Crime Passionnel Causes

· L'action représentée est celle de la passion interdite (et donc violente) de Phèdre pour Hippolyte qui la conduit vers la mort. 1.2. Violente et passionnelle· Si le but de la tragédie est de susciter la terreur et la pitié chez le spectateur, il faut que l'action qu'elle représente soit à même de provoquer de telles émotions. · Pour Aristote, comme pour Racine et les théoriciens du théâtre, ce sont

tournant décisif. On situe ce passage en France à la période féodale. Il intervient à un moment où le crime affecte la victime mais aussi le groupe social qui se sent affecté dans ses fondements politiques et religion. Les sociétés primitives ont longtemps cru que le crime allait attirer la colère des Dieux. Pour apaiser cette colère, il fallait une expiation du coupable. Par la suite, le crime va être perçu comme un phénomène social menaçant l'ordre public. Au XII siècle, on voit apparaître la notion

manière de l’appliquer s’est également adoucie. II) Le fondement du droit de punir. Le droit pénal a une fonction punitive mais pourquoi est-il légitime qu’il ait une telle fonction. On peut se borner à dire le malfaiteur a violé il a commis un crime mais cela ne dit pas en quoi est ce légitime qu’en violant les règles on puisse lui appliquer une peine. Cette justification a évolué avec le temps et cette évolution est importante car selon la justification que l’on donne à la peine et la manière

 nécessaire], * d'être ponctuel[réf. nécessaire], * et de répondre promptement aux invitations et sollicitations[réf. nécessaire]. Le non-respect de l'étiquette, s'il est grave, peut causer le déshonneur ou, dans un cadre plus privé, mener à un malentendu ou une grande douleur, voire conduire au crime passionnel. Beaucoup d'inimitiés familiales prennent leurs sources dans des violations insignifiantes d'étiquette qui ont dégénéré hors de toutes proportions. On peut considérer l'étiquette comme

Bronislaw Malinowski (1933) « Le crime et la coutume dans les sociétés primitives » Un texte intégral extrait de : Mœurs et coutumes des Mélanésiens Traduit de l’Anglais par le Dr S. Jankélévitch, 1933. Un document produit en version numérique par M. Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www

danger délibérée de la personne d’autrui) Comment sont sanctionnés ces agissements anti-sociaux ? Ces agissements sont sanctionnés par diverses sources. Ainsi, les comportements les plus graves, qualifiés de crimes, sont punis par le droit pénal. Le crime, au sens le plus général de ce terme, est l’action ou l’omission d’un individu, qui, à raison du trouble qu’elle cause à l’ordre social, est frappé par la société d’une sanction pénale. Toutefois, l’observation des règles de la vie sociale peut être

comme le propriétaire de la chose. Il est parfois difficile de savoir si telle infraction comporte ou non un dol spécial. Exemples : difficultés des choix d'une qualification dans l'affaire du sang contaminé, définition de l'intention dans le crime d'empoisonnement de l'article 221 -5 du code pénal. Trois arrêts de la chambre criminelle de la cour de cassation, il s'agissait de savoir si l’empoisonnement comporte comme le dol spécial l'intention de tuer : l'animus nependi, ou bien s'il suffit

des vols avec violence (meurtres en baisse de 4% en 96), des trafics de stupéfiants, et des infractions commises par des mineurs. B/ Ses causes. L'étude des facteurs d'un crime s'appelle la criminogènèse. Elle est apparue à la fin du XIXème siècle suite à la publication de "L'homme criminel" de Lombroso. Avant, il y avait peu d'études des facteurs du crime : pour les grecs, il s'agissait d'un sort des dieux. Lombroso considère plutôt le criminel comme un malade qu'il faut soigner. Les facteurs

social. Le droit est donc répressif afin de sauvegarder intactes les traditions et les valeurs. Le non-respect des règles est associé à un crime et entraîne une rupture du lien social. La force des sentiments collectifs explique la force de la réaction collective en cas de délit, c’est à dire de violation de la norme. On peut aller jusqu’à parler de réaction passionnelle. Les sanctions y sont donc très sévères et visent surtout à maintenir en l’état une société qui a toujours existé ainsi. 2) Le mode d’intégration

Raffaele GAROFALO † (1851-1934) Agrégé de l’Université de Naples, vice-président du Tribunal civil Magistrat et criminaliste italien (1890) LA CRIMINOLOGIE Étude sur la nature du crime et la théorie de la pénalité Deuxième édition entièrement refondue, mars 1890. Traduit de l’Italien Un document produit en version numérique par Diane Brunet, bénévole, Diane Brunet, bénévole, guide, Musée de La Pulperie, Chicoutimi Courriel: Brunet_diane@hotmail.com Dans le cadre de: "Les classiques des