Crise De 1929 Nationalisme

Suite à la Première Guerre Mondiale, l’Italie et l'Allemagne font face à de nombreuses difficultés. En effet, les Italiens connaissent la crise économique tandis que les Allemands voient leur économie chuter à cause de leurs dettes de guerre. Ainsi, pour les deux pays, le chômage progresse et les grèves se multiplient. Parallèlement, le nationalisme se développe : les Italiens sont déçus car ils n'ont pas reçu les territoires promis par les alliés alors que les Allemands sont mécontents parce qu'ils

américains pour payer les réparations et stabiliser la monnaie. • Mais…crise de 1929 et retrait des capitaux U.S > faillites et montée du chômage. Progrès électoraux des nazis C . Hitler prend le pouvoir Echec d’un 1er essai : Le putsch de 1923 à Munich Jugé, emprisonné Rédige « Mein Kampf » (idéologie raciste) • • Hitler séduit :  Par son anticommunisme, les banquiers et les industriels  Par son nationalisme, les militaires  Tous ceux qui ont des difficultés : les chômeurs, les petits

élaboré en temps de guerre ont un formidable impact sur l’économie d’entre deux guerres. L’Europe est incapable de revenir à la « normalité » en termes de système de laisser-faire du 19ème S. Vaincue et épuisée, l’Allemagne fait face à une crise alimentaire. Le Traité de Versailles lui ampute de 15 % de ses terres arables, 75 % de son minerai de fer et 26 % de ses ressources charbonnières. L’Allemagne perd près de 90 % de sa flotte marchande, toute sa marine de guerre, une grande partie de

basée sur la combinaison d’un nationalisme exacerbé, du respect de l’ordre, du culte du chef, et de l’anticommunisme. Adolf Hitler, ancien combattant frustré de la Grande Guerre, fonde en 1920, à Munich le NSDAP (Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands) à partir du parti de gauche DAP (Parti des Travailleurs Allemands). Il rassemble de nombreux vétérans qui, comme lui, refusent d’accepter la honte et le prix de la défaite et rêve d’une revanche. Le nationalisme est donc également à l’origine

périls La chute des cours de la bourse de New York (krach), en octobre 1929, se traduit par un effondrement de la production, des prix et des revenus qui provoquent une hausse vertigineuse des faillites et du chômage. La baisse du commerce international et la déroute des circuits financiers transmettent la crise au reste du monde. L'équilibre mondial est détruit, laissant place à des pays cloisonnés en proie à des nationalismes exacerbés et concurrents. Mouvements et régimes autoritaires Frustrés

la guerre qui lui permettrait d’agrandir l’Italie. Les fondements idéologiques du système politique des régimes totalitaires varient d’un pays à l’autre. En Allemagne, l’idéologie nazie est basée sur la « pureté » de la race, le racisme et le nationalisme. Les idées d’Hitler se basent essentiellement sur la destruction d’une race, sur l’antisémitisme et sur la création d’une société de race « pure et dominante ». Il veut protéger la race supérieure aryenne des races inferieures comme les juifs

l’autoritarisme son hostilité à la liberté et à la démocratie. La Première Guerre mondiale en accentuant la crise de l’un et de l’autre va créer les conditions d’une vie politique dominée par la polarisation entre les partis de gauche et d’extrême droite. Le nationalisme constitue un autre facteur de division en Europe. Malgré la formation des États - nations en Europe occidentale, le nationalisme constitue encore un élément essentiel de l’idéologie dominante. En Angleterre et en France, il se manifeste

La crise de 29 se situe en pleine phase B de Kondratieff. Il n'y avait pas de fatalité à ce que le monde tombe dans une dépression aussi grande dans les années 30 : la crise n’était pas inévitable. De plus la crise n'est pas quelque chose de nouveau, crises industrielles de surproduction au XIXe, il en est de même pour la Grande Dépression. La crise des années 30 est remarquable car d'une profondeur inconnue jusqu'à lors en temps de paix, c'est ce qui la caractérise. Cette crise est mondiale

L’Union Européenne est en crise. Flagrante et commune aux pays du monde entier, la crise économique touche de pleins fouets nos Etats-membres : augmentation de la dette et du déficit public, croissance en berne, diminution de la consommation… Bien que la situation relève plus du marasme que de la catastrophe, l’Europe, foyer de la révolution industrielle, peine à faire face à cette crise conjoncturelle. En effet, sur le plan politique, la montée du nationalisme et de l’euroscepticisme (Royaume-Uni

avec. Les entreprises les plus fragiles font banqueroute, le chômage augment et les salaires baissent entraînant avec eux la consommation. Mais c’est justement la masse salariale à bas coût qui, selon Michel Beaud permet la reprise économique. La crise permet en fait le développement d’une deuxième génération de technologies et d’équipements, l’essor de la classe ouvrière, une nouvelle vague de colonisation et finalement l’émergence du capital financier et sa concentration. La croissance s’essouffle