Crise des otages américains en Iran

emprunts à la pop° en jouant sur le patriotisme et en offrant taux d’intérêt importants. └> Fin de la guerre : états surendettés (excepté USA) => Crise monétaire Des civils victimes de la guerre Pop° devait ê. Protégée avec les accords de 1890 supervisés par La Croix Rouge. └> Non respectés -> pop° occupées pillées, prises en otages, soumises au travail forcé. Pb de ravitaillement (notamment pop° all. -> blocus du R-U qui empêche le ravitaillement). Qqles bombardements

de la Shoah, aux Tziganes et aux Slaves exterminés systématiquement dans les « camps de la mort » nazis, s’ajoutent les victimes des bombardements aériens (ex : 35000 morts à Dresde le 13 février 1945 ; 60000 à Hiroshima et 40000 à Nagasaki), les otages exécutés et les villages entiers massacrés. Aux victimes directes du conflit, il faut encore ajouter les effets d’une surmortalité provoquée par la sous-alimentation (restrictions et rationnement alimentaire) et le retour de maladies comme la tuberculose

toute la « vieille Europe » qui souffre d’un déficit de crédibilité et d’estime au niveau mondial. Durant la campagne pour les législatives de 2004, le chancelier Schröder a fait campagne sur le thème « l’Allemagne ne doit pas adopter le modèle américain ». . Les soixante dernières années permettent d’appréhender les Etats-Unis aujourd’hui (axe du mal, diabolisation…) Les années Bush et la guerre contre le terrorisme ont vu la réactualisation du discours de guerre froide (bataille bien/mal)

s’est porté sur le livre de Betty Mahmoody, Jamais sans ma fille. Nous débuterons par une présentation de l’auteur. Betty Mahmoody est américaine et a épousé en secondes noces, Sayyed Bozorg Mahmoudy, appelé Moody, médecin iranien pratiquant aux Etats-Unis, dont elle aura une fille, Mahtob. Sa vie tourne au cauchemar quand elle accompagne son époux en Iran pour de soi-disant vacances. Elle ne quittera le pays ainsi que son mari « geôlier » que 18 mois plus tard en compagnie de sa fille afin de

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois[1]. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann[2]. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire

démocratie pour la faire basculer dans le communisme.Ils recevait leur ordre directement de Moscou. I La mise en place de la bipolarisation A) Deux Modèles antagonistes et expansionnistes : 1-Les différences politiques : Le modèle politique américain est basé sur un principe fondamental:l’égalité. Hérité des lumières et des Britanniques. Il est fondé également sur la séparation des pouvoirs et le pluralisme politiques : républicain et démocrate.Les républicain est plus conservateur plus libearaux

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1945 et 1990, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois1. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann2. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire

János Kadar, est complètement aligné sur la politique soviétique. * Soutient au PC vietnamien dans le cadre de la guerre du Veit Nam. Il sont constamment présents à l’ONU, après la politique de la chaise vide, et font usage du veto contre les américain (1945-1965 : l’URSS utilise 103 fois sont véto), en tentant de se présenter comme défenseur des peuples libres. * Compétition pacifique dans le cadre de la course à l’espace, l’URSS veut rattraper son retard technologique. 2) La coexistence

vers la promesse de jours meilleurs" Message sur l'état de l'union 29 janvier 1991 Ce Discours du Président Bush, quelques semaines avant le déclenchement de l'opération terrestre de "Tempête du désert" dans la plus pure veine du messianisme américain traditionnel, retranscrit bien le sentiment qu'ont les états unis d'être le dernier garant de l'ordre mondial avec l'effondrement du système bipolaire. La Guerre du Golfe se produit en effet au moment même où souffle en Europe un vent de liberté

la retranscription papier d’un extrait du discours présenté devant le Congrès américain du président américain George H. W. Bush (1989-1993). Cette source primaire a été présentée le 6 mars 1991 quelques jours suivant la fin de la guerre du Golfe (1990-1991). Ce discours officiel a une signification historique toute particulière. Selon nous, celui-ci annonçait la nouvelle direction de la politique étrangère américaine dans le nouvel ordre mondial post-Guerre froide, et plus particulièrement au Moyen-Orient