Critique Des Courtisans

Pour le commentaire… Les Caractères sont des textes brefs sur la cour. La Bruyère y dénonce l’hypocrisie, les abus de pouvoir, la fausse dévotion. Il s’agit de portraits physiques et moraux où La Bruyère critique notamment l’attitude de l’homme face à la guerre, la corruption par l’argent, etc. À l’instar de Montaigne dans les Essais, La Bruyère écrivit au fil de ses idées, traitant des sujets très différents. Fidèle au goût de l’époque, La Bruyère écrivit des textes courts : Les Caractères

définition de ce que est le métier de courtisans, il présente donc ce que c’est d’être courtisans. Dans cette extrait on a un texte qui va montrer ce qu’est le métier de courtisans et prouver que le métier de courtisans est extrêmement difficile. Le texte se présente comme une aide apporté aux courtisans. PB : En quoi ce texte constitue-t-il une critique des courtisans ? Plan : Dans une première partie nous verrons que le texte offre plaidoyer pour le métier de courtisans Dans une 2eme partie nous montrerons

Anaïs Mila 1L - Quelle vision du courtisan ces quatre textes permettent-ils de dégager ? Ces quatre textes sont tous du XVI ème siècle. Ils ont comme thème commun le courtisan. Ils ont une vision assez péjorative des courtisans. Ils font donc une critique du courtisan, mais chacun la font différement. Ce sont tous des auteurs humanistes. Dans le texte A, Erasme fait un portrait positif du courtisan qui n'existe pas, il décrit donc le courtisan idéal selon lui, il ne parle pas de

appartient au second recueil (1678) des Fables. Dans son avertissement, La Fontaine annonce qu’il a donné un air et un tour plus critique. Il aborde la question du roi (le Lion apparaît comme le centre). Il s’intéresse dans cette Fable au rapport entre le roi et les courtisans. Il y ajoute un discours ironique. → En quoi cette fable est-elle une satire ?→ Comment la critique sociale et politique s’énonce à travers un récit satirique ?Elle comprend 55 vers en alexandrins et en octosyllabes.→ v1 à 15

dans son livre VIII paru en 1679. Il est écrit en vers libre et la plupart des rîmes sont des rîmes suivies.Son thème principal serait l’hypocrisie des courtisans du Roi.Ce texte est à viser argumentatif car l’auteur cherche à dénoncer la monarchie absolue. Cette fable relève du satyrique, La Fontaine dénonce la Cours en se moquant des courtisans du Roi. Ici le narrateur (La Fontaine) nous raconte cette fable d’un point de vue omniscient à part du vers 33 à 38 où c’est le Lion qui parle et du vers

comportement des courtisans, se sont des machines sans scrupules (note 4), il se moque des courtisans (17 à 24) une sorte de confidence au lecteur. très forte rupture avec le récit marqué par le pronom personnel je -> désinvolture de La Fontaine qui mène sa fable comme il l'entend. Satire des courtisans (grâce à l'antithèse au chiasme et à d'autres procédés) rendu tel par l'usage de la cour Les hommes sont des automates sans personnalité marionette du roi Pour La Fontaine les courtisans sont inférieur

utilisation de la personnification animalière pour parler de la société… et, étant un auteur de constat, la critiquer. En effet, pour éviter la censure de ses œuvres, la Fontaine doit dissimuler sa critique de la société, société fondée sur une hiérarchie rigide, renforcée par le pouvoir autoritaire. Pour ce fait, il utilise la symbolique des animaux. C’est avec ce système de dissimulation de la critique que La Fontaine a écrit la plupart des recueils de ses célèbres Fables, publiés de 1668 à 1696. Dans

- Insiste sur les bonnes qualités, les souligne à plusieurs reprises - veut montrer la face cachée d’une personne sans attendre de réponse - - Dénoncer la face cachée des courtisans - exagère davantage l’ambition des courtisans, comme pour les présenter tels des obsédés - ce n’est pas un homme honnête et pour plaire, il a des habitudes hypocrites - insiste sur son savoir et démonstration - insistance et exagération - Montre le double jeu du

2-La satire I. LES PERSONNAGES ~ Le lion : Personnage emblématique qui représente le roi et la puissance. Il est peu caractérisé en tant qu’animal, puisque le champ lexical est peu présent. « rugir en leur patois » est même utilisé par les courtisans qui ne font qu’imité le roi, ce qui est dépréciatif pour eux. « nos sacrés ongles » plutôt que nos sacrées griffes. « femme du lion » plutôt que « femelle » Ceci est du champ lexical de l’humain, ce qui illustre la personnification du lion.

formes de l’argumentation : XVIIe et XVIIIe siècles Questions (8 points) 1. Quelle est la cible commune visée dans les deux textes ? Quelles sont les critiques formulées par les deux auteurs ? (2 points) Ce sont les courtisans qui sont visés respectivement par La Fontaine et La Bruyère : ils sont désignés par les termes « Messieurs les Courtisans » (v.16), « la cour » (v.17), mais aussi par les impersonnels « chacun » et « on » dans la fable « Les obsèques de la lionne », et par les phrases « Ils