouve bien le rôle social du patrimoine. (5) → Cependant, je pense qu’il est essentiel de nuancer le propos puisque l’UNESCO essaye réellement de respecter ce principe de diversité culturelle. Et cela, notamment par la création

parvient à réunir entre dix et vingt personnes. Cherchant un endroit où se loger, la secrétaire particulière de Fry, Théo Bénédite[8] et Mary Jayne Gold découvrent une bastide rectangulaire sur un terre-plein en terrasse inoccupée, « vaste maison au crépi qui s'écaille et qui se cache en haut d'une allée bordée de platanes prolongée par une voie plantée de gigantesques cèdres ». Le propriétaire de cette maison de dix-huit pièces (dont huit chambres et une bibliothèque de quarante mètres carrés) entièrement

d’architecture moderne pour les remplacer par des références plus traditionnelles et plus fonctionnelle. Des fenêtres en bandeaux refermées pour mettre des fenêtres à petits bois et des volets à battants, la couleur de Le Corbusier remplacée par des crépis blanc ou de couleur très « personnalisée », et la transformation des toitures parce qu’elles posaient de vrais problèmes techniques. La population, plutôt pauvre, de la cité n’avait pas les moyens de faire appel à des professionnels pour refaire l’étanchéité