Criminalistique

règles applicables au procès pénal. Et le droit pénal spécial qui est une étude analytique des infractions. Ce droit pénal spécial se nommera Droit pénal des affaires, des sociétés, économique… D’autres branches existent comme la criminologie, la criminalistique, la police scientifique… Première partie : l’infraction et le droit pénal général L’infraction constitue une violation de la règle pénale. C’est un acte ou une omission contraire à la loi et sanctionnée pénalement. Pour que l’infraction

certains le repression du crime et c’est donc la répression qui conduit au crime. D’autre vont jusqu’à dire que le droit pénal en lui même est un outil de domination d’une classe sociale sur une autre. Les classes dominantes ont un intérêt. - La criminalistique : analyser le crime afin de déterminer les circonstances. Il y a au sein même de la police scientifique des spécialistes qui analysent la quantité de sang ou de l’arme utilisé : spécialisation extrêmement fine aujourd’hui. II. L’évolution

pose : quels liens ces nouvelles branches entretiennent avec les branches principales ? Sont-elles indépendantes ? b) Le droit pénal science criminelle Aux côtés d’autres sciences criminelles : criminalistique, criminologie, sociologie criminelle, politique criminelle, philosophie, morale Criminalistique : science qui va concourir à la constatation matérielle des infractions, à l’identification des auteurs, des victimes. Elle a recours à différentes sciences : la médecine légale, la toxicologie

prévention de la récidive. Cette approche est susceptible de guider le législateur dans sa mise en œuvre de la politique criminelle. La criminologie peut aussi guider le juge dans le choix de la peine. => droit pénal / criminalistique Angle de vue scientifique, la criminalistique a pour objet l'ensemble des procédés scientifiques de recherche des infractions et de leurs auteurs : la médecine légale, la toxicologie, et la police scientifique. Elle permet d'apporter la preuve des circonstances de l'infraction

étaient les éléments qui étaient susceptible de créer une politique criminelle, on se rend compte de plusieurs choses, le droit pénal dans sa définition la plus large, est formé de très nombreuse matière, d’abord formé par la criminologie, la criminalistique, la procédure pénale. Le droit pénal ne vit que par le procès. La qualité de notre droit pénal va dépendre de la qualité de ce que les juges vont en faire. Dans une définition plus étroite, le droit pénal sera formé de deux matières, habituellement

prend une part importante en criminologie ; la psychologie est une matière fondamentalement tournée vers l’analyse de la personnalité. La criminologie n’a rien à voir avec la criminalistique qui est la science des techniques d’investigation utilisées par les forces de l’ordre. La criminologie ne se soucie pas de criminalistique, ce n’est pas un moyen de preuve bien que dans certains cas complexes, compte tenu du mode opératoire, on peut éventuellement deviner quelques traits de personnalité de l’auteur

lors de la PCR. Il existe des applications différentes : * Détecter la présence du virus du VIH. * Mesurer une charge virale (concentration du virus dans le plasma). * Détecter des traces d'OGM. * Utilisé de plus en plus en criminalistique. En moins de dix ans, on a appris à faire plus d'un milliard de copies en moins d'une heure, ce qui a imposée la PCR dans les laboratoires en révolutionnant la biologie moléculaire, même si elle n'est cependant pas fiable pour certaine sources

objet d’étudier les causes de la criminalité et le traitement du délinquants en cas de récidive. L’approche est donc plus sociologique. Cette criminologie est susceptible de guider le législateur dans ses choix de politiques criminelles. La criminalistique concerne les procédés scientifiques qui servent à constater matériellement une infraction pénale et à en rechercher les auteurs. Cette discipline en regroupe plusieurs : il s’agit de la médecine légale chargée de déterminer les causes d’une mort

l'acte, a un intérêt en ce qui concerne le traitement de l'acte et de la personne. La criminologie doit pouvoir servir à modifier la personnalité pour que l'acte n'ait pas lieu, mais aussi la criminologie doit pouvoir servir dans le cadre de la criminalistique, c'est-à-dire la découverte du délinquant. Quelques problèmes internes à la criminologie (13). Débat avec expression académique très fort, même au Dalloz, parce que sous le quinquennat précédant, et sans nul doute à la suite du conseil d'Alain

réprimer cette transgression et de traiter éventuellement l’individu. C’est davantage le regroupement de divers domaines ayant pour objet l’étude du crime qui l’étudient sous différents angles (psychologie, sociologie, médecine légale). c- La criminalistique C’est là encore le regroupement de plusieurs connaissances scientifiques autour du crime, portant sur la manière dont on produit la preuve pénale et dont on peut discuter la force probante de cette preuve. On y trouve la biologie, la médecine